usinage

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Re: usinage

Message par lucascab » 20 déc. 2017 15:09

Askenian a écrit :
20 déc. 2017 11:20
greg67 a écrit :
20 déc. 2017 11:15
lucascab a écrit :
19 déc. 2017 17:18
Sinon on tape sur l'ENSAM mais des morts dans les grandes écoles il y en a assez souvent.
Euh t'es sérieux là? Les décès restent rares à ma connaissance (dans mon école le dernier remonte à pas mal d'années, et encore c'était un accident de la route en dehors du campus).
Pour l'ENSAM, le caractère "confidentiel" de l'usinage contribue à alimenter les fantasmes.
En général, c'est souvent un par promo côté X/ECP, en tout cas quand j'y étais (3 à ECP, 2 à l'X sur mes deux années).

Évidemment, ça fait mauvaise pub de dire que des élèves se suicident sur le campus.. :roll:
Oui je suis sérieux et merci à Askenian d'avoir corroboré. Les suicides sont assez courants, et quand je dis souvent, j'entends bien sûr que 1 tous les 3 ans c'est déjà souvent...
Askenian a écrit :
20 déc. 2017 11:47
Tiens, à ce sujet d'ailleurs.

Est-ce qu'un élève des Arts pourrait me dire ce qu'il se passe si un jeune intégré dit "non" ?

J'ai tjs du mal à comprendre comment on peut accepter ce genre de bizutage.. Perso, je vois quelqu'un chauffer à blanc une cuillère pour me la coller sur le derche, je me tire. Tant pis si je ne suis pas "in".. :roll:
Si quelqu'un dit non, il ne participa pas aux activités de promo, que ce soit l'usinage ou les trucs (beaucoup) plus cools. Si les gens de sa promo sont pas trop cons et que lui non plus, il aura des amis et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Pour en revenir sur a cuillère, ça m'étonnerait que les victimes aient eu le temps de le voir venir. A Bordeaux (qui est très soft niveau usinage je le rappelle), ça arrivait qu'il y ait des petites rébellions, souvent justifiées, et les anciens étaient assez compréhensifs et conscients qu'ils tangentaient les limites de sensibilité de certains 1A. Encore une fois, je me prononce pas pour les autres centres.
Askenian a écrit :
20 déc. 2017 12:08
Hazherty a écrit :
20 déc. 2017 12:02
Peut-être que, malheureusement, des taupins intègrent les Arts seulement pour être "in" et profiter du réseau
Et tu es "exclu" du réseau si tu ne te plies pas au bizutage ?

Perso, je ne suis pas allé au WEI de Centrale, et pourtant j'ai quand même l'annuaire des Centraliens, et je ne me fais pas cracher dessus si j'écris à un ancien sur lk.. :oops:
Attention en associant les mots bizutage et ENSAM. A l'ENSAM c'est tout sauf du bizutage. Ok le coup des cuillères plaide contre, mais on a rien à voir avec les vrais bizutage d'écoles de commerce et autres universités (voire écoles d'ingé).

Tu n'es pas vraiment exclu du réseau, mais c'est sûr que tu te différencies en ne participant pas à l'usinage. Néanmoins, ça doit pas être bien compliqué de trouver un annuaire et donc d'avoir accès au réseau (donc je vais plutôt à l'encontre de ce que dit C.A.P.T.P. Et les professionnels que tu appelleras n'iront pas vérifier si ton nom est en italique dans l'annuaire. (je crois mais c'est peut-être une légende, que les gens n'ayant pas participé à l'usinage avaient leur nom écrit en italique dans l'annuaire. Piroud confirmera ou infirmera).


Sinon évidemment se référer au post de piroud !
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Message par C.A.P.T.P » 20 déc. 2017 15:55

J'ai probablement tort, mais mes connaissances (des élèves donc) de Cluny m'ont assuré que le réseau n'était pas accessible pour les non-gadzarts.
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Message par piroud » 20 déc. 2017 16:20

