Même sur une école de province, je ne pense pas que le BDE puisse rester insensible à ce genre d'incongruité. D'autant qu'il est toujours possible d'informer les autres écoles autour (créer une sorte de "bad buzz", quoi).father a écrit : ↑02 janv. 2018 12:26Vous avez parfaitement raison
Mais vous raisonnez sur des grosses écoles dont la marque pèse dans le paysage
pas sur une polytech de province... (j'évite les qualificatifs)
L'action de promo peut effectivement du poids (cela s est déjà vu)
Tout dépend de l'esprit de corps qui l'anime. Je crains qu il ne soit que limité mais je peux me tromper. Un contact avec l'assoc des élèves peut également être pris... Il faut mobiliser tous les moyens possibles
Enfin, si la décision concerne UN directeur des études, il reste là aussi la possibilité de le mettre en porte à faux face à ses collègues en contactant et expliquant un autre directeur des études, la psychologue de l'école s'il y en a une, les professeurs des matières incriminées*, voire même le directeur de l'école.
* A ce sujet, il ne faut pas sous-estimer la disponibilité des professeurs. Un mail gentil du style "je n'ai pas pu travailler du fait de cet évènement, je n'ai pas osé le dire et maintenant je suis menacé de me faire renvoyer, je n'ai pas vraiment de solution, serait-il possible d'obtenir un arrangement quant à la validation de la matière puisque le redoublement m'a été interdit" (en détaillant un peu plus bien sûr ) permettra, à mon avis, de se sortir de la situation à moindre frais. (J'en ai fait moi même l'expérience, et j'ai été surpris des formats d'évaluation que l'on m'offrait.. ).
Quand bien même le professeur refuserait, le directeur des études sera à nouveau mis en difficulté face à ce dernier qui pourrait choisir d'intervenir.