Disons qu'il est mieux pour toi aussi de ne pas être recruté dans une entreprise qui ne te convient pas, parce que tu ne t'entendras pas avec telle personne ou n'en partagera pas les valeurs...niepin a écrit :Je suis bien d'accord avec vous bullquies et Manutaust sur le fait que c'est plus enrichissant de varier les stages.
Par contre bullquies, je sais pas si c'est trop applicable ce que tu racontes sur le fait de pas travailler avec tel ou tel gus. Si tu vises un métier très ciblé et que tu es en entretien pour le poste de tes rêves, le rater à cause du gus qui préfère les parcours linéaires ce serait dommage. Puis tu ne travailles pas forcément toujours au quotidien avec le gus qui t'embauche.
Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
Manutaust a écrit : Mais sinon, évidemment, je pense qu'on est tous d'accord pour dire que c'est plus enrichissant de varier les stages. C'est juste navrant que ça joue des tours au recrutement après.
peut-être que les anglos-saxons sont moins obtus ....
http://www.lemonde.fr/campus/article/20 ... 01467.html
Celui qui entre dans le moule de la pensée unique ne doit pas s'étonner d'en sortir avec la pensée unique d'une moule.
Ou si vous préférez, plus on essaie de rentrer dans le moule plus on ressemble à une tarte.
Ou si vous préférez, plus on essaie de rentrer dans le moule plus on ressemble à une tarte.
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
HS mais quid du CV où l'individu a eu un ou deux ans de latence pour cause de maladie ou autre lors de ses études ?
Admettons le type qui fait: bac > 1 an de prepa > interruption d'un an ou deux pour arrêt maladie > reprise mais à la fac > excellent M2 ou intégrer une bonne école en M1 ou L3
Bref un bon parcours malgré un couac de début.
On indique ça comment sur un CV et comment ça se justifie ?
( enfin, on peut déplacer l'hypothétique interruption plus tard dans la scolarité aussi, pendant les années d'école d'inge aussi ! )
Admettons le type qui fait: bac > 1 an de prepa > interruption d'un an ou deux pour arrêt maladie > reprise mais à la fac > excellent M2 ou intégrer une bonne école en M1 ou L3
Bref un bon parcours malgré un couac de début.
On indique ça comment sur un CV et comment ça se justifie ?
( enfin, on peut déplacer l'hypothétique interruption plus tard dans la scolarité aussi, pendant les années d'école d'inge aussi ! )
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
On a déjà donné des conseils à Eddy Gordo, sur comment expliquer - sans mentir - un tel trou dans son CV.
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
Ouais mais le facteur âge n'a aucune importance ? J'en discutais avec des camarades l'autre
Jour, l'un d'eux me soutenait que si tu sors de ton M2 à plus de 25 piges, t'es déjà grillé.
Jour, l'un d'eux me soutenait que si tu sors de ton M2 à plus de 25 piges, t'es déjà grillé.
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
c'est même la norme dans la plupart des pays.corderaide a écrit :Ouais, Eddy Gordo parce que c'est un parano persuadé que des aliens vont venir l'enlever si on découvre sa maladie.
Tu sais, une 5/2 + une ENS et tu as un M2 à 25 ans. Je n'ai jamais entendu parler d'un normalien qu'on ferait chier pour son âge en sortie.
The Axiom of Choice is obviously true, the Well-Ordering Principle is obviously false, and nobody knows about Zorn's Lemma. - Jerry Bona
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
Il me semble bien. Donc déjà ca règle le cas du monde anglo-saxon (ou presque)corderaide a écrit :Ouais, les bachelor degree c'est pas 4 ans déjà ?bullquies a écrit :c'est même la norme dans la plupart des pays.corderaide a écrit :Ouais, Eddy Gordo parce que c'est un parano persuadé que des aliens vont venir l'enlever si on découvre sa maladie.
Tu sais, une 5/2 + une ENS et tu as un M2 à 25 ans. Je n'ai jamais entendu parler d'un normalien qu'on ferait chier pour son âge en sortie.
