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A l'EPFL, la difficulté n'est pas d'entrer mais de sortir diplômé.

grenadine a écrit : ↑

01 juil. 2020 18:41

A l'EPFL, la difficulté n'est pas d'entrer mais de sortir diplômé.

oui je sais , ça a été pris en compte dans mon raisonnement

(fen , sauf erreur de ma part , la difficulté à l’epfl c’est surtout de passer en 2A)

Non, ça reste exigeant tout au long du cursus. Contrairement à certaines écoles d'ingé.

tarasbulba a écrit : ↑

01 juil. 2020 18:37

A mon humble avis, il doit y avoir une différence de niveau entre llg et l'epfl aussi..

Une condition suffisante pour entrer à l'epfl c'est le bac mention tb.
Or, dans un certain nombre de sup françaises, la quasi totalité des élèves ont la tb, donc seraient admis à l'epfl.
En revanche l'inverse n'est pas vrai: les admis à l'epfl (1A) n'auraient pas forcément été admis dans ces sups françaises (et en particulier llg..)

Et parmi les 1A de l'epfl , de mémoire , entre 30% et 40% passent en 2A.
L'X , c'est à peu près le même taux pour les entrées à X-Ens.


Donc plus difficile d'avoir l'X que l'epfl .

Quitte à comparer, autant comparer des écoles de difficultés d'accès équivalentes.

L'important n'est pas d'y rentrer, mais d'y rester.... Et il y a par contre des élèves, et j'en connais plus d'un qui ont été pris dans des llg avec mention AB au bac.......Donc ce que tu écris est faux.
Et comme le dit Grenadine, l'EPFL est bien plus exigeant tout au long des 5 ans...

Llg signifie Louis le Grand. Beaucoup d'élèves de prépa là-bas avec mention AB ? J'en doute ...

Avec tout ce qui a été écrit depuis le 20 juin, je pense que notre futur élève de terminale a suffisamment d’éléments en main pour se faire une idée et choisir. Car il aura compris qu’il devra faire un choix exclusif.

Après, vouloir à tout prix établir une hiérarchie entre EPFL et prépas / écoles d’ingénieurs françaises, c’est peut-être un peu futile non ? Ce débat devrait intéresser bien plus les directeurs d’école obnubilés par le classement de Shangaï que les élèves eux-mêmes.

Car en fin de compte, d’un côté comme de l’autre, celui qui voudra faire une carrière nationale fera une carrière nationale. Et celui qui voudra à tout prix partir à l’étranger, parviendra à partir à l’étranger. Qu’il vienne de l’EPFL ou de Polytechnique. Les propres préférences de chaque individu joueront bien plus que les éventuelles limitations dues à son école d’origine.

Sinon, il reste quand même la question de savoir si « travailler à l’étranger » constitue un plan de carrière digne de ce nom. Mais ça, c’est un autre débat…

Attention, je parlais du parcours EPFL. Et je ne le comparais pas à un parcours LLG + X.

ORCHYDEEE06 ne connait probablement pas bien le système français : prépa + école.

Comme le dit Teteenlair, cela ne sert à rien de comparer. Il faut juste faire le choix adapté à son profil.

Tant que les mentions très bien ne sont pas reçues, l'inscription définitive à l'EPFL n'est pas faite.

L'EPFL ne doit pas être comparé à la prépa mais a l'école qui suit.

L'EPFL c'est du boulot, mais ce n'est pas le niveau de boulot des brutes qui passent l'X ou les ENS.
(je dis brutes, mais ils sont cools en fait, c'est simplement qu'ils sont super bons en général).

Après il y a une question financière, les loyer suisses c'est le double des loyers parisiens (à moins que ce soient les mètres carrés qui soient plus petits en Suisse).

Si l'argent n'est pas un problème vise l'impérial collège de Londres, Ils prennent même les candidats qui sortent de sup en 2eme année. Le niveau est bon, et ce n'est pas le rythme des classes étoilées des prépas parisiennes.

Bonjour, j'hésite également à faire une prépa ou à partir à l'EPFL.
Cependant, mon plus gros blocage concerne le niveau attendu à l'EPFL.
Serait-il judicieux de faire une année de prépa pour ensuite se présenter en première année de bachelor à l'EPFL ?

Ou deux années de prépa,

et passer le concours de son partenaire l’ ENS Lyon.