Bonjour,vercore a écrit : ↑14 nov. 2018 16:15J'ai lu 30% vu la tête du pavé, mais oui, tu racontes n'importe quoi.
Déjà, passer de 1ere année de prépa à la fac concerne dans presque tous les cas des personnes qui étaient en échec scolaire. Des derniers de promo. Ces gens là ne maîtrisent absolument pas le programme de concours, et ne sont donc pas avantagés a ce niveau. Le seul avantage qu'ils en tirent, c'est la connaissance de l'échec, la conscience de la nécessité de travailler régulièrement, et c'est ça qui fait la différence avec les autres purs universitaires. C'est juste une expérience de vie.
Pour le reste, je vois de la jalousie/frustration.
Analysons votre propos, point par point :
1) Vous avouez n'avoir lu que 30 % (de votre propre aveu) du propos de cet intervenant, propos que vous qualifiez très respectueusement de "pavé". La moindre des choses quand on veut critiquer c'est de lire l'intégralité, ça s'appelle le sérieux et la rigueur. On pourrait s'arrêter là pour mesurer la teneur et la qualité de votre intervention.
2) Par ailleurs, vous dites que la réorientation concerne "presque tous" des élèves en échec :
- supposons que ce soit vrai (parce que vous n'avez fourni aucun chiffre à ce sujet), presque tous donc pas tous, il y a une partie d'entre eux qui ne sont pas en échec et qui vont donc se retrouver en fac par désir (et qui vont probablement se trouver en concurrence avec les purs universitaires lors des concours universitaires). Par ailleurs ceux qui sont en échec scolaire en prépa s'avère être par la suite parmi les meilleurs éléments en fac (d'après les multiples témoignages et expériences mais aucun chiffre précis non plus) et eux aussi vont probablement se retrouver en concurrence avec les purs universitaires lors des concours universitaires.
Tous ces élèves sont donc avantagés (ce n'est pas un jugement, c'est un fait) parce qu'ils ont bénéficié de la formation CPGE.
Aucun avis personnel sur le fait que ce soit juste ou pas.
3) Enfin sur votre dernière phrase ('jalousie"), elle est au mieux puérile, au pire désobligeante.