Pour Damien, je pense que tu peux viser plus haut

Qui ? Où ?Des universités no-name qui passent l'actuariat en parallèle du travail, financé par la boîte, ça se voit très régulièrement.
Votre cas est classique et il n'y a pas l'ombre d'une inquiètude à avoir. Le risque de devenir un chômeur malheureux après une école d'ingénieurs existe mais est très faible.DamienM a écrit :-En prenant en compte le fait que je n'ai pas d'idée fixe sur ce que je souhaite faire par la suite
Être actuaire dans quelle boîte ? AXA ? Avez-vous un soupçon de la vie que mène un actuaire en France (en terme concrets : journées types / semaines types / missions / ...) ) ?-En prenant désormais en compte que le job vers lequel je penche le plus depuis quelques années est celui d'actuaire (probabilités/ statistiques adaptées en assurance/finance)
Le risque n'est pas de chômer, bien que certaines écoles ont des moyennes à plus de 6 mois avant de trouver un boulot (pas équipier chez McDo, hein!)Le risque de devenir un chômeur malheureux après une école d'ingénieurs existe mais est très faible.
Ben non.avant de chomer il faut travailler..
Les chiffres proviennent-ils de votre imagination ?paname75 a écrit :La réalité est tout autre:
- en sortie d'école, environ 50% des diplômé ingés tombent sur un boulot réservé aux Bac+5.
- en sortie d'école, environ 50% des diplômé ingés tombent sur un boulot ouvert aux Bac+3 (si ce n'est pas Bac+2): résultat, si les ingés piquent les boulots des DUT et licences , alors ils connaissent moins le chômage.