
prépa et fatigue
Re: prépa et fatigue
Les siestes ça dépend pour qui, moi je mets 3 plombes à m'endormir et je suis encore plus crevé qu'avant
Et ensuite le soir j'arrive plus m'endormir.

Re: prépa et fatigue
J'ai jamais pu faire la sieste avant la prépa, même en maternelle
Mais la, avec la fatigue des cours, il m'arrivait de faire deux siestes par jour
à midi et à la fin des cours.
C'est la qu'être interne et avoir son lit a quelques dizaines de mètres est très utile.

Mais la, avec la fatigue des cours, il m'arrivait de faire deux siestes par jour

C'est la qu'être interne et avoir son lit a quelques dizaines de mètres est très utile.
Re: prépa et fatigue
Sur ces points, on ne peut qu'aligner des expériences personnelles. Pour ce qui me concerne donc, et l'exemple est (juste un peu) fort, je ne travaillais que très rarement après 20h, et coucher à 21h. Indispensable pour que mon lever à 5h30 m'autorise à faire un peu autre chose (lecture, musique, etc) avant de partir en cours. Ce fut un des piliers de ma méthode de travail ("peu mais bien", et le concept bien compris importe plus que l'exo terminé) et il m'a assuré une régularité qui parfois manquait par ailleurs (sur les plans intellectuels comme personnels).
Remarque : j'étais en prépa scientifique (MP*). Je connais très peu de littéraires qui maintenaient un tel rythme. J'y vois deux grosses raisons : le type différent de mémorisation (je n'avais besoin que de très peu revoir mon cours, et ce - entre autres - parce que j'étais un des plus concentrés la journée ; je doute qu'une chronologie se retienne "du premier coup") ; et la nature différente des travaux demandés (allez ne rendre qu'une demi-dissert et avoir une note honorable...).
Remarque 2 : les rares fois où je n'étais pas "en forme", les "performances" en prenaient un coup énorme : quelques colles où mon inventivité était proche du néant ont confirmé la nécessité de toutes ces considérations.
Remarque : j'étais en prépa scientifique (MP*). Je connais très peu de littéraires qui maintenaient un tel rythme. J'y vois deux grosses raisons : le type différent de mémorisation (je n'avais besoin que de très peu revoir mon cours, et ce - entre autres - parce que j'étais un des plus concentrés la journée ; je doute qu'une chronologie se retienne "du premier coup") ; et la nature différente des travaux demandés (allez ne rendre qu'une demi-dissert et avoir une note honorable...).
Remarque 2 : les rares fois où je n'étais pas "en forme", les "performances" en prenaient un coup énorme : quelques colles où mon inventivité était proche du néant ont confirmé la nécessité de toutes ces considérations.
Re: prépa et fatigue
aafg je dois dire que ta méthode me semble excellente dans la mesure ou le cerveau, comme les muscles, mes du temps à se "réveiller". Environ 3 heures crois. Du coup toi tu commençais les cours en pleine forme.
Par contre impossible pour moi de suivre un tel rythme !
Par contre impossible pour moi de suivre un tel rythme !
Re: prépa et fatigue
lol !!
et comment tu faisais quand tu finissais les colles vers 19h30.. ?
tu ne t'exerçais pas ?
tu as des facilités ?
pleins de choses entrent en considération aafg xD dis nous tout
et comment tu faisais quand tu finissais les colles vers 19h30.. ?
tu ne t'exerçais pas ?
tu as des facilités ?
pleins de choses entrent en considération aafg xD dis nous tout

