Contrôleur aérien : une opportunité d'arbitrage
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
Esperons que leurs radars soient moins «brumeux»
Puisque l on parle gros sous, que cela donne t il chez nos voisins suisses et belges ?
J ai vu que la suisse acceptaient les candidatures françaises (neanmoins exclues du guidage militaire ce qui se comprend)...
Puisque l on parle gros sous, que cela donne t il chez nos voisins suisses et belges ?
J ai vu que la suisse acceptaient les candidatures françaises (neanmoins exclues du guidage militaire ce qui se comprend)...
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
Je n'ai pas de chiffre détaillés, mais il est de notoriété publique que les contrôleurs français travaillent moins et gagnent moins que la moyenne dfe leurs homologues européens.
Ne t'inquiète pas pour les avions, les marges typiques sont de 9km latéralement et 300 mètres verticalement entre deux appareils.
Toujours en train de calculer des matrices de rotation
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
Effectivement 7k à 40 ans c'est aussi environ ce que j'ai entendu de la part des ICNA. Que ce soit pour les IESSA ou les ICNA, le calcul du traitement est très flou en effet on dirait. De plus, il dépends de beaucoup de choses : fonction, centre, et puis il y pas mal de primes en fonction des qualifications que l'on peut passer. Les centres comme Roissy ou les centres de contrôles du nord/est/ouest bénéficient souvent d'un meilleur traitement pour compenser le manque d'attractivité.
Lycée du Parc, PCSI/PC
IESSA18
IESSA18
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
Oui j ai vu cela sur la brochure suisse.Jay Olsen a écrit : ↑12 août 2018 18:11Je n'ai pas de chiffre détaillés, mais il est de notoriété publique que les contrôleurs français travaillent moins et gagnent moins que la moyenne dfe leurs homologues européens.
Ne t'inquiète pas pour les avions, les marges typiques sont de 9km latéralement et 300 mètres verticalement entre deux appareils.
Bien faite d ailleurs
Des gens carrés.
Le recrutement ne demande pas bac+2
Des 2 metiers : pilote et contrôleur, lequel disparaitra le premier ?
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
Aucun, avec l'autopilote on pourrait dire que le pilote de ligne a disparu. Non, le métier a juste changé au fil du temps. Le métier qui a disparu en revanche c'est l'ingénieur de vol.father a écrit : ↑12 août 2018 21:31Oui j ai vu cela sur la brochure suisse.Jay Olsen a écrit : ↑12 août 2018 18:11Je n'ai pas de chiffre détaillés, mais il est de notoriété publique que les contrôleurs français travaillent moins et gagnent moins que la moyenne dfe leurs homologues européens.
Ne t'inquiète pas pour les avions, les marges typiques sont de 9km latéralement et 300 mètres verticalement entre deux appareils.
Bien faite d ailleurs
Des gens carrés.
Le recrutement ne demande pas bac+2
Des 2 metiers : pilote et contrôleur, lequel disparaitra le premier ?
Aujourd'hui je vois plus le pilote comme un "manager" de l'avion, il laisse beaucoup de choses à l'informatique, mais en cas de besoin il joue le rôle de filet de sécurité également.
Et ça sera sûrement pareil pour les contrôleurs. De plus en plus d'assistance informatisée pour à la fois faciliter la tâche, la rendre plus efficace et sécurisante, mais une équipe toujours présente en cas de souci.
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
avec les drones commerciaux le boulot de contrôleur va devenir très très chiant
The Axiom of Choice is obviously true, the Well-Ordering Principle is obviously false, and nobody knows about Zorn's Lemma. - Jerry Bona
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
C est cela le vrai sujet !
D ici 10ans, des voitures, des trains des navires autonomes circuleront.
Cela commencera par le fret
Et ce sera pareil pour les avions.
On commencera par les cargos pour d evidentes questions de risque, d assurance, d acceptation sociale..
S il faut inflechir le vol, qui le fera ? Un controleur ou un pilote au sol.
Dans la 2nde hypothèse, le controleur dealera avec son voisin de bureau...
D ici 10ans, des voitures, des trains des navires autonomes circuleront.
Cela commencera par le fret
Et ce sera pareil pour les avions.
On commencera par les cargos pour d evidentes questions de risque, d assurance, d acceptation sociale..
S il faut inflechir le vol, qui le fera ? Un controleur ou un pilote au sol.
Dans la 2nde hypothèse, le controleur dealera avec son voisin de bureau...
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
Je parie sur aucun
Ou alors, pas pour les raisons que tu penses.
Toujours en train de calculer des matrices de rotation
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
Re: Contrôleur aérien : une opportunité d'arbritrage
Et si tu perds toute communication avec l'aéronef tu fais quoi ?father a écrit : ↑13 août 2018 08:44C est cela le vrai sujet !
D ici 10ans, des voitures, des trains des navires autonomes circuleront.
Cela commencera par le fret
Et ce sera pareil pour les avions.
On commencera par les cargos pour d evidentes questions de risque, d assurance, d acceptation sociale..
S il faut inflechir le vol, qui le fera ? Un controleur ou un pilote au sol.
Dans la 2nde hypothèse, le controleur dealera avec son voisin de bureau...