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un document pour illustrer ces regroupements plus ou moins compréhensible : http://www.google.fr/url?q=http://www.s ... ZsEG79pF7g. J'ai l'impression qu'on veut faire se reproduire des carpes et des lapins....

Dubblee a écrit :Une école d'ingénieur n'est pas un organisme de recherche. C'est une école. Qui forme des ingénieurs.

Une école est (et sera de plus en plus) aussi un organisme de recherche car sans recherche partenariale => pas d'argent pour payer les professeurs

L'enseignement supérieur dans 10 ans sera financé en majeure partie par les entreprises, ce qui est naturel car ce sont les première clientes (recherche, diplômés). Les écoles qui rateront le coche disparaîtront purement et simplement, car l'Etat imposera de les fusionner dans les universités.

Jean-Porte a écrit :Le paradoxe, c'est qu'un des buts de ces groupements est la visibilité nationale, et que ça s'est terminé en une usine à gaz d'intrications difficilement lisible et visible de l'extérieur.

Bienvenue en France.

The_One a écrit :

Dubblee a écrit :Une école d'ingénieur n'est pas un organisme de recherche. C'est une école. Qui forme des ingénieurs.

Une école est (et sera de plus en plus) aussi un organisme de recherche car sans recherche partenariale => pas d'argent pour payer les professeurs

L'enseignement supérieur dans 10 ans sera financé en majeure partie par les entreprises, ce qui est naturel car ce sont les première clientes (recherche, diplômés). Les écoles qui rateront le coche disparaîtront purement et simplement, car l'Etat imposera de les fusionner dans les universités.

C'est curieux, pour moi le modèle classique c'est plutôt : grandes écoles financées par l'état et la recherche se fait au cnrs, au cea, etc..

Le modèle ancien, tu veux dire

Les écoles veulent grandir mais les dotations de l'état ne peuvent pas suivre, la recherche compte au niveau international, les entreprises sont prêtes à payer pour que les labos fassent des choses qu'elles ne savent pas faire dans leurs labos, ...

Les plus grandes écoles sont déjà très investies dans la recherche, seule l'ECP est en retard à ce niveau mais copte bien rattraper les autres.

Tan Phi a écrit :

Jean-Porte a écrit :Le paradoxe, c'est qu'un des buts de ces groupements est la visibilité nationale, et que ça s'est terminé en une usine à gaz d'intrications difficilement lisible et visible de l'extérieur.

Bienvenue en France.

A quand le "choc de simplification" ?

Généralement, choc de simplification = rajouter un nouvel étage de prise de décision visant à tout simplifier, mais n'en supprimer aucun parce que, c'est compliqué

Je me doutais bien que c'était une arnaque

Retard a écrit :Les plus grandes écoles sont déjà très investies dans la recherche, seule l'ECP est en retard à ce niveau mais copte bien rattraper les autres.

Il n'y a pas que l'ECP
Les Ponts (mais c'est un peu compensée par le financement venant de leur MBA), Supélec (en valeur absolue, car le ratio recherche/budget est très bon à Supélec), l'ENSTA, Centrale Lille, Mines de StEtienne, Petites Mines, Centrale Marseille: voilà les écoles qui sont à risque du fait d'un budget recherche très faible.
Le risque: voir disparaître les professeurs affectés (et "payés", même si elles sont passées aux RCE) par l'Etat.
Attention il faut relativiser ça aussi, car pour ces écoles il est souvent le cas que les chercheurs travaillent dans des organismes publics (CNRS, CEA...) en même temps que d'être affecté à l'Ecole; du coup une partie du CA recherche "généré" par le chercheur est en fait capté par l'organisme public, tandis que le coût est porté par l'Ecole. C'est souvent le cas car les labos de recherches ont plusieurs partenaires parmi les Grandes Ecoles. C'est un défaut qui devrait être corrigé lorsque les DAF des Ecoles citées ci-dessus feront leur boulot :p

En fait je parlais, mais tu ne pouvais pas le deviner, seulement de l'X, des mines, et de l'ECP