Re: Renforcer ma culture scientifique
Publié : 19 mai 2015 19:40
Bonjour,
L’acteur isolé dont on parle possède quelle interaction avec son environnement ? S’il est isolé alors il n’a aucune interaction, par propriété, avec ce dernier. On ne peut donc pas envisager de lien causale entre les deux et l’environnement ne peut pas influencer l’acteur isolé.
En quoi une augmentation de la complexité d’un problème augmente-t-elle ses chances de solvabilité (analytique : en quel sens ?) ? Au contraire : plus c’est complexe, plus c’est difficile à résoudre. Aucun bluff possible à ce niveau, il y a un étrange raisonnement.
« un degré dans l’échelle » : c’est-à-dire ?
« myriade de groupes » : à l’image d’une tribu ? (au sens des mathématiques probabiliste)
Grosso modo, vous dites que la quantité influe la qualité (au sens systémique) : si on change le cardinal de nos groupes alors les propriétés en sont modifiées, tel un effet dimensionnel (au sens de la physique statistique).
« des lois bien définies » : c’est-à-dire ? Vous énoncez qu’avec une inversion d’approche (approche par le haut plutôt que par le bas) donne des ouvertures conceptuelles. C’est intéressant.
Le problème d’échelle certes. Mais avant un problème d’hérédité. L’initialisation en faite, n’a que peu d’importance. L’hérédité quant à elle, celle qui fait que l’on comprend la transition conceptuelle, le pourquoi du comment recèle le secret des problèmes d’échelles. Comprendre l’hérédité des raisonnements (une sorte de logique), c’est comprendre l’essence de la causalité (et non pas la causalité elle-même, qui relève d’un tout autre domaine).
Cordialement
L’acteur isolé dont on parle possède quelle interaction avec son environnement ? S’il est isolé alors il n’a aucune interaction, par propriété, avec ce dernier. On ne peut donc pas envisager de lien causale entre les deux et l’environnement ne peut pas influencer l’acteur isolé.
En quoi une augmentation de la complexité d’un problème augmente-t-elle ses chances de solvabilité (analytique : en quel sens ?) ? Au contraire : plus c’est complexe, plus c’est difficile à résoudre. Aucun bluff possible à ce niveau, il y a un étrange raisonnement.
« un degré dans l’échelle » : c’est-à-dire ?
« myriade de groupes » : à l’image d’une tribu ? (au sens des mathématiques probabiliste)
Grosso modo, vous dites que la quantité influe la qualité (au sens systémique) : si on change le cardinal de nos groupes alors les propriétés en sont modifiées, tel un effet dimensionnel (au sens de la physique statistique).
« des lois bien définies » : c’est-à-dire ? Vous énoncez qu’avec une inversion d’approche (approche par le haut plutôt que par le bas) donne des ouvertures conceptuelles. C’est intéressant.
Le problème d’échelle certes. Mais avant un problème d’hérédité. L’initialisation en faite, n’a que peu d’importance. L’hérédité quant à elle, celle qui fait que l’on comprend la transition conceptuelle, le pourquoi du comment recèle le secret des problèmes d’échelles. Comprendre l’hérédité des raisonnements (une sorte de logique), c’est comprendre l’essence de la causalité (et non pas la causalité elle-même, qui relève d’un tout autre domaine).
Cordialement