Centrale Paris

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Message par Jay Olsen » 13 juil. 2018 16:54

Un document à archiver dans toutes les mémoires :
https://www.cahiers-techniques-batiment ... ance.36824#

:cry:
Toujours en train de calculer des matrices de rotation

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Message par padpad » 13 juil. 2018 22:47

Celui qui entre dans le moule de la pensée unique ne doit pas s'étonner d'en sortir avec la pensée unique d'une moule.
Ou si vous préférez, plus on essaie de rentrer dans le moule plus on ressemble à une tarte.

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Message par padpad » 24 août 2018 22:56

bon on approche du 31/8 ... on en est où dans le choix du gars qui va devoir réparer 15 ans de conneries ?
15 juin 2018 - N°27

En bref : les demandes de la CFDT suite au CA

La nomination d’un directeur par intérim.
L’annulation des travaux de la commission.
La constitution d’une nouvelle commission indépendante, sous la conduite de la tutelle, pour un réexamen de l’ensemble des candidatures qui ont pu être recueillies.

Rappel de la procédure

Lors de la réunion du CA du 15 mars, une commission a été élue afin d'étudier les dossiers des candidats au poste de directeur de CentraleSupélec. Cette commission était constituée de :

Laurent TARDIF (président de la commission)
Pierre VAREILLE
Yves LOUËT (vice-président du CA, élu CFDT du personnel)

Il a aussi été acté que le président du CA, Daniel RIGOUT, participerait, à la demande de la commission, aux auditions et au processus de sélection.

Conformément aux textes, cette commission a pour mission de rédiger un rapport qui sera soumis au vote lors de la réunion de juin du CA. Ce rapport doit proposer un ou plusieurs noms, classés ou non (tout ceci n'est pas explicitement précisé ni dans le règlement intérieur, ni dans la motion votée par le CA) ainsi que les motifs ayant conduit à cette proposition.

Par ailleurs, le CA a voté une liste de critères à utiliser pour évaluer les candidats.

Déroulement du processus de sélection

11 candidats se sont officiellement déclarés, 4 internes et 7 externes.

Chacun a été auditionné pendant 1h30 par la commission qui était finalement constituée de 5 membres puisqu'un secrétaire a été appelé en renfort (le CA n'a été informé que très tardivement de la présence de cette personne supplémentaire).

Il faut par ailleurs noter qu'un cabinet de chasseurs de têtes a été mandaté par les communautés (et financé par la fondation) bien avant le début du processus afin d'identifier et de solliciter des personnes susceptibles d'être candidates au poste de directeur de CentraleSupélec. Ce cabinet a par ailleurs produit des analyses sur les candidats.

Les membres de la commission ont évalué sur 4 niveaux les candidats sur les critères votés en CA, à partir des dossiers et des auditions. Suite à la synthèse de ces évaluations, 4 candidats ont été retenus (la « short list ») pour la poursuite du processus, les autres ont été officiellement informés de leur non-sélection.

Une seconde série d'auditions a été organisée ; les 4 candidats devaient en particulier réagir au mémorandum de la CFDT qui leur avait été adressé (cf. Lettre CFDT n°26).

La commission a estimé que deux candidats, Christian BÉCHON et Frédéric FOTIADU, se détachaient nettement des autres vis-à-vis des critères du CA. Par ailleurs, la commission a souhaité prendre l'avis de quelques autres administrateurs sélectionnés, et a organisé une nouvelle audition de ces deux candidats le 2 mai (sans en informer le reste du CA). Yves LOUËT a dû insister pour qu'un administrateur élu participe aussi à cette audition. C'est Dominique MARCADET, élu CFDT, qui était présent.

C'est officiellement le 4 mai que la commission a pris la décision de retenir les 2 finalistes, ce qui pose la question suivante : pourquoi l'audition du 2 mai n'a concernée que 2 candidats, et non pas les 4 de la « short list » ?

Le 20 mai, Yves LOUËT a annoncé aux administrateurs sa démission de la commission : il s'est avéré a posteriori que les administrateurs extérieurs conviés à l'audition du 2 mai étaient majoritairement membres de l'« advisory board », groupe (inconnu des élus CFDT avant ce processus de sélection) chargé de conseiller et de « challenger » le directeur de CentraleSupélec, mais aussi groupe dont est membre Christian BÉCHON, ce qui amène un sérieux doute sur l'impartialité de l'avis donné. Les 2 administrateurs extérieurs de la commission, ainsi que le président du CA, refusant de faire évoluer le processus pour corriger ce biais ont donc conduit Yves LOUËT à démissionner.

