Tu es pire que ma prof de mathslsjduejd a écrit :D'où elle sort la remarque initiale ? Elle demande des éclaircissements.

J'ai édité en ajoutant une précision.
Tu es pire que ma prof de mathslsjduejd a écrit :D'où elle sort la remarque initiale ? Elle demande des éclaircissements.
Combien y a t-il de nombre entiers inférieurs à $ 10^p $ et dont la somme des chiffres est inférieure ou égale à 3
Ah, au temps pour moi. C'est le $ cos(\pi + 2k\pi) = -1 $ ?lsjduejd a écrit :Je comprends toujours pas. C'était pas la définition de la convergence le point qui blesse mais tout ce qui précède
à :On sait que [...]
D'autant plus que la dernière affirmation est fausse si je prends $ e=1000 $...Donc tous les intervalles I [...] à partir d'un certain rang.
lsjduejd a écrit :Deviendrais-je fou ?
Je vois toujours pas comme tu passes deà :On sait que [...]D'autant plus que la dernière affirmation est fausse si je prends $ e=1000 $...Donc tous les intervalles I [...] à partir d'un certain rang.
J'arrivais pas trop à exprimer "mathématiquement" ce que j'ai souligné, mais ca suppose que ce n'est pas vrai pour tout e strictement positif (et donc pour des e minuscules), non ?tous les intervalles I tels que $ I=[1-e;1+e] $ avec e réel strictement positif pris aussi petit que l'on veut ne contiennent pas tous les cos(n) à partir d'un certain rang.
Je pense que c'est ça le problème, ça n'a rien d'évident et j'aurais même tendance à dire que c'est fauxmathophilie a écrit : Donc tous les intervalles I tels que $ I=[1-e;1+e] $ avec e réel strictement positif pris aussi petit que l'on veut ne contiennent pas tous les $ cos(n) $ à partir d'un certain rang.
Je crois plutôt que tu tournais volontairement autour du pot pour éviter de justifier ce que tu n'"arrivais pas trop à exprimer"mathophilie a écrit :J'arrivais pas trop à exprimer "mathématiquement" ce que j'ai souligné, mais ca suppose que ce n'est pas vrai pour tout e strictement positif (et donc pour des e minuscules), non ?tous les intervalles I tels que $ I=[1-e;1+e] $ avec e réel strictement positif pris aussi petit que l'on veut ne contiennent pas tous les cos(n) à partir d'un certain rang.
En fait ce que je voulais montrer pour pi c'est la périodicité, qui justifie le passage suivant sur les intervalles, qui lui-même est contraire à la définition de convergence.
Je comprends pas ce que tu veux me faire préciser
Ok, on repart donc avec la définition de la convergence...Luckyos a écrit :Je pense que c'est ça le problème, ça n'a rien d'évident et j'aurais même tendance à dire que c'est fauxmathophilie a écrit : Donc tous les intervalles I tels que $ I=[1-e;1+e] $ avec e réel strictement positif pris aussi petit que l'on veut ne contiennent pas tous les $ cos(n) $ à partir d'un certain rang.
.En termes mathématiques, la suite (un) converge vers l si, pour tout réel ε > 0, il existe un entier N tel que, pour tout $ n\geN $, on a |un −l|< ε :