Vous avez raison de rappeler que l'on peut avoir des vœux en attente, tout en ayant procédé à son inscription dans un premier lycée.Chagui a écrit : ↑12 août 2018 14:45Certains élèves déjà inscrits en juillet ont encore des voeux en attente.
On ne peut donc pas traiter ces derniers différemment de ceux s'inscrivant fin août.
S'ils n'ont pas un oui définitif, ils peuvent s'inscrire et commencer les cours.
Le cas est prévu par parcoursup, la charte prévoyant de rembourser un élève s'étant inscrit et finalement acceptant un voeu pour lequel il était en attente. Parcoursup avait donc prévu que des élèves pouvaient s'inscrire en gardant des voeux en attente.
Ils seront déjà déçus, il n'est pas souhaitable, en plus, de leur faire louper les premiers cours.
Il est même conseillé de procéder ainsi, quand on le peut.
Et on se gardera de blâmer ces jeunes a priori, qui gardent sous le coude des vœux en attente alors qu'ils sont affectés, chaque jeune a ses raisons, souvent loin d'être répréhensibles, à défaut d'être rationnelles (et même ça, ça se discute). (je dis ça parce que je crois être en désaccord avec FT15 sur ce point, mais je me trompe peut-être désormais).
En revanche, je pense que cette nouvelle organisation était prévue pour l'avant-rentrée: c'est à dire sans pousser des jeunes dans un lycée la première semaine pour le quitter la seconde, rejoignant une autre affectation obtenue tardivement. C'est un couac possible, mais non désiré (j'imagine).
On navigue un peu à vue, dans cette histoire, et le mieux, c'est de rester confiant et bienveillant, de voir le côté positif, tout en admettant que couac il y aura, à régler au cas par cas, humainement.