Suite à des critiques formulées par d'autres administrateurs, y compris extérieurs, une audition complémentaire des deux finalistes, à l'intention des administrateurs n'ayant pas participé au processus, a finalement été organisée le 4 juin (la CFDT et la CGT ont boycotté cette audition considérant que le processus était à cette date trop fortement biaisé).

Le rapport de la commission, dont une version préliminaire devait être envoyée aux administrateurs début juin, a finalement été mis à disposition uniquement sous forme papier à partir du 11 juin après-midi.

Compléments obtenus par la CFDT sur le candidat favori

Suite à la sélection des 2 finalistes, les élus CFDT ont décidé d'activer le réseau syndical pour obtenir des points de vue autres. Ils ont en particulier pris l'initiative de contacter le secrétaire de la section syndicale CFDT de LFB, entreprise où M. BÉCHON a été PDG pendant 11 ans jusqu'en 2017, afin de mettre en perspective l'analyse un peu trop positive à leurs yeux faite par le cabinet de chasseurs de têtes mentionné ci-dessus. Bien leur en a pris, la perception est effectivement très différente :

bienveillance à l'écoute, mais autoritaire et pouvant parfois se montrer menaçant,
décisions économiques et stratégiques hasardeuses,
équipe de direction semblant choisie plus par des liens d'amitiés que pour les compétences des personnes retenues.

Le LFB est actuellement dans une situation financière délicate suite aux mauvaises décisions de M. BÉCHON qui n'a d'ailleurs pas été reconduit dans ses fonctions par l'État actionnaire à 100% de l'entreprise. Un plan de redressement est en cours de préparation et des licenciements sont envisagés. Un rapport de la Cour des Comptes devrait sortir fin juin et serait très négatif sur la présidence du LFB par M. BÉCHON.

Par ailleurs, la candidature de M. BÉCHON nous semble très faible au regard de nombreux critères d'évaluation retenus par le CA : candidature très clivante, méconnaissance du monde académique, faible expérience du monde économique privé...

Déroulement de la séance

Le président du CA, qui organise les débats, a souhaité que la totalité du rapport (environ 35 pages) soit lu en séance par les 2 membres restants de la commission, ce qui a pris pas loin d'une heure, réduisant d'autant le temps consacré au débat. Un administrateur extérieur, pourtant en général favorable au président, a réussi à faire abréger la lecture de certains chapitres, ce que n'avait pas réussi à obtenir un administrateur élu. Notons que Daniel RIGOUT est coutumier de longues interventions, mais supporte difficilement que d'autres, en particulier s'ils ne sont pas d'accord avec lui et encore plus s'ils sont représentants élus du personnel, puissent s'exprimer pendant plus d'une ou deux minutes.

La CGT, puis la CFDT (voir ci-dessous) ont alors lu leur déclaration annonçant un vote négatif de leur part. D'autres interventions ont suivi et les échanges ont clairement mis en évidence d'autres défauts de la procédure qui n'avaient pas été relevés pas les élus CFDT et CGT, comme par exemple l'absence de sollicitation d'avis des partenaires de CentraleSupélec (partenaires dans l'université de Paris Saclay et partenaires internationaux).

Les représentants des tutelles ne sont pas intervenus.

Une lecture étrange du règlement intérieur

Le règlement intérieur précise la modalité suivante pour la désignation du directeur :

Les candidatures sont examinées par la commission. Au vu des différents projets présentés, la commission établit un rapport qu’elle soumet au conseil d’administration. Ce dernier se prononce à la majorité qualifiée des deux tiers des membres présents ou représentés.

Notre compréhension de cet article était que le rapport, présenté par la commission, devait être approuvé à la majorité des deux tiers pour être transmis aux tutelles puisque seul le CA a le pouvoir de décision, ce qui n'est bien évidemment pas le cas de la commission. Le président du CA, a priori avec le soutien des tutelles, a une autre lecture : le CA se prononce par un vote, et le résultat du vote, quel qu'il soit, est transmis aux ministères avec le rapport. Donc, la majorité des deux tiers mentionné dans le règlement intérieur est une pure décoration sans aucune importance et l'avis du CA devient purement consultatif !

De même, notre lecture de ce même article du règlement intérieur nous amenait à penser que le vote devait porter sur le rapport lui-même, dans sa totalité. Erreur là encore, la motion proposée par le président ne portait que sur les 2 noms et leur ordre, et donc nullement sur la qualité des arguments justifiant les choix opérés par la commission.

Le vote

Le conseil d'administration est composé de 32 membres : 10 élus du personnel, 4 élus des élèves, 2 représentants des tutelles et 16 personnalités extérieures dont le représentant de la région Île de France.

Le vote a été effectué à bulletins secrets, mais les positions des uns et des autres ont assez clairement été exposées lors des débats. Ainsi, tous les élus du personnel ont voté contre.