C.A.P.T.P a écrit :
20 déc. 2017 15:55
J'ai probablement tort, mais mes connaissances (des élèves donc) de Cluny m'ont assuré que le réseau n'était pas accessible pour les non-gadzarts.
c'est plus complique pour adherer a la societe des ingenieurs Arts et Metiers (en tant que gadz, c'est quasi-automatique pour adherer en sortie d'ecole, alors que pour un non-gadz, il faut 2 parrains membres de la societe + la demande passe devant une commission) mais
- rien n'interdit d'etre pote avec des gadz (ils passent quand meme 3 ans ensemble) et donc de garder le contact avec la communaute
- l'annuaire papier est dans toute les bibliotheques des centres donc pas tres complique pour un eleve de prendre les noms et adresse de contacts pour un stage par exemple
lucascab a écrit :
20 déc. 2017 15:09
je crois mais c'est peut-être une légende, que les gens n'ayant pas participé à l'usinage avaient leur nom écrit en italique dans l'annuaire. Piroud confirmera ou infirmera).
les noms en italique ans l'annuaire papier sont ceux des anciens eleves qui ne sont pas membres de la societe des ingenieurs A&M. impossible de distinguer ceux qui sont HU/HP de ceux qui ont demissionne ou pas paye la cotisation sur plusieurs annees (de loin les plus nombreux)
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Message par Jay Olsen » 20 déc. 2017 20:14

Concernant les suicides, quelqu'un a comparé au taux de la population générale, avant de crier au scandale .... ?
Toujours en train de calculer des matrices de rotation

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Message par RiskyChoice » 20 déc. 2017 21:13

Askenian a écrit :
20 déc. 2017 11:47

Est-ce qu'un élève des Arts pourrait me dire ce qu'il se passe si un jeune intégré dit "non" ?
A ma connaissance, tu es libre de refuser une activité si celle-ci ne te convient pas, sans pour autant être mis à l'écart définitivement.
Pour ne pas être Gadz'arts, il faut vraiment avoir montré un refus de participer à la période de transmission des valeurs sur toute sa longueur.
Et tout est fait dans le respect des 1A, malheureusement il arrive qu'il y ait quelques "accidents", et clairement cette histoire de cuillère chauffée "à blanc" était vraiment une connerie.

Comme expliqué, normalement, cet "effet de brûlure" se fait avec un glaçon, que l'on met tout simplement au contact direct de la peau, ce qui donne un effet surprise, mais ne dure qu'une seconde et ne laisse aucune trace.
Bien évidement le "tatoué" ne voit pas ce qu'on lui met vraiment sur le haut de la fesse...le but est quand même de lui faire croire qu'on lui a vraiment tatoué au "fer blanc" son "numéro" :)

Je pense que celui qui a eu cette "ideé" de remplacer les glaçons par une cuillère chauffée, ne s'attendait clairement pas à ce que ça donne l'effet obtenu, je dirais qu'il(s) n'a(ont) pas eu conscience de la décision qu'il(s) prenai(en)t.
Mais ce n'est pas pour autant qu'il ne devrait pas y avoir sanction.

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Message par schmetterling » 21 déc. 2017 06:58

Ce sont quand même des futurs ingénieurs...donc ne pas savoir ce que ça donne , je n'y crois pas vraiment..( sauf dans un état de fort alcoolémie peut être )
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Re: usinage

Message par LaMouette » 21 déc. 2017 08:19

Ils s'imaginaient peut être que ça ne serait que "légèrement douloureux". Enfin on est d'accord, ils ne sont pas finis...

Même chez les futurs ingénieurs, il y a des crétins finis.
Faut pas se voiler la face non plus, dans quasiment chaque promotion, il y aura un (petit, souvent) groupe d'agitateurs un peu décérébrés qui croient jouer les mâles virils (désolée, c'est souvent des garçons) en appuyant leur semblant de pouvoir sur les bizuths. Souvent ça s'arrête à des "cul sec bizuth !" et à des rires gras, et il n'est pas bien difficile d'éviter leurs jeux, ou de ne s'y mêler que lorsqu'ils nous conviennent.

Je pense que dans toutes les écoles, et à des degrés divers, il y a chaque année des gens qui ont des idées de "petit jeu con" (comme on appelle ça quand on est animateur de colo :mrgreen: ). Les responsables doivent en être sanctionnés s'il y a débordement.
Mais on ne peut pas rapporter toutes les traditions d'intégration, et d'usinage (l'intégration de l'ENSAM étant clairement le plus médiatisé) à ces débordements.

