Ce qui est paradoxal c'est que j'ai la meme impression que toi à savoir qu'ils avaient décidé avant ce qu'ils voulaient montrer, mais alors pourquoi ils se sont fait chier (et nous ont fais chier) à venir nous filmer à TOUTES les soirées, à chaque match de foot, pendant le bizutage... sachant qu'ils n'évoqueraient aucune "tradition", ne montrerai aucun de ces moments de pur bonheur?cerise a écrit :Tout ça pour avoir suffisamment d'images pour pouvoir en sélectionner qui disent ce que l'on voulait montrer. J'ai la très désagréable impression qu'ils ont décidé avant le reportage ce qu'ils voulaient montrer, et qu'ils ont filmé suffisamment pour avoir de quoi montrer ce qu'ils voulaient, et non pas montrer une réalité objective.
Ca c'est LE mystère pour moi.
ARRRRRRRRRRGHHHHHHHHHHHHHHHHCalips0 a écrit : Et puis peut être après tout, que cela ne correspond pas à votre prépa, mais il y en a autant que d'élèves, et le reportage a justement prix le choix de suivre celle de quelques uns seulement, sur le principe de l'identification, et non pas de disserter de façon générale sur "la vie en prépa".



Le problème c'est qu'en l'occurence c'est MA prépa, c'était MES profs, MON internat, et ce qui à été montré ne correspond absolument pas à ce que moi et tout mes camarades avons vécu!
Nous avons une SUPER ambiance dans ce lycée (je parle pour la BCPST et rien d'autre), et le seul truc qui a été évoqué (parce qu'il n'ont pas eu le choix, ils ont filmé un TP...) c'est la décoration de la blouse des bizuths par les carrés (appelés parrains... invention de leur esprit) qu'ils ont cité comme "de la desinvolture pouvant leur porter prejudice", et ne parlons pas de la soit disante "mauvais ambiance de classe" pour justifier les mauvais resultats de la classe ayant été filmée (parce que la 2ème classe de BCPST à eu les memes chiffres que les autres années.
Bref, j'aurai pas été à lakanal, j'aurai eu le meme avis que toi je pense (meme si j'aurai trouvé les literraires pretentieux, comme beaucoup) mais là je suis désolée, ils ont racontés n'importe quoi.