Le résultat final est le suivant :

17 votes pour
15 votes contre

Bizarrement, et contrairement à ce qui se passe dans les autres établissements selon nos contacts, les 2 représentants des tutelles ont pris part au vote (sans s'abstenir) sans pour autant exprimer la moindre position lors des débats.

La suite

Rappelons un extrait de l'article 5 des statuts de CentraleSupélec :

Le directeur est nommé pour un mandat d'une durée de cinq ans renouvelable une fois, par décret du Président de la République pris sur le rapport des ministres chargés de l'industrie et de l'enseignement supérieur

C'est donc les tutelles qui vont décider de la suite du processus : soit elles établissent un rapport pour soumettre un nom issu, ou pas, de la liste des finalistes figurant dans le rapport de la commission, soit elles accèdent à la demande de la CFDT de constituer une nouvelle commission.

L'analyse du vote nous amène à penser que les 2 représentants des ministères ont voté pour la motion, donc qu'ils souhaitent la poursuite du processus engagé et la nomination du nouveau directeur pour le 1er septembre. Il semble par ailleurs que les tutelles ont imposé la présence de plus d'un nom dans le rapport : est-ce justement pour se donner une porte de sortie dans le cas où le candidat placé en première position se révélait trop peu consensuel ?

Côté CFDT, nous allons en tout cas faire passer aussi haut et fort que possible le message que la nomination de M. BÉCHON serait préjudiciable à l'école. Et nous suggérerons de repartir de la « short list » issue du 1er tour qui comporte deux autres candidats écartés sans raisons valables.

Déclaration des élus SGEN-CFDT au Conseil d’Administration de CentraleSupélec du 14 juin 2018 à propos de la désignation du nouveau directeur pour l’établissement.

Les élus CFDT dénoncent la façon dont ont été conduits les travaux menés par la commission chargée d’auditionner les candidats à la Direction Générale de CentraleSupélec et d’émettre, conformément au règlement intérieur de l’établissement, un rapport final sur ces auditions. Des faits graves nous permettent aujourd’hui d’affirmer que l’impartialité, absolument nécessaire dans le processus d’audition, n’a pas été respectée. Les raisons qui nous poussent à établir ce constat sont les suivantes :

La commission, initialement constituée de 4 personnes, suite au vote du Conseil d’Administration du 15 mars 2018, s’est adjoint les services d’un secrétaire de séance, en la personne de Denis Deguilhen, qui, bien loin de s’en tenir à son rôle de secrétaire, est intervenu dans les débats, a posé des questions aux candidats et a pris position dans les délibérations comme s’il était un membre à part entière de la commission. Denis Deguilhen est un ancien DRH de différentes filiales de Bouygues Construction, proche de Daniel Rigout et appelé par ce dernier à participer aux travaux de la commission.
Sans l’intervention du Vice-Président du Conseil d’Administration et membre de la commission, les auditions du 2 mai chargées de recueillir des avis extérieurs sur les deux candidats finalistes – à savoir Frédéric Fotiadu et Christian Béchon – auraient été exclusivement réservées à certains membres du comité stratégique de l’école, dont fait aussi parti Christian Béchon. Il est à noter enfin que Pierre Vareille, Laurent Tardif et Daniel Rigout, membres de la commission, siègent également à ce comité stratégique.

Dans ces conditions, il ne fait aucun doute aujourd’hui que monsieur Béchon a bénéficié d’avantages certains aux dépens des autres candidats et que nous sommes en présence d’un conflit d’intérêt flagrant, ce qui a poussé le Vice-Président du Conseil d’Administration à démissionner du mandat qui lui avait été confié au sein de la commission.

Il convient de s’interroger sur les raisons profondes qui ont conduit les auteurs de ce parti pris à retenir la candidature de Christian Béchon, un candidat qui ne pourra exercer plus d’un mandat à CentraleSupélec alors que la construction de notre école ainsi que celle de l’université Paris-Saclay sont loin d’être achevées, et que Monsieur Béchon a laissé un très mauvais souvenir dans le dernier établissement qu’il a dirigé jusqu’en 2017, le LFB, tant sur le plan humain, que sur sa conduite des affaires.

En raison d’une gestion désastreuse, le LFB est en effet aujourd’hui en très grande difficulté financière - comme le confirmera un rapport de la Cour des comptes à paraître à la fin du mois - et a subi une injonction de l’Agence du Médicament qui a constaté de nombreux problèmes de qualité dans la production. L'Agence des participations de l'Etat, actionnaire unique du LFB, a souhaité le départ de Christian Béchon, qui n’a pas pu exercer un troisième mandat.