En Allemagne les interruptions dans le parcours universitaires sont très répandues. Il n'est pas rare de commencer son cursus d'arrêter quelques années (pour voyager par exemple) puis de reprendre. Et ca pause aucun problème. Ils estiment qu'il n'y a pas que les études qui forment et que toute expérience est potentiellement un plus.
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
Sans parler de ceux qui ont besoin de refaire une année... Je ne sais pas pour l'Allemagne mais en Suisse c'est pas rare du tout.van_fanel a écrit :Il me semble bien. Donc déjà ca règle le cas du monde anglo-saxon (ou presque)corderaide a écrit :Ouais, les bachelor degree c'est pas 4 ans déjà ?bullquies a écrit : c'est même la norme dans la plupart des pays.
En Allemagne les interruptions dans le parcours universitaires sont très répandues. Il n'est pas rare de commencer son cursus d'arrêter quelques années (pour voyager par exemple) puis de reprendre. Et ca pause aucun problème. Ils estiment qu'il n'y a pas que les études qui forment et que toute expérience est potentiellement un plus.
The Axiom of Choice is obviously true, the Well-Ordering Principle is obviously false, and nobody knows about Zorn's Lemma. - Jerry Bona
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
Ceci est-il vrai pour la plupart des établissements ou juste les plus réputés/difficiles? (genre en france dans une université qui a 6 étudiants en L3, t'auras pas beaucoup de redoublements tandis que dans d'autres seul 12% font leur licence en 3 ans). Et ca se passe comment? Des rattrapages? On peut ne refaire que certains cours? Et est pénalisant pour la suite du cursus ou le premier emploi?bullquies a écrit :Sans parler de ceux qui ont besoin de refaire une année... Je ne sais pas pour l'Allemagne mais en Suisse c'est pas rare du tout.van_fanel a écrit : Il me semble bien. Donc déjà ca règle le cas du monde anglo-saxon (ou presque)
En Allemagne les interruptions dans le parcours universitaires sont très répandues. Il n'est pas rare de commencer son cursus d'arrêter quelques années (pour voyager par exemple) puis de reprendre. Et ca pause aucun problème. Ils estiment qu'il n'y a pas que les études qui forment et que toute expérience est potentiellement un plus.
Re: Son CV et ses années pré-école, quelle importance ?
Mmmmm je ne sais pas...van_fanel a écrit :Ceci est-il vrai pour la plupart des établissements ou juste les plus réputés/difficiles? (genre en france dans une université qui a 6 étudiants en L3, t'auras pas beaucoup de redoublements tandis que dans d'autres seul 12% font leur licence en 3 ans). Et ca se passe comment? Des rattrapages? On peut ne refaire que certains cours? Et est pénalisant pour la suite du cursus ou le premier emploi?bullquies a écrit :Sans parler de ceux qui ont besoin de refaire une année... Je ne sais pas pour l'Allemagne mais en Suisse c'est pas rare du tout.van_fanel a écrit : Il me semble bien. Donc déjà ca règle le cas du monde anglo-saxon (ou presque)
En Allemagne les interruptions dans le parcours universitaires sont très répandues. Il n'est pas rare de commencer son cursus d'arrêter quelques années (pour voyager par exemple) puis de reprendre. Et ca pause aucun problème. Ils estiment qu'il n'y a pas que les études qui forment et que toute expérience est potentiellement un plus.
Il n'y a pas de rattrapages, il faut valider des blocs en moyenne le plus souvent. Et si on ne valide pas un bloc on refait une année pour reprendre les cours qu'on a raté et remonter les notes. Le soucis c'est que comme les cours du semestre d'automne et du semestre de printemps sont différents, si tu rates un cours du semestre d'automne t'es obligé d'attendre le semestre d'automne suivant.
Je ne pense pas que ce soit pénalisant, ça a l'air d'arriver assez souvent surtout en bachelor. En master j'en ai pas encore rencontré.
The Axiom of Choice is obviously true, the Well-Ordering Principle is obviously false, and nobody knows about Zorn's Lemma. - Jerry Bona