Re: prépa et fatigue
Quand je finissais les colles vers 19h30, et que je rentrais effectivement chez moi à 20h-20h30 et bien... pas de boulot ce soir-là. Parce que de toute façon, les quelques fois où j'ai essayé, ce n'était pas efficace.
Il est vrai que j'avais, d'après les autres étudiants en prépa (MP* Condorcet) quelques "facilités" si ce terme recouvre une compréhension et une mémorisation plus "naturelles" que certains. Que je n'avais pas une optique de "performance" (je ne souhaitais intégrer que sur les ENS, et ai eu beaucoup de moments de découragement. l'issue risque d'être favorable.) aussi forte que certains, et que je privilégiais la réflexion sur les concepts au (n+1)è exo, ce qui change la nature de l'effort (plus agréable). Que je m'y prenais suffisament à l'avance... Que plein d'autres choses.
Mais sans un rythme qui permet d'être actif en cours (voire le seul à remarquer que le prof donne une définition incohérente (plutôt rare), ou à poser des questions de prolongement), tout ça ne sert pas plus qu'un balai sur de la moquette épaisse. Et en plus, c'est très agréable en général d'être frais et dispos, non ?
Je suis conscient que le cas est particulier, et l'ai exposé pour enrichir la discussion. Il n'y a pas de grande théorie derrière tout ça, c'est une habitude que j'ai prise en début de sup et qui m'a convenu très vite. Ce n'est pas la peine d'élaborer plus que l'a fait Samuel précédemment : mon message dit en gros la même chose.
Il est vrai que j'avais, d'après les autres étudiants en prépa (MP* Condorcet) quelques "facilités" si ce terme recouvre une compréhension et une mémorisation plus "naturelles" que certains. Que je n'avais pas une optique de "performance" (je ne souhaitais intégrer que sur les ENS, et ai eu beaucoup de moments de découragement. l'issue risque d'être favorable.) aussi forte que certains, et que je privilégiais la réflexion sur les concepts au (n+1)è exo, ce qui change la nature de l'effort (plus agréable). Que je m'y prenais suffisament à l'avance... Que plein d'autres choses.
Mais sans un rythme qui permet d'être actif en cours (voire le seul à remarquer que le prof donne une définition incohérente (plutôt rare), ou à poser des questions de prolongement), tout ça ne sert pas plus qu'un balai sur de la moquette épaisse. Et en plus, c'est très agréable en général d'être frais et dispos, non ?
Je suis conscient que le cas est particulier, et l'ai exposé pour enrichir la discussion. Il n'y a pas de grande théorie derrière tout ça, c'est une habitude que j'ai prise en début de sup et qui m'a convenu très vite. Ce n'est pas la peine d'élaborer plus que l'a fait Samuel précédemment : mon message dit en gros la même chose.
Re: prépa et fatigue
Okay ça marche !! 
je comprends mieux ^^ et te souhaite une bonne continuation pour la suite !!
en effet ton "cas particulier" est vraiment pas mal , ça donne un avis différents de tous les autres (ie faire 1000000000000000000000000000,0209 exercices par mois..) et ne pas dormir (voire limiter son sommeil en mode RAMBO) je crois que j'essayerais ta méthode
Cimer Albert

je comprends mieux ^^ et te souhaite une bonne continuation pour la suite !!

en effet ton "cas particulier" est vraiment pas mal , ça donne un avis différents de tous les autres (ie faire 1000000000000000000000000000,0209 exercices par mois..) et ne pas dormir (voire limiter son sommeil en mode RAMBO) je crois que j'essayerais ta méthode