(à la fin de mes études, j'ai vu des vidéos de l'usinage de Bordeaux de l'année précédente... Ca donnait plus envie d'y être que d'envoyer les 2A en taule... Ensuite c'était des images choisies, blablabla. Celle qui me les avaient montrées m'avait dit la même chose qu'ici : à savoir que refuser de participer à certaines activités ne suffisait pas pour être déclaré "hors usinage".)
Ensuite, la réputation de l'école n'est plus à faire : si l'on est foncièrement contre les valeurs que cherchent à développer et mettre en avant l'usinage, on est tout à fait libre de ne pas candidater à l'école.
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Message par bullquies » 21 déc. 2017 08:55

Pour ceux qui demandent si on est mis à l'écart : probablement pas, mais comme dans toutes les écoles beaucoup de liens et d'amitiés se forment pendant les premiers moments, et ça peut devenir plus difficile de rentrer dans des cercles déjà formés.

Bref tous les types de personnalité ne conviennent pas pour se faire un réseau en école. Donc si ça n'est pas naturel, il faut penser à faire un effort après usinage/semaines d'inté/etc si ça nous intéresse.
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Message par Askenian » 21 déc. 2017 09:49

Jay Olsen a écrit :
20 déc. 2017 20:14
Concernant les suicides, quelqu'un a comparé au taux de la population générale, avant de crier au scandale .... ?
Grossièrement, une quinzaine pour 100.000 décès (http://www.injep.fr/sites/default/files ... uicide.pdf).
Ramené à une école comme Centrale ou l'X (~1 500 élèves), environ 0.22 par an. Des rumeurs tournent assez régulièrement sur l'idée "d'un suicide par an" dans ce genre d'école (quelque soit la raison). Même si ce n'est pas une stat rigoureuse, je pense qu'on reste quand même légèrement au dessus du taux national.

Ces derniers temps on est largement au dessus, mais les évènements récents ont pu favoriser les sentiments d'exclusion/dépression.

Malgré tout, c'est une question qui n'est que très peu abordée. (Forcément, ça fait tâche..) Mais oui, l'environnement en école regroupe quand même certains facteurs propices à la dépression, voire à des comportements nocifs pour soi (isolement, absence de reconnaissance à la fois sociale et professionnelle - du moins au sein de l'école -, manque de sommeil, manque de perspectives, consommations d'alcool et de drogues à de fortes doses..).

A Centrale par exemple, plus de 10% de ma promo consultait la psychologue chaque semaine (du moins sur une relativement longue période) et la moitié y était déjà allée au moins une fois.
LaMouette a écrit :
21 déc. 2017 08:19
Les responsables doivent en être sanctionnés s'il y a débordement.
C'est surtout ça qui m'embête un peu. Je trouve que la direction (direction au sens large) fait souvent preuve d'un laxisme ahurissant vis-à-vis de ce genre de comportements (ou plus globalement de toutes les brimades que l'on peut trouver en école). Le laïus "ils sont jeunes, ils s'amusent, allez.. vilains garnements, faites attention la prochaine fois !", moi je ne le digère pas.. Je sais que c'est souvent le cas, surtout parce que les membres incriminés sont régulièrement membres du BDE ( :roll: ) ou de l'association gérant les logements ( :roll: x2), mais tout de même. A mes yeux, pas de pitié : exclusion de l'association / pénalité financière ( :lol: ) / pénalité scolaire / travaux d'intérêt général au sein de l'école (ben oui, le nettoyage, par exemple.. :wink: ).. Ce ne sont pas les idées qui manquent.

Je ne vois pas pourquoi ce qui ne serait pas accepté dans un bar, ou dans une soirée "à la maison" devrait l'être dans le cadre d'une école. Mais peut-être que je suis un vieux con.. :lol:
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Message par LaMouette » 21 déc. 2017 10:59

Askenian a écrit :
21 déc. 2017 09:49
Grossièrement, une quinzaine pour 100.000 décès (http://www.injep.fr/sites/default/files ... uicide.pdf).
Ramené à une école comme Centrale ou l'X (~1 500 élèves), environ 0.22 par an. Des rumeurs tournent assez régulièrement sur l'idée "d'un suicide par an" dans ce genre d'école (quelque soit la raison). Même si ce n'est pas une stat rigoureuse, je pense qu'on reste quand même légèrement au dessus du taux national.
J'ai l'impression que tu donnes un taux sur la même tranche d'âge ? Je n'en suis pas sûre (je n'ai pas regardé en détail ta source).

