Des Zanimaux, pas des Nanimaux !!! Comme dans l'expression "des gentils zanimaux".
Ah l'orthographe des jeunes générations ....
Pour le coup est-ce que faire une école d'ingé française, ce serait pas "acheter son diplôme d'ingé" ?Antoine- a écrit : ↑26 août 2017 10:14Oui enfin ils ne s'expatrient pas vraiment pendant 7 ans, ils reviennent en France pendant les vacances et en soit ils sont dans une ville comme les autres où ils peuvent sortir de temps en temps, ils ne vont pas visiter le pays (c'est juste pour nuancer ta réponse).
Après l'ecn est un examen donc dans tous les cas ils seront classés et auront une place en hôpital ...
Je ne dis pas que c'est facile, seulement ça reste un bon moyen de contourner la sélection en première année en France.
Pour ce qui est de l'ingénieur, évidemment qu'il est plus facile de devenir ingénieur, mais c'est tout de même assez différent donc pas vraiment comparable.
Enfin, on s'éloigne un peu du sujet il me semble.
Punaise faut que tu revois la définition de l'expat toi.Antoine- a écrit : ↑26 août 2017 10:14Oui enfin ils ne s'expatrient pas vraiment pendant 7 ans, ils reviennent en France pendant les vacances et en soit ils sont dans une ville comme les autres où ils peuvent sortir de temps en temps, ils ne vont pas visiter le pays (c'est juste pour nuancer ta réponse).
Ce n'est pas la peine de t'énerver, je trouve juste que c'est légèrement différent d'une véritable expatriation, qui est un terme assez large et qui peut donc être vu de diverses manières selon les personnes. Pour moi, l'expatriation concerne les salariés, et puisqu'on fait dans le détail, "vivre à l'étranger" comme tu le dis, pourrait correspondre à une expatriation comme à un détachement (tu vois, j'ai été revoir la [ou plutôt une ?] définition de l'expatriation :p). Mais ce n'est pas l'important ici.Aguila a écrit : ↑28 août 2017 11:50Punaise faut que tu revois la définition de l'expat toi.
Vivre à l'étranger ça s'appelle s'expatrier (du moins pour les gens des pays du Nord, mais c'est un autre débat). Même si on rentre en France un mois par an. Même si on vit dans une ville (je vois pas le rapport). Et qu'on ne visite pas (rien n'empêche d'ailleurs). Tu vis au jour le jour dans un pays autre que le tien.
Une expat c'est pas une année sabbatique tour du monde...
Je suis assez mitigé.bullquies a écrit :Pour le coup, est-ce que faire une école d'ingénieur française, ce serait pas "acheter son diplôme d'ingé" ?
Bof.Antoine- a écrit : ↑28 août 2017 14:58Ce n'est pas la peine de t'énerver, je trouve juste que c'est légèrement différent d'une véritable expatriation, qui est un terme assez large et qui peut donc être vu de diverses manières selon les personnes. Pour moi, l'expatriation concerne les salariés, et puisqu'on fait dans le détail, "vivre à l'étranger" comme tu le dis, pourrait correspondre à une expatriation comme à un détachement (tu vois, j'ai été revoir la [ou plutôt une ?] définition de l'expatriation :p). Mais ce n'est pas l'important ici.
Si je pars un an dans une université étrangère pour étudier, je ne considérerais pas que je me suis expatrié pendant un an, ici c'est pareil si ce n'est la durée qui change. Mais bref. Ce à quoi je pensais, c'était que cette situation était similaire à la situation du corse (par exemple) qui vient faire ses études sur Paris. Et en ce qui concerne la ville et les visites, c'était pour répondre à "le pays est pas super cool", en disant qu'ils ne s'en rendent pas vraiment compte.
L'étudiant français parti à l'étranger n'aura pas à s'occuper de ce genre de choses non plus (quoi que j'ai un doute sur la sécurité locale), c'est une différence avec l'expatrié qui lui, coupe un peu plus le lien social avec son pays d'origine.Aguila a écrit :En revanche il parle la langue, il n'a pas à ouvrir un nouveau compte en banque, il n'a pas à gérer la sécu locale, il n'a pas à faire réimmatriculer sa voiture, tout ça dans une langue qu'il ne parle pas ou mal
Dans cette situation précise, l'étudiant français en Roumanie sera principalement entouré d'autres étudiants français, ayant une partie de leur cursus en français (les cours en roumains n'arrivent qu'en 4e année il me semble, et des cours de roumain sont donnés dès le début. Tu vas me dire que ça ne suffit pas pour parler couramment la langue sans se fatiguer, mais toutes ces choses réduisent l'impact de la barrière linguistique). C'est pour ça que je me suis permis de comparer sa situation à l'étudiant Corse qui monte sur Paris, même s'il est vrai qu'il y aura toujours une différence non négligeable.Aguila a écrit :Et surtout au jour le jour, il est entouré de français et n'est pas forcé de communiquer dans une autre langue (c'est fatiguant à force)
Après tout, je ne suis que spectateur dans l'histoire (pour l'instant ? ).Aguila a écrit :Bref, je pense que c'est toi qui ne te rends pas bien compte
je confirme, tu ne te rends pas bien compte
en fait, tu frequentes qui tu veux. j'ai connu des expat qui au bout de 5 ou 10 ans de vie dans un pays ne pouvaient quasiment pas aligner 3 phrases dans la langue du pays. qui ne frequentaient que des francais ou d'autres expatries.Antoine- a écrit : ↑28 août 2017 16:23Aguila a écrit :En revanche il parle la langue, il n'a pas à ouvrir un nouveau compte en banque, il n'a pas à gérer la sécu locale, il n'a pas à faire réimmatriculer sa voiture, tout ça dans une langue qu'il ne parle pas ou mal
L'étudiant français parti à l'étranger n'aura pas à s'occuper de ce genre de choses non plus (quoi que j'ai un doute sur la sécurité locale), c'est une différence avec l'expatrié qui lui, coupe un peu plus le lien social avec son pays d'origine.
Aguila a écrit :Et surtout au jour le jour, il est entouré de français et n'est pas forcé de communiquer dans une autre langue (c'est fatiguant à force)
Dans cette situation précise, l'étudiant français en Roumanie sera principalement entouré d'autres étudiants français, ayant une partie de leur cursus en français (les cours en roumains n'arrivent qu'en 4e année il me semble, et des cours de roumain sont donnés dès le début. Tu vas me dire que ça ne suffit pas pour parler couramment la langue sans se fatiguer, mais toutes ces choses réduisent l'impact de la barrière linguistique).