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De la place dans le secteur aérospatiale ?

Publié : 09 sept. 2017 05:03
par Workeuse
Bonjour à tous, tout est dans le sujet.
Je suis intéressée par la mécatronique et l'aérospatiale, j'aimerais faire de la mécatronique dans le secteur aérospatiale idéalement.
Cependant, ilme semble que le secteur aérospatial paye bien (de mon point de vue d'étudiante sans expérience), et ça me plairait bien de me spécialiser en aéronefs.
Mais vu que c'est un secteur assez prisé par les étudiants bah je me demande si y'a de la place dans le secteur ou si je dois rester sur ma première idée qui me permettra d'être un plus polyvalente.

Re: De la place dans le secteur aérospatiale ?

Publié : 09 sept. 2017 08:50
par padpad
Jay Olsen a écrit :
09 sept. 2017 05:03
Jay on t'appelle

Re: De la place dans le secteur aérospatiale ?

Publié : 09 sept. 2017 10:58
par siro
Le secteur ne paie pas particulièrement bien, et les places sont très chères. Les grands groupes ont fermé leurs programmes de recrutement intense, donc difficile d'avoir un poste.
Aujourd'hui. Dans cinq ans la donne peut être différente.

Re: De la place dans le secteur aérospatiale ?

Publié : 09 sept. 2017 12:43
par LaMouette
padpad a écrit :
09 sept. 2017 08:50
Jay Olsen a écrit :
09 sept. 2017 05:03
Jay on t'appelle
Et moi alors ? :mrgreen:


Y'a de la place... Un peu. Ca recrute au compte-gouttes. Mais pour les JD, clairement c'est pas la joie, tu as de grandes chances de passer par une SSI (c'est pas la mort, mais bon faut le savoir quoi :roll: ).

Ensuite ca recrute un peu plus facilement dans certaines PME en ce moment. Et même dans les grands groupes il y a des postes qui ont du mal à trouver preneur, mais ne concernent pas les JD.
A côté certains grands groupes laissent vieillir leur population sans faire de transfert de connaissances et enchaînent réorganisation sur réorganisation. Ca ne penche donc pas pour une augmentation flagrante des effectifs...

Mon conseil serait de rester pas loin de l'aéronautique, mais de garder en priorité une discipline qui se fait partout (mécatronique c'est bien !).

Re: De la place dans le secteur aérospatiale ?

Publié : 09 sept. 2017 14:12
par padpad
LaMouette a écrit :
09 sept. 2017 12:43


Et moi alors ? :mrgreen:
plates excuses :-(

Re: De la place dans le secteur aérospatiale ?

Publié : 09 sept. 2017 15:04
par Workeuse
Merci pour vos réponses on ne peut plus claires.
Je resterai sur la mécatronique qui devrait me permettre de bosser dans à peu près n'importe quel secteur industriel.

Re: De la place dans le secteur aérospatiale ?

Publié : 09 sept. 2017 15:41
par Jay Olsen
Workeuse a écrit :
09 sept. 2017 05:03
Bonjour à tous, tout est dans le sujet.
Je suis intéressée par la mécatronique et l'aérospatiale, j'aimerais faire de la mécatronique dans le secteur aérospatiale idéalement.
Cependant, ilme semble que le secteur aérospatial paye bien (de mon point de vue d'étudiante sans expérience), et ça me plairait bien de me spécialiser en aéronefs.
Mais vu que c'est un secteur assez prisé par les étudiants bah je me demande si y'a de la place dans le secteur ou si je dois rester sur ma première idée qui me permettra d'être un plus polyvalente.
Bonjour
La réponse est non.
Pour chiffrer ça, Airbus, le plus gros employeur du secteur, a divisé par 10 ses recrutements par rapport à des années normales (40 recrutements de cadres vs 400 en temps normal).
Ca complique les choses.

Et surtout :
Cependant, il me semble que le secteur aérospatial paye bien (de mon point de vue d'étudiante sans expérience), et ça me plairait bien de me spécialiser en aéronefs.
Pas du tout

Au passage, quand on parle d'aérospatial, c'est plutôt le spatial.
Si on parle d'aeronef, c'est plutôt l'aéronautique.

Re: De la place dans le secteur aérospatiale ?

Publié : 10 sept. 2017 23:55
par Jay Olsen
Voir ici les salaires chez le leader mondial du secteur
http://airbus31.reference-syndicale.fr/ ... n-2015.pdf
Chez qui vous n'entrerez probablement pas, étant donné les ridicules chiffres du recrutement

(Pour préciser : c'est du brut et le salaire c'est 33600€ bruts annuels en moyenne sur tous les ingénieurs de moins de trois ans d'expérience)