Conseils et habitudes

[Jekyll236]

Alors je suis un élève de Terminale S et je vais surement me diriger vers une prépa MPSI l'année prochaine, et je me demandais si ceux qui sont déjà passés par là, eh bien vous auriez des conseils a donner. Surement que ce sujet à déjà été posté mais je ne l'ai pas trouvé et peut-être que de nouvelles personnes ont des choses à dire.
Alors ça peut être tout ce qui vous passe par là tête comme un certain bouquin que vous avez trouvé particulièrement utile, ou une habitude qu'il serait bien de prendre dés maintenant, un certain aspect a travailler... En bref ce que vous auriez aimé qu'on vous dise quand vous étiez à ma place

[Luke Diwayn]

Apprendre du vocabulaire en anglais.

[1sala23]

Travailles le calcul (dérivées / intégrales / calculs de complexes etc)

[Luckyos]

-En anglais : être irréprochable sur la grammaire, acquérir un vocabulaire varié, en lire (en essayant d'être rapide) et en écouter régulièrement. C'est bien aussi de suivre un minimum l'actu (si t'y es pas allergique) pour pas débarquer une fois en sup. On a trop peu de temps/motivation pour faire ça en prépa.

-En français/philo : apprendre son cours de philo de terminale, avoir un minimum de culture et des références littéraires/philo, parce que sinon on a l'air malin en kholle de français et ça se finit en 7 aux concours à l'oral. Même remarque qu'au-dessus.

-En maths : si ça t'intéresse (sinon pas besoin de t'embêter avec des maths avant août), tu peux commencer le pdf de transition de llg et/ou le MSA de Ginette en fin de TS. Perso j'ai adoré, ça m'a donné un boost appréciable en début de sup et ça donne une bonne idée des maths de prépa (surtout celui de llg).

[LaMouette]

Avec le recul, et quand je vois comment évoluent pas mal d'élèves de prépa durant la prépa et les années suivantes, la majorité gagnerai à avoir compris le plus tôt possible à soigner leur estime d'eux-mêmes, et à la détacher de leur performance scolaire.
Beaucoup de jeunes gens de cet âge qui réussissent scolairement s'accrochent desespérément à cette réussite comme un totem : "je suis très bon élève / intelligent / dans une formation prestigieuse donc je le vaux bien".
Le problème, c'est que lorsque la réussite dégringole, l'estime de soi dégringole avec.

[Aetuom]

Avec le recul, et quand je vois comment évoluent pas mal d'élèves de prépa durant la prépa et les années suivantes, la majorité gagnerai à avoir compris le plus tôt possible à soigner leur estime d'eux-mêmes, et à la détacher de leur performance scolaire.
Beaucoup de jeunes gens de cet âge qui réussissent scolairement s'accrochent desespérément à cette réussite comme un totem : "je suis très bon élève / intelligent / dans une formation prestigieuse donc je le vaux bien".
Le problème, c'est que lorsque la réussite dégringole, l'estime de soi dégringole avec.

Et si un tel élève réussit ?

[LaMouette]

Tu connais quelqu'un qui n'a jamais connu d'échec ?
Qui a eu l'école de ses rêves, le stage de ses rêves (du premier coup), le poste de ses rêves dès le diplôme et qui une fois en poste n'a connu aucune déconvenue ?

Cette personne doit être monstrueusement chiante .

[C.A.P.T.P]

Tu connais quelqu'un qui n'a jamais connu d'échec ?
Qui a eu l'école de ses rêves, le stage de ses rêves (du premier coup), le poste de ses rêves dès le diplôme et qui une fois en poste n'a connu aucune déconvenue ?

MATHADOR peut-être ?

[Aetuom]

Tu connais quelqu'un qui n'a jamais connu d'échec ?
Qui a eu l'école de ses rêves, le stage de ses rêves (du premier coup), le poste de ses rêves dès le diplôme et qui une fois en poste n'a connu aucune déconvenue ?

Cette personne doit être monstrueusement chiante .

Bien sûr que non, mais il y a des gens qui ont globalement réussi.
Par exemple, un élève tel que tu le décris, s'il finit dans une très bonne école, et même si la suite de son parcours est moins brillante, il pourra toujours avoir la (grande) satisfaction d'avoir eu cette école très sélective.
Enfin c'est comme ça que je me comporteraispersonnellement.

[C.A.P.T.P]

Tu connais quelqu'un qui n'a jamais connu d'échec ?
Qui a eu l'école de ses rêves, le stage de ses rêves (du premier coup), le poste de ses rêves dès le diplôme et qui une fois en poste n'a connu aucune déconvenue ?

Cette personne doit être monstrueusement chiante .

Bien sûr que non, mais il y a des gens qui ont globalement réussi.
Par exemple, un élève tel que tu le décris, s'il finit dans une très bonne école, et même si la suite de son parcours est moins brillante, il pourra toujours avoir la (grande) satisfaction d'avoir eu cette école très sélective.
Enfin c'est comme ça que je me comporteraispersonnellement.

Ah ouais alors là détrompe-toi. Un 1er de la classe de prépa, qui finit à X/ENS/Mines Pa/CS peut très vite, avec un peu de laisser-aller, se retrouver en milieu/fin de promo avec le moral dans les chaussettes