J abonde évidemment, en connaissance de cause.
D autres écoles forment d'ailleurs à la finance de marché comme l'ensta paris, l ensiie, etc
Et d'une manière générale les ingénieurs sont appréciés dans de nombreux métiers de la finance ou leur approche rationnelle et numérique apporte une plus value.
C est juste qu il leur faut parfois compléter leur formation initiale (quitte à rallonger) pour prendre le virage.
Dans les écoles les plus sélectives, il y a toujours moyen d'opérer cette bifurcation mais c est plus ou moins facilité.
Les mines ont jadis fermé leur filière de finance quanti.
Dans un autre fil, on s'est demandé pourquoi centrale Lyon ne permettait pas de postuler aux filières finance de marché ou actuariat à l'ensae.
A une époque on glosait bcp sur les X qui partaient sur les marchés londoniens ou new-yorkais après une formation rémunérée.
C'est juste factuel et non un avis personnel sur la vocation des écoles d ingé.
Si une école noue un partenariat avec une business school au format 2+2 (toutes les centrales hors marseille) c'est qu elle admet que la dernière année de l'élève ingé ne soit pas forcément dans le domaine de l ingenierie.
Partant de là je ne vois pas pourquoi une formation en finance à l'étranger serait problématique.
Ca ne fait que mettre des obstacles sur la route d'un étudiant qui n aspire pas à une carrière dans l'ingénierie.
Par contre quand ce sont des accords (d échange) avec des universités purement techniques, forcément ca réduit les possibilités...
Quand j évoquais les ponts ou l'ensae, je pensais spécifiquement à l'économie.
Si elle veut mieux qu un simple vernis économique, l'ensae est sa cible n°1.
Pour le fun, j'ai vu dans des facs chinoises (accords centrale lyon) des cursus en théorie marxiste !
Je suppose qu il s'agit surtout d'histoire de la pensée économique
