Je ne connais pas de cas où l'école d'origine d'un candidat a pu jouer dans son recrutement au CNRS ou enseignant-chercheur. À ce stade on s'en moque, seules comptent les contributions réalisées pendant la thèse et les années suivantes.
En revanche, un étudiant sorti d'une bonne école sera accueilli à bras grand ouverts en thèse. À plus forte raison pour les ENS, même si j'ai croisé plusieurs cas de normaliens faisant une thèse "juste" pour augmenter leurs chances d'avoir un poste de PRAG, et n'étant pas intéressés par la recherche. On en a même un qui a arrêté sa thèse une fois le poste en poche. Je vous laisse deviner l'état de son directeur de thèse à cette nouvelle.
Ce qui est sûr c'est que comme déjà dit, les normaliens sont loin d'être majoritaires chez les chercheurs.
Pour devenir chercheur : une ENS plutôt que l’X
Re: Pour devenir chercheur : une ENS plutôt que l’X
Merci à tous pour ces réponses précises.