La réalité du marché de l'emploi actuellement en France est ce qu'elle est. Le recrutement d'un ingé junior par une entrprise privée est déclanchée dans la grande majorité des cas, par:Je trouve la formulation un peu bâtarde parce que quand on te lit on a l'impression qu'une entreprise engage quelqu'un en pensant uniquement au tout premier job de cette personne, et ne l'engage que pour ce besoin précis et ponctuel. Alors qu'il est bien évident qu'engager quelqu'un en CDI suppose à la fois d'avoir quelque chose de précis à lui donner à faire dans un premier temps, mais aussi d'imaginer d'autres tâches qu'il pourra faire après.
Dans ce cadre, les entreprises peuvent avoir préférer des doubles diplômés (et mieux les payer) même si le premier job sera un job purement ingénieur.
- quelqu'un a remplacer
- un accroissement d'activité le plus souvent en relation avec une ou des (souvent une-seule) nouvelles commandes- client
- ce qui revient à dire que l'engagement est le plus souvent et principalement motivé pour ce besoin précis et ponctuel.
Cela ne veut pas dire que ce besoin va nécessairement s'éteindre rapidement, d'autres commandes vont suivre et le besoin peut perdurer. Il est bien évident qu'engager quelqu'un en CDI suppose à la fois d'avoir quelque chose de précis à lui donner à faire dans les premiers mois mais aussi d'imaginer d'autres tâches (assez ressemblante) qu'il pourra faire après ou bien de poursuivre les mêmes tâches, ce qui arrive assez souvent.
Cet argument ne décrit pas la réalité du marché de l'emploi. Le salaire et le profil requis proviennent d'un job-descprition qui jamais ne fait des hypothèses sur l'évolution du poste à plus de 2 ans. Aucune entreprise privé n'étend un profil ou un salaire de base sur une perspective à plus de deux ans. Ce serait beaucoup trop risqué.Dans ce cadre, les entreprises peuvent avoir préférer des doubles diplômés (et mieux les payer) même si le premier job sera un job purement ingénieur.
Ben non.Dans ce cadre, les entreprises peuvent avoir préférer des doubles diplômés (et mieux les payer) même si le premier job sera un job purement ingénieur.
les entreprises ne préférent pas mieux payer à l'embauche des doubles diplômés pour un premier job purement ingénieur et dans l'idée d"une perpective, dans plusieurs années, d'évolution vers un poste de manager. On ne va pas payer maintenant pour un futur hypothétique.
Cependant, le double diplôme aurrait pu départagé un candidat toutes choses égales par ailleurs. Hélas.
- si un candidat ingé a effectué récement des stages dans une spécilatité technologico-technicienne requise par le recruteur après avoir suivi un cursur de formation en conséquence, il aura de forte chance d'être employé
- par contre si une réorientation managériale a alteré la perception de cette spécilasation , ça peut être un désavantage. Le recruteur peut avoir l'impresion que le candidat s'est éloigné de la spécilatité technologico-technicienne requise ou pire que son profil ne cadre pas parfaitement: on veut un ingé dans cette spécialité , pas un ingé-manager "un peu à côté".
Se pose alors le recrutement en terme de compétition à l'embauche. Qui sera recruté ? En premier lieu le candidat qui a développé au mieux ce savoir faire.
Si le job description porte sur une ou des technos ou savoir faire, au final le recruté n'en sera jamais très loin, selon que la spécialite soit plus ou moins concurentielle. Je crois que dans ce cas le recrutement se fera par rapport aux compétiteurs sur le poste (et leur distance au job-description) plus que sur la persuasion.Ou plutôt celui qui persuade le recruteur qu'il a le mieux développé ce savoir faire. Ou même celui qui persuade le recruteur qu'avec des savoirs faire proches qu'il possède déjà, il pourra très vite s'adapter et en prime donner une vision "d'autre chose", Ou même...