Franchement ce débat est stérile à mon gout, parce que ce que tu avances c'est vraiment faux comme argument, du fait qu'en 6 pages il est impossible de faire passer les émotions dont tu parles, de manière à se différencier de celui qui n'a pas lu les oeuvres.alc a écrit : Bonsoir. Je suppose que la question souffre qu'autre que Matthieu y réponde ; Alors je réponds :
Pour un professeur de français, sans aucun doute ! Il me semble que les trente citations par oeuvre sont illusoires et ne seraient, une fois couchées sur le velin de la dissert', que le rustre témoignage de l'appris par coeur, mettant ainsi en évidence le manque de sensibilité du rédacteur.
Un texte se lit, certes ; cependant, un texte est générateur d'émotions et ce sont ces émotions que le rédacteur exprime dans sa rédaction qui mettent en lumière la qualité de la lecture du texte : inexistante, superficielle, complète, exhaustive...
Pour juger, il faut être élève, rendre des rédactions ou passer les concours, et constater.