travail pendant les vacances scolaires
En réponse à "Bourriquot":
Nous ne l'astreignons à rien du tout, nous ne faisons que nous interroger sur la quantité de travail fournie habituellement en MPSI pendant les vacances, il n'a pas besoin de nous pour s'y mettre, et le pousser aurait peut etre même l'effet inverse....
Il sait pourquoi il est là et ce qu'il veut faire plus tard et aime ce qu'il fait: certaines demonstrations de math sont meme selon ses dires "trop belles" .
Il semble juste un peu trop sûr que ses notes vont remonter en continuant un travail régulier ( je parle des notes en DS car ses notes en colles sont aux alentours de 13 /14 avec même un 18 en physique !!)
et nous nous demandons juste si son travail fourni est suffisant.
Nous ne l'astreignons à rien du tout, nous ne faisons que nous interroger sur la quantité de travail fournie habituellement en MPSI pendant les vacances, il n'a pas besoin de nous pour s'y mettre, et le pousser aurait peut etre même l'effet inverse....
Il sait pourquoi il est là et ce qu'il veut faire plus tard et aime ce qu'il fait: certaines demonstrations de math sont meme selon ses dires "trop belles" .
Il semble juste un peu trop sûr que ses notes vont remonter en continuant un travail régulier ( je parle des notes en DS car ses notes en colles sont aux alentours de 13 /14 avec même un 18 en physique !!)
et nous nous demandons juste si son travail fourni est suffisant.
Bonsoir !
J'espère que vous n'avez pas mal pris ce que j'ai dit, j'en serais fort désolé . Je ne suis plus professeur, et pas encore tout à fait élève (sic), je donnais juste mon opinion.
Ce que vous dîtes est très rassurant : il aime ce qu'il fait, il sait ce qu'il veut, et il travaille régulièrement : les efforts finiront certainement par payer ! Qu'il travaille autant qu'il le peut et fasse un break quand il en a marre, c'est le seul rythme en prépa (sauf pour les "hyper-surdoués", mais je n'en ai jamais rencontrés, même parmi ceux qui sont partis à Polytechnique ou l'ENS...). Et même rythme durant les vacances, sauf qu'on prend tous ses repas en famille .
Bonne continuation !
Bourricot
J'espère que vous n'avez pas mal pris ce que j'ai dit, j'en serais fort désolé . Je ne suis plus professeur, et pas encore tout à fait élève (sic), je donnais juste mon opinion.
Ce que vous dîtes est très rassurant : il aime ce qu'il fait, il sait ce qu'il veut, et il travaille régulièrement : les efforts finiront certainement par payer ! Qu'il travaille autant qu'il le peut et fasse un break quand il en a marre, c'est le seul rythme en prépa (sauf pour les "hyper-surdoués", mais je n'en ai jamais rencontrés, même parmi ceux qui sont partis à Polytechnique ou l'ENS...). Et même rythme durant les vacances, sauf qu'on prend tous ses repas en famille .
Bonne continuation !
Bourricot
J'avais écrit "trop de trigo à mon gout"...aurai-je été censuré ? C'était une réplique fine je suis déçu qu'on ai supprimé ce message d'une utilité qui est certes peu visible mais qui illustrait mon répartiPhilippe PATTE a écrit :J'hésite entre +1 et -1.BiG a écrit : si ce n'est pour flooder comme d'habitude, depuis le temps ça manque.
(ouais enfin bon je me defend quoi...)
Je crois que se poser des questions sur la quantité de travail est légitime quand elle paraît insuffisante; je répondrais qu'il faut travailler "autant que possible" et ne pas se censurer question travail à la condition impérative de garder la santé et d'installer idéalement un régime stationnaire. à éviter à mon avis le régime périodique avec récupération pendant les vacances, quoique on peut s'en sortir très bien dans ce mode dégradé.
Après, il faut voir qu'un travail modéré suffit souvent à intégrer une école d'ingénieurs: c'est pour cela que le système des prépas est génial par rapport aux autres: il y a un boulot à la sortie pour les gens sérieux. Le tout est de savoir laquelle, d'école.
Le travail à fournir est une notion complexe, qui dépend surtout:
du niveau de départ de l'élève,
de ses "facilités" ou difficultés,
du niveau qu'il cherche à atteindre et de la difficulté d'obtenir l'Ecole visée.
Un élève de prépa "moyen" de niveau initial "moyen" travaillant "moyennement" n'aura pas l'Ecole Polytechnique en toute probabilité: c'est juste une question de statistiques. Pour l'avoir il faut être dans les 180 "meilleurs au concours à l'instant t" en gros en MP (sur plusieurs milliers).
Après, à chacun de voir, la prépa est un monde libre, où chacun peut travailler à son rythme avec les meilleures chances de réussite, il y a suffisamment d'écoles pour tout le monde.
Et pas de jugement de valeur là-dedans: on peut s'épanouir 2 ou 3 ans, ou 10 ans après le bac...
Après, il faut voir qu'un travail modéré suffit souvent à intégrer une école d'ingénieurs: c'est pour cela que le système des prépas est génial par rapport aux autres: il y a un boulot à la sortie pour les gens sérieux. Le tout est de savoir laquelle, d'école.
Le travail à fournir est une notion complexe, qui dépend surtout:
du niveau de départ de l'élève,
de ses "facilités" ou difficultés,
du niveau qu'il cherche à atteindre et de la difficulté d'obtenir l'Ecole visée.
Un élève de prépa "moyen" de niveau initial "moyen" travaillant "moyennement" n'aura pas l'Ecole Polytechnique en toute probabilité: c'est juste une question de statistiques. Pour l'avoir il faut être dans les 180 "meilleurs au concours à l'instant t" en gros en MP (sur plusieurs milliers).
Après, à chacun de voir, la prépa est un monde libre, où chacun peut travailler à son rythme avec les meilleures chances de réussite, il y a suffisamment d'écoles pour tout le monde.
Et pas de jugement de valeur là-dedans: on peut s'épanouir 2 ou 3 ans, ou 10 ans après le bac...
Oui ben l'élève moyen travaillant moyennement il peut se gratter...scherzo a écrit :Un élève de prépa "moyen" de niveau initial "moyen" travaillant "moyennement" n'aura pas l'Ecole Polytechnique en toute probabilité: c'est juste une question de statistiques. Pour l'avoir il faut être dans les 180 "meilleurs au concours à l'instant t" en gros en MP (sur plusieurs milliers).
Il n'y a pas de bonne surprise ou de miracle à ce concours, que des des mauvaises surprises, vu que des gens qui ont le niveau sont refusés faute de place.
Non, il ne faut pas rêver, la chance ne joue pas beaucoup. La malchance, à la limite, peut faire que qu'lqu'un qui a le niveau d'un concours difficile se plantera, mais la chance ne transformera pas une bourrique en pur-sang, ne serait-ce que le temps d'un concours!BiG a écrit :Faut travailler comme un crevard et sérieusement...après même si on est au milieu de la classe en spé ça peut passer je pense...question de chance, ça joue aussi beaucoup