Cimer Albert

Re: prépa et fatigue
Mais de rien. Bon courage, et je ne peux qu'espérer que ce seront deux années au moins aussi enrichissantes qu'elles l'ont été en ce qui me concerne.
Re: prépa et fatigue
Sujet très intéressant !
J'ai eu des soucis de fatigue en prépa. (J'ai même dû consulter mais rien de grave !) A force de me coucher trop tard, je n'arrivais plus à me coucher tôt. Et puis, si on rajoute le stress, cela n'aide pas à dormir... Peu avant les écrits de spé, j'ai dû tout revoir : footing le matin avant d'aller en cours et dodo à 22h le soir au plus tard. Bon, c'est peut-être un peu radical mais, au final, j'ai beaucoup mieux réussi que je ne le pensais !!! D'une manière générale, je dirais qu'il faut respecter une certaine hygiène de vie : bien manger, dodo, éviter le stress... La santé d'abord !!! (Vous ne réussirez JAMAIS vos concours si vous n'êtes pas un minimum en forme.)
C'est plus facile à dire qu'à faire, c'est sûr !!! Mais perso, si je ne dors que 5h par nuit, le lendemain, je suis au bord du malaise ! Je me suis alors mise à travailler l'essentiel : travailler le cours, savoir les définitions et les démonstrations... Par contre, j'avais sérieusement laissé tomber les DMs. C'est bien de trouver des choses par soi-même mais je regardais surtout les corrections de DMs une fois rendus plutôt que de bloquer trois heures sur une pauvre petite question... (Trop de perte de temps sur les DMs...) Et aussi, des fois, on révise, on révise et on révise encore des trucs que l'on maîtrise déjà depuis longtemps !
Il y a aussi la façon dont on travaille. Si tu n'as pas la moindre motivation, tu n'avanceras pas. S'il est tard et que tu as envie de dormir, tu n'avanceras pas non plus. Et se doper au café, je trouve cela assez mauvais...
Et puis la préparation "psychologique"... Disons que des fois, il faut savoir se boucher les oreilles... Certains profs - je dis bien "certains" et non pas "tous" - semblent trouver un malin plaisir à démonter les élèves...
Y a-t-il une sélection en prépa ? Je pense que oui, un peu. Si tu es très faible psychologiquement et si tu n'es pas capable d'être "endurant" dans ton travail, je pense que tu as peu de chances de réussir... Mais il est quand même possible de faire prépa sans avoir de trop grosses séquelles.
Sans vouloir être alarmiste, j'ai des amis qui ont eu moins de chance que moi et qui ont négligé leur santé - sans pour autant avoir décroché une très bonne école... - et qui ont eu des conséquences : troubles de sommeil, problèmes de santé plus ou moins importants, une dizaine de kilos en plus, etc.
Après... Comme tout ce que je poste, ceci est mon avis... Est-il le meilleur ? Je ne sais pas mais j'essaie.
J'ai eu des soucis de fatigue en prépa. (J'ai même dû consulter mais rien de grave !) A force de me coucher trop tard, je n'arrivais plus à me coucher tôt. Et puis, si on rajoute le stress, cela n'aide pas à dormir... Peu avant les écrits de spé, j'ai dû tout revoir : footing le matin avant d'aller en cours et dodo à 22h le soir au plus tard. Bon, c'est peut-être un peu radical mais, au final, j'ai beaucoup mieux réussi que je ne le pensais !!! D'une manière générale, je dirais qu'il faut respecter une certaine hygiène de vie : bien manger, dodo, éviter le stress... La santé d'abord !!! (Vous ne réussirez JAMAIS vos concours si vous n'êtes pas un minimum en forme.)
C'est plus facile à dire qu'à faire, c'est sûr !!! Mais perso, si je ne dors que 5h par nuit, le lendemain, je suis au bord du malaise ! Je me suis alors mise à travailler l'essentiel : travailler le cours, savoir les définitions et les démonstrations... Par contre, j'avais sérieusement laissé tomber les DMs. C'est bien de trouver des choses par soi-même mais je regardais surtout les corrections de DMs une fois rendus plutôt que de bloquer trois heures sur une pauvre petite question... (Trop de perte de temps sur les DMs...) Et aussi, des fois, on révise, on révise et on révise encore des trucs que l'on maîtrise déjà depuis longtemps !
Il y a aussi la façon dont on travaille. Si tu n'as pas la moindre motivation, tu n'avanceras pas. S'il est tard et que tu as envie de dormir, tu n'avanceras pas non plus. Et se doper au café, je trouve cela assez mauvais...
Et puis la préparation "psychologique"... Disons que des fois, il faut savoir se boucher les oreilles... Certains profs - je dis bien "certains" et non pas "tous" - semblent trouver un malin plaisir à démonter les élèves...
Y a-t-il une sélection en prépa ? Je pense que oui, un peu. Si tu es très faible psychologiquement et si tu n'es pas capable d'être "endurant" dans ton travail, je pense que tu as peu de chances de réussir... Mais il est quand même possible de faire prépa sans avoir de trop grosses séquelles.
Sans vouloir être alarmiste, j'ai des amis qui ont eu moins de chance que moi et qui ont négligé leur santé - sans pour autant avoir décroché une très bonne école... - et qui ont eu des conséquences : troubles de sommeil, problèmes de santé plus ou moins importants, une dizaine de kilos en plus, etc.
Après... Comme tout ce que je poste, ceci est mon avis... Est-il le meilleur ? Je ne sais pas mais j'essaie.
Re: prépa et fatigue
Et tu te levais à quelle heure pour faire un footing avant les cours
?
Sinon rassurez vous, maintenant le red bull est légalisé xD !

Sinon rassurez vous, maintenant le red bull est légalisé xD !