De manière générale, il faut vraiment aimer ce qu'on fait. Surtout en sup, où on apprend vraiment à faire des maths et de la physique. En spé c'est différent car plus axé concours.
En moyenne, un élève de prépa travaille environ 60h par semaine je dirais, donc comme on y consacre du temps il faut aimer ce qu'on fait. À noter qu'il ne faut pas travailler le plus possible : il s'agit de faire des horaires efficaces. En milieu-fin de sup, c'est là que je travaillais le plus et je n'étais pas productif, j'étais épuisé. En spé je travaillais beaucoup moins : souvent je ne travaillais qu'une heure le soir, le week-end je ne travaillais que le samedi soir (moment le plus productif pour moi). En revanche, j'étais beaucoup plus en forme et bien plus productif, surtout pendant les cours.
Épanouissement en prépa
Re: Épanouissement en prépa
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Re: Épanouissement en prépa
Merci pour l'avertissement, c'est ce qu'on m'a dit, j'ai déjà commencé à essayer une méthode (Pomodoro, assez connue des élèves de prépa j'imagine? Surtout d'info?) pour travailler en général, mais sur un trop court terme pour savoir si elle me permet vraiment d'être plus productif..Adolorante a écrit : ↑29 juil. 2018 10:04À noter qu'il ne faut pas travailler le plus possible : il s'agit de faire des horaires efficaces.
Sinon la 1ere/Term et même la semaine révision du bac n'apprennent vraiment pas comment travailler efficacement (malheureusement)..
Pour la spé tant pis, j'essayerai de n'en faire qu'une .
Re: Épanouissement en prépa
Je devais tourner à 8-10h de boulot hors cours, perso. Donc plutôt 50 petites heures en moyenne.Adolorante a écrit : ↑29 juil. 2018 10:04De manière générale, il faut vraiment aimer ce qu'on fait. Surtout en sup, où on apprend vraiment à faire des maths et de la physique. En spé c'est différent car plus axé concours.
En moyenne, un élève de prépa travaille environ 60h par semaine je dirais, donc comme on y consacre du temps il faut aimer ce qu'on fait. À noter qu'il ne faut pas travailler le plus possible : il s'agit de faire des horaires efficaces. En milieu-fin de sup, c'est là que je travaillais le plus et je n'étais pas productif, j'étais épuisé. En spé je travaillais beaucoup moins : souvent je ne travaillais qu'une heure le soir, le week-end je ne travaillais que le samedi soir (moment le plus productif pour moi). En revanche, j'étais beaucoup plus en forme et bien plus productif, surtout pendant les cours.
C'est très variable (et dans mon cas c'est surtout parce que je ne bossais quasi pas certaines matières, ou tout du moins que je n'avais pas l'impression de les bosser).
L'important, en prépa, c'est d'aimer sa vie et les choses auxquelles on accorde du temps. Si on a une vie heureuse, la prépa se passera bien dans l'absolu.
- soit on la rate totalement académiquement parlant mais comme on a pas sacrifié sa vie à côté, c'pas deux ans de définitivement perdus
- soit on la réussit bien, et dans ce cas on sera pas en mode grosse relâche/dépression post-prépa une fois arrivé en école
Il faut donc relativiser sa prépa, et profiter de sa vie. C'est d'ailleurs aussi ce qui aide à bosser efficacement. (Bon sauf la chimie orga ça c'était vraiment un mauvais moment à passer.)
Chaque vénérable chêne a commencé par être un modeste gland. Si on a pensé à lui pisser dessus.