Avenir...
Re: Avenir...
Quand on connaît pas un domaine, on parle pas. Des universités no-name qui passent l'actuariat en parallèle du travail, financé par la boîte, ça se voit très régulièrement.
Pour Damien, je pense que tu peux viser plus haut . Au pire, tu repasseras vers une fac qui discerne pas le titre.
Pour Damien, je pense que tu peux viser plus haut . Au pire, tu repasseras vers une fac qui discerne pas le titre.
Re: Avenir...
Qui ? Où ?Des universités no-name qui passent l'actuariat en parallèle du travail, financé par la boîte, ça se voit très régulièrement.
Effectivement, à Bisounoursland, l'employeur paie des cours du soir pour devenir actaire , ensuite , il va laisser l'employé faire son stage d'actuaire en le payant plein pot et puis va l'embaucher comme acturaire avec un bon de salaire de 50%.
Re: Avenir...
Dans mon bureau, j'en connais (après, je dis pas, ça sera plus facile pour un ingé d'une bonne école de faire le CEA). Tout y est, sauf le bond de 50% - on parle d'actuariat, pas de MBA.
Re: Avenir...
Mais comme Paname connait aussi bien l'actuariat que l'ingénierie il peut se permettre d'écrire n'importe quoi..
Re: Avenir...
Votre cas est classique et il n'y a pas l'ombre d'une inquiètude à avoir. Le risque de devenir un chômeur malheureux après une école d'ingénieurs existe mais est très faible.DamienM a écrit :-En prenant en compte le fait que je n'ai pas d'idée fixe sur ce que je souhaite faire par la suite
Être actuaire dans quelle boîte ? AXA ? Avez-vous un soupçon de la vie que mène un actuaire en France (en terme concrets : journées types / semaines types / missions / ...) ) ?-En prenant désormais en compte que le job vers lequel je penche le plus depuis quelques années est celui d'actuaire (probabilités/ statistiques adaptées en assurance/finance)
Re: Avenir...
Le risque n'est pas de chômer, bien que certaines écoles ont des moyennes à plus de 6 mois avant de trouver un boulot (pas équipier chez McDo, hein!)Le risque de devenir un chômeur malheureux après une école d'ingénieurs existe mais est très faible.
Le mythe de l'ingé qui ne connait pas la crise n'engage que ceux qui y croient.
La réalité est tout autre:
- en sortie d'école, environ 50% des diplômé ingés tombent sur un boulot réservé aux Bac+5.
- en sortie d'école, environ 50% des diplômé ingés tombent sur un boulot ouvert aux Bac+3 (si ce n'est pas Bac+2): résultat, si les ingés piquent les boulots des DUT et licences , alors ils connaissent moins le chômage.
Pour un diplômé ingé, le chômage est souvent préférable à un boulot sous-payé avec de belles promesses et avec des posssibilité d'avolution très incertaines.
- mieux vaut chômer chez Papa Maman que d'accepter un boulot chez Peugeot sur les chaines: de belles promesses et une paye de misère
- mieux vaut chômer chez Papa Maman que d'accepter un boulot sur les chantiers , pieds dans la boue
- mieux vaut chômer chez Papa Maman que d'accepter un boulot de p*sseur de code
- mieux vaut chômer chez Papa Maman que d'accepter un boulot de technico-commercial (représentant de commerce quoi)
Re: Avenir...
Ben non.avant de chomer il faut travailler..
Si tu prends la définition d'un chomeur au sens BIT.
Je ne parle pas des assedics.
Re: Avenir...
Merci pour les réponses.
Les chiffres proviennent-ils de votre imagination ?paname75 a écrit :La réalité est tout autre:
- en sortie d'école, environ 50% des diplômé ingés tombent sur un boulot réservé aux Bac+5.
- en sortie d'école, environ 50% des diplômé ingés tombent sur un boulot ouvert aux Bac+3 (si ce n'est pas Bac+2): résultat, si les ingés piquent les boulots des DUT et licences , alors ils connaissent moins le chômage.