La CNIL a mis en demeure le gouvernement de modifier certaines des dispositions d'APB, pas d'en finir avec APB. Le choix d'abandonner la plateforme et de la rémplacer par Parcoursup est bien un choix politique (ou... choix jupitérien ), pas une exigence de la CNIL.Feedback a écrit : ↑01 mai 2021 16:59Nullement.
C'est la CNIL qui a mis en demeure l'exécutif d'en finir avec APB.
https://www.lexpress.fr/education/donne ... 47578.html
Le principe du classement des voeux n'a jamais été remis en cause par la CNIL. Il marche bien, il est légal, la meilleure preuve en est que SCEI fonctionne sur ce principe, et que je n'ai jamais entendu que quelqu'un, à la CNIL ou ailleurs, ait songé à le remettre en cause.
Ceci dit, je suis d'accord sur le fait que sous l'actuel gouvernement il n'y aura jamais de retour en arrière pour parcoursup, ce serait un aveu d'échec. Mais la mise en demeure n'est qu'un prétexte.
Il n'en reste pas moins qu'après toutes ces années parcoursup n'a pas démontré sa valeur ajoutée par rapport à APB. APB posait problème: il laissait des candidats sur le carreau, sans affectation. Mais Parcoursup également...
La solution ne réside pas dans tel algorithme plutôt qu'un autre. Elle dépend avant tout des moyens financiers, humains, etc, affectés à l'enseignement supérieur.