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Fredo Mercure a écrit : ↑

06 août 2019 14:50

Bonjour,
Je suis 15eme en liste d'attente filière PSI, n'ayant gagné qu'une place depuis le début de la procédure d'admission. Selon vous est-il possible de gagner 15 places avec les éventuels désistements de 5/2 et des absents le jour de la rentrée ? Ou mieux vaut-il que je me concentre sur la recherche d'un logement pour mon 2eme voeux ?
Merci beaucoup pour vos réponses

Saura-t-on 1 jour quel est le rang du dernier admis en PSI ou cela est classé Secret Défense ?

salut, je connais au moins 1 candidat 951éme admis au premier tour... en PSI.
je dirais aux alentours du rang 1000...
mais j’aimerais bien une confirmation aussi !

En 2017, c était encore aux alentours de 750 en PSI ! Et en PT ?

schmetterling a écrit : ↑

23 août 2019 18:06

En 2017, c était encore aux alentours de 750 en PSI !

Impossible de comparer ces chiffres, c'est 2 concours differents. Nul ne sait quel aurait ete le classement sur centrale du 750e sur e3a en 2017

Ah, ok, je n'y avais pas pensé ... !

Évidemment on notera que depuis 1973, et contrairement à ce qu'a l'air de vouloir dire ce journaliste pour le moins douteux, il n'existe rien de ce qui est décrit par ce bon François (et c'est tant mieux)

oui... c’est un peu limite comme post... un mauvais bizutage il y a plus de 40 ans pour dire quoi par rapport à l’ensam maintenant ?

En même temps, il s'agit d'un témoignage d'un écrivain dont la sensibilité et la réflexion dépassent l'exemple cité....Je me souviens de maintes romans , pièces de théâtre etc ou la relation maître-esclave et l'humiliation sont mises en évidence, analysées, zoomées...Donc je pense que François Bon, en dehors de la réalité de son vécu, veut transmettre également sa sensibilité personnelle qui fait écho a tant de lectures ( du moins les deux - lecture et vécu puis ensuite narration- se nourrissent mutuellement )...Il explique d'ailleurs qu'il ne s'agit pas uniquement de l'ENSAM et que "l'humiliation" est destinée à nous faire rentrer dans un moule ou nous devenons ensuite les "contre-maîtres" qui humilient à leur tour....Ce témoignage, pour moi, est universel et non uniquement orienté "ENSAM" même si des exemples de cette école sont citées et même s'ils sont la base de sa réflexion. En revanche, les événements récents qu' il cite sont sans doute différents et arrivés dans un tout autre contexte que les faits en 1973, les traditions ayant, je le crois, bien évoluées depuis. D'ailleurs, sans avoir disparu complètement de notre société, la pratique du bizutage a globalement évoluée très positivement , l humanité progresse heureusement !

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