De plus, et contrairement à d’autres candidats, Monsieur Béchon est une personnalité relativement inexpérimentée dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche, ainsi que dans celui de l’entreprise, et n’a même jamais eu à diriger une école.

Enfin, dans l’optique de constituer son équipe de direction, faute de trouver grâce auprès des bons interlocuteurs internes à CentraleSupélec, Monsieur Béchon envisagerait de s’appuyer sur des personnes dont les agissements ont précisément été dénoncés avec force dans le mémorandum de la CFDT. La très grande majorité des personnels déjà informés de cette situation est catastrophée par ce scénario qui occasionnera certainement de nombreuses démissions formelles ou informelles notamment au sein de l’encadrement. C’est une véritable catastrophe qui s’annonce à la veille de la rentée 2018 rendue déjà très périlleuse du fait de la mise en place du nouveau cursus. Et les inquiétudes ne se cantonnent pas à CentraleSupélec, elles ont déjà atteint le plateau de Saclay.

À ce niveau de déni et d’inconscience, c’est non seulement la question du conflit d’intérêt qui est en cause, mais aussi et plus grave encore celle de la prospérité de l’école à court terme.

A contrario, tout a été fait pour écarter les candidatures susceptibles de faire obstacle à celle de Christian Béchon, candidatures qui présentent en vérité, nous en avons aujourd’hui les preuves, de bien meilleurs résultats au regard des critères de sélection établis par le Conseil d’Administration, de leurs expériences et des besoins réels de l’école.

Cette première désignation du directeur de CentraleSupélec sur avis du Conseil d’Administration doit impérativement faire consensus et permettre à l’école de se tourner résolument vers l’avenir, de tourner le dos à des méthodes de gouvernance aujourd’hui dépassées.

Dans ces conditions, le rapport final de la commission, du fait des nombreux biais et dysfonctionnements évoqués, ne saurait constituer une base impartiale pour permettre d’évaluer au plus juste l’ensemble des candidats.

En conséquence nous demandons :

la nomination d’un directeur par intérim,
l’annulation des travaux de la commission,
la constitution d’une nouvelle commission indépendante, sous la conduite de la tutelle, pour un réexamen de l’ensemble des candidatures qui ont pu être recueillies.
Celui qui entre dans le moule de la pensée unique ne doit pas s'étonner d'en sortir avec la pensée unique d'une moule.
Ou si vous préférez, plus on essaie de rentrer dans le moule plus on ressemble à une tarte.

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Message par Jay Olsen » 24 août 2018 23:10

Too long, did not read ?
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Re: Centrale Paris

Message par Kethano » 25 août 2018 00:40

Jay Olsen a écrit :
24 août 2018 23:10
Too long, did not read ?
TL;DR : padpad semble en dèche de canaux où relayer ses infos.

Au moins Moatti a-t-il la décence de tenir un blog.

Et puis peut-être qu’un énarque ça évitera de se faire piner une énième fois par l’état...
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Message par Kheyron » 25 août 2018 11:07

L'annonce a été faite ce matin, Romain Soubeyran est le nouveau directeur de CentraleSupélec

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Re: Centrale Paris

Message par padpad » 25 août 2018 12:25

Kethano a écrit :
25 août 2018 00:40
Jay Olsen a écrit :
24 août 2018 23:10
Too long, did not read ?
TL;DR : padpad semble en dèche de canaux où relayer ses infos
tu sais si t'as pas la réponse, tu peux passer ton tour.
Merci à Kheyron, j'avais pas vu l'annonce.
Celui qui entre dans le moule de la pensée unique ne doit pas s'étonner d'en sortir avec la pensée unique d'une moule.
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Re: Centrale Paris

Message par padpad » 29 août 2018 09:37

https://www.20minutes.fr/monde/2327107- ... -formation

#TLDR à mon avis, on ne lui avait pas dit avant de s'engager qu'il devrait lire des manuels un peu plus longs que des tweets
Celui qui entre dans le moule de la pensée unique ne doit pas s'étonner d'en sortir avec la pensée unique d'une moule.
Ou si vous préférez, plus on essaie de rentrer dans le moule plus on ressemble à une tarte.

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Re: Centrale Paris

Message par siro » 29 août 2018 15:08

Je cherche le rapport avec le topic. :mrgreen:
Chaque vénérable chêne a commencé par être un modeste gland. Si on a pensé à lui pisser dessus.

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Re: Centrale Paris

Message par schmetterling » 29 août 2018 15:10

Tu n'es pas le seul...
Mère de trois jeunes :wink:
PTSI-PT JULES - Ingénieur Arts et Métiers
MPSI-PSI* HOCHE - CS//TUMunich
BCPST HOCHE - AgroSup Dijon

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