Malgré tout, c'est une question qui n'est que très peu abordée. (Forcément, ça fait tâche..) Mais oui, l'environnement en école regroupe quand même certains facteurs propices à la dépression, voire à des comportements nocifs pour soi (isolement, absence de reconnaissance à la fois sociale et professionnelle - du moins au sein de l'école -, manque de sommeil, manque de perspectives, consommations d'alcool et de drogues à de fortes doses..).

A Centrale par exemple, plus de 10% de ma promo consultait la psychologue chaque semaine (du moins sur une relativement longue période) et la moitié y était déjà allée au moins une fois.
Je vais faire plus court que je ne voudrais par volonté de ne pas vous assommer d'un roman.
On parle d'une tranche d'âge pleine de changements "dans notre époque" et pour des personnes qui font bac+5 (= si tu commences à travailler à 18 ans, tu ne vis pas forcément de grand changement à 22 ans, tu l'as déjà vécu avant !). La sortie de la prépa (la majorité des élèves des écoles dont nous parlons venant de prépa) provoque mécaniquement, et sans mauvais jeu de mot, une dé-pression : on sort d'une période où l'on était sous pression quasiment constante sur une très longue durée, mais où l'on était aussi très entouré et suivi de près (j'ai l'image des profs de prépas comme une canne et ses canetons :lol: ). On s'était "habitué" à cette situation très pressurisée et on se retrouve soudainement dans le vide, et déraciné (la majorité des gens vont en prépa pas trop loin de leurs parents, et s'éloignent déjà bien plus pour l'école).
Ce type de situation déstabilisante cristallise puis laisse s'effondrer tout ce qui est "retenu" par des digues mentales le reste du temps. En soi je ne suis pas étonnée que de nombreux troublent se révèlent suite à un grand changement de vie, mais la corrélation ne fait pas la cause. Le passage en école fait partie des facteurs de la déroute, mais n'en est pas forcément la cause (principale en tout cas).

Voir un psychologue toutes les semaines n'a en soi rien de choquant lorsque l'on subit ce type de changement, et quelle que soit la thérapie et les méthodes utilisées, la régularité fait le résultat : beaucoup d'entre nous auraient besoin de suivre une thérapie, même courte, à un moment de leur vie.
La thérapie ne soigne pas le "passage en école", elle intervient à un moment où la personne a du temps à lui consacrer : si elle allait mal en prépa, elle n'avait probablement même pas le temps d'y penser.

NB : je ne fais surtout pas de corrélation entre "besoin de thérapie" et "bizutage" par contre.
C'est surtout ça qui m'embête un peu. Je trouve que la direction (direction au sens large) fait souvent preuve d'un laxisme ahurissant vis-à-vis de ce genre de comportements (ou plus globalement de toutes les brimades que l'on peut trouver en école). Le laïus "ils sont jeunes, ils s'amusent, allez.. vilains garnements, faites attention la prochaine fois !", moi je ne le digère pas.. Je sais que c'est souvent le cas, surtout parce que les membres incriminés sont régulièrement membres du BDE ( :roll: ) ou de l'association gérant les logements ( :roll: x2), mais tout de même. A mes yeux, pas de pitié : exclusion de l'association / pénalité financière ( :lol: ) / pénalité scolaire / travaux d'intérêt général au sein de l'école (ben oui, le nettoyage, par exemple.. :wink: ).. Ce ne sont pas les idées qui manquent.

Je ne vois pas pourquoi ce qui ne serait pas accepté dans un bar, ou dans une soirée "à la maison" devrait l'être dans le cadre d'une école. Mais peut-être que je suis un vieux con.. :lol:
Et bah pour moi ce n'est pas à la direction de l'école (mais tu utilises un sens large !) d'avoir les premiers gestes. L'école n'a pas à faire justice elle-même. Ni une association quelconque.
C'est à la justice de faire le boulot : que l'on parle d'agression, de harcèlement moral ou d'autre chose, aucune atteinte à la personne ne devrait se régler "en privé".
Il est du devoir de l'école d'aider la victime à déposer plainte et de la protéger si elle en prend connaissance, mais il n'est pas du premier ressort de l'école de sanctionner les présumés coupables (présomption d'innocence...). Il est aussi de son devoir de ne pas cacher de faits, et d'ouvrir ses portes à l'enquête.
La justice désigne les coupables, qui sont sanctionnés par la loi française.
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