Nouveau classement de l'étudiant
Re: Nouveau classement de l'étudiant
Quand on ne comprend pas quelque chose, autant le dénigrer.
Après on s'étonne de la réputation qu'ont les maths chez les "non-initiés".
Après on s'étonne de la réputation qu'ont les maths chez les "non-initiés".
Re: Nouveau classement de l'étudiant
Arrêtez de dire tout de suite aux autres qu'ils ne comprennent pas parce que vous êtes pas d'accord avec eux.
Ce qui dit Hornet c'est pas une définition de ce que la philosophie est théoriquement ou devrait être, c'est ce qu'elle est en terminale, et je trouve ça très juste.
Un mec rigoureux qui n'écrit pas grand chose il va se faire laminer en notes par le mec qui cite des trucs parce que ça fait classe et pour faire ses 6 pages.

Ce qui dit Hornet c'est pas une définition de ce que la philosophie est théoriquement ou devrait être, c'est ce qu'elle est en terminale, et je trouve ça très juste.
Un mec rigoureux qui n'écrit pas grand chose il va se faire laminer en notes par le mec qui cite des trucs parce que ça fait classe et pour faire ses 6 pages.
Re: Nouveau classement de l'étudiant
Pourquoi prends-tu les élèves pour plus cons qu'ils ne sont ? Si cela est fait correctement, pour quelle raison ils ne comprendraient pas la définition formelle de limite ?corderaide a écrit : Simplement, tu ne peux pas introduire de manière formelle avec limites epsilonesques la notion de dérivée à des jeunes premières.
Dans mon lycée, nous l'avions vu en terminale, je ne crois pas que grand monde ait été largué. A un an près, où est la différence ?
Je ne pense pas que l'aptitude à ingurgiter du formel (des vraies maths) change entre la 1ère et la sup.
2011-2012 : M P S I
2012-2013 : M P *
X2013
2012-2013 : M P *
X2013
Re: Nouveau classement de l'étudiant
Je n'étais absolument pas "rigoureux" en philo et je crois bien que je n'ai jamais fait une seule citation. Et pourtant j'avais des notes plus que correctes en Tle avec un prof que je considérais comme un "vrai" philosophe (après c'est très subjectif comme caractérisation).Jean-Porte a écrit :Un mec rigoureux qui n'écrit pas grand chose il va se faire laminer en notes par le mec qui cite des trucs parce que ça fait classe et pour faire ses 6 pages.
Je connaissais quelques L au lycée affirmant que les maths n'étaient qu'une suite de symboles absurdes qui ne servent à rien, si ce n'est à gâcher le temps et l'argent de tout le monde. Je vous mets dans le même panier.MATHADOR a écrit :Cependant, cette définition de "philosophie" me va parfaitement.
Re: Nouveau classement de l'étudiant
Je ne peux rien pour toi si tu places les maths et la littérature sur la même échelle d'intellect.Arky a écrit : Je connaissais quelques L au lycée affirmant que les maths n'étaient qu'une suite de symboles absurdes qui ne servent à rien, si ce n'est à gâcher le temps et l'argent de tout le monde. Je vous mets dans le même panier.
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Re: Nouveau classement de l'étudiant
Il suffit d'éliminer ce type d'élèves et le problème est résolu. C'est tout le sens de "système éducatif qui sait discriminer sur le niveau".corderaide a écrit : Que toi tu ais compris rapidement tout un tas de concepts, je n'en doute pas un instant. Mais tu es largement au dessus du lot des élèves normaux.
Oui, un élève il lui faut un peu de temps pour comprendre. Un an de maturation c'est très bénéfique pour prendre du recul, c'est aussi simple que cela.
Re: Nouveau classement de l'étudiant
Et puis franchement, t'as beau être bon, si tu ne vois pas ce qui se passe je te souhaite bien du bonheur.
Au passage, j'ai enseigné la méthode des epsilon à une 30aine de secondes pour Parimaths. Déjà j'avais en face de moi des bons, j'ai fait énormément de schémas et de petites applications pour qu'ils voient, et j'ai quand même bien senti que ça faisait beaucoup pour certains.
Je m'imagine ce genre de cours dans mon ancienne classe de Tle... ça aurait été très drôle !
Au passage, j'ai enseigné la méthode des epsilon à une 30aine de secondes pour Parimaths. Déjà j'avais en face de moi des bons, j'ai fait énormément de schémas et de petites applications pour qu'ils voient, et j'ai quand même bien senti que ça faisait beaucoup pour certains.
Je m'imagine ce genre de cours dans mon ancienne classe de Tle... ça aurait été très drôle !
Re: Nouveau classement de l'étudiant
Et moi je plains sincèrement ceux qui, en plus d'être incapables de voir la richesse de l'un des deux, se permettent de les classer.MATHADOR a écrit :Je ne peux rien pour toi si tu places les maths et la littérature sur la même échelle d'intellect.Arky a écrit : Je connaissais quelques L au lycée affirmant que les maths n'étaient qu'une suite de symboles absurdes qui ne servent à rien, si ce n'est à gâcher le temps et l'argent de tout le monde. Je vous mets dans le même panier.
En même temps, si tu as un profil scientifique, je suppose que ça doit flatter ton ego que de te dire que tout le reste n'est que futilité.
Re: Nouveau classement de l'étudiant
Je sais pas d'où tu sors ces affirmations, car elles contredisent juste toutes les statistiques que j'ai pu donner tout au long de ce thread. Tu seras gentil d'aller y jeter un coup d'oeil mon petit corderaide. On se reparle après si tu veux bien ?
Re: Nouveau classement de l'étudiant
Il y a énormément de gens bons qui se font exclure du système, c'est un fait, et c'est mesuré par plein de critères de manière directe et indirecte. Je t'invite à relire les premières pages de ce thread pour voir que les phénomènes d'auto-censure et de connaissance du système ne sont pas du tout négligeable dans la réussite.
Je peux même te filer des liens qui te montrent qu'avoir un QI élevé (ie, supérieur à 130, soit 2,5% d'une population) est nécessaire pour faire des études "brillantes", et que bizarrement, les gens à haut QI se retrouvent à peu de choses près équi-distribués dans les métiers, et ce indépendament de leur sélectivité respective. Par contre, lorsqu'il s'agit des débiles, bizarrement, ces derniers sont à leur place.
Je peux même te filer des liens qui te montrent qu'avoir un QI élevé (ie, supérieur à 130, soit 2,5% d'une population) est nécessaire pour faire des études "brillantes", et que bizarrement, les gens à haut QI se retrouvent à peu de choses près équi-distribués dans les métiers, et ce indépendament de leur sélectivité respective. Par contre, lorsqu'il s'agit des débiles, bizarrement, ces derniers sont à leur place.