Statist'X

[drakstar64]

Le non remplissage des 24 places en MPI: ils ne s'attendaient peut être pas à avoir autant de désistements?
En regardant les résultats de llg en MPI aux concours 2023, on constate qu'ils trustent 6 places à ULM MPI. ce qui est déjà plus que le nombre de places sur la liste supplémentaire de l'X. Et ces 6 là étaient très probablement aussi admis à l'X, d'autant plus qu'on peut lire dans le rapport en page 25:
"MPI : Sur les 10 premiers, 5 entrent, mais les 11 suivants (classés de 11 à 21) entrent tous."
Et llg a toujours eu une plus grande appétence pour les ENS vs l'X.

[father]

+1
Les désistements de l X pour les ens ont toujours été significatifs en mp.
Et tout autant pour les mp info qui passaient le groupe info.
Il n y avait aucune raison pour qu il en aille différemment sur les mpi.

[trek]

Quant à l'émulation : tant qu'on a des camarades de niveau équivalent avec qui travailler chaque matière, l'émulation est là. Bien sûr si on est bien au-dessus ou bien en-dessous de tout le monde, c'est qu'on n'est pas au bon endroit. Mais il y a au maximum un élève bien au-dessus et un élève bien en-dessous des autres par classe.

Il y a des élèves, quelque soit l'école, auront les mêmes résultats.
Mais pour d'autres, et là où je ne suis pas d'accord.
J evais prendre d'un élèv dans une prépa moyenne,, il est dans les 10 premiers. Il travaille bcp, évidemment, mais s'il était dans une prépa plus réputée, il aurait été peut-être dans les 10 derniers. Et donc aurait géré de manière différente son temps et le travail fourni., Par exemple aurait utilisé bcp moins son téléphone, et d'autres exemples

Ce que je pense (je peux me tromper) mais l'environnement n'est pas marginale et peut contribuer pour certains à mieux réussir.

Et ça n'a rien à voir avec la qualité des professeurs, qui peuvent être très compétents.

[U46406]

> peut-être dans les 10 derniers.
> à mieux réussir

ou à se décourager. ça dépend des gens.

[Louve]

Quant à l'émulation : tant qu'on a des camarades de niveau équivalent avec qui travailler chaque matière, l'émulation est là. Bien sûr si on est bien au-dessus ou bien en-dessous de tout le monde, c'est qu'on n'est pas au bon endroit. Mais il y a au maximum un élève bien au-dessus et un élève bien en-dessous des autres par classe.

Il y a des élèves, quelque soit l'école, auront les mêmes résultats.
Mais pour d'autres, et là où je ne suis pas d'accord.
J evais prendre d'un élèv dans une prépa moyenne,, il est dans les 10 premiers. Il travaille bcp, évidemment, mais s'il était dans une prépa plus réputée, il aurait été peut-être dans les 10 derniers. Et donc aurait géré de manière différente son temps et le travail fourni., Par exemple aurait utilisé bcp moins son téléphone, et d'autres exemples

Ce que je pense (je peux me tromper) mais l'environnement n'est pas marginale et peut contribuer pour certains à mieux réussir.

Et ça n'a rien à voir avec la qualité des professeurs, qui peuvent être très compétents.

On peut aussi faire le raisonnement inverse : on réussit mieux quand on est en tête de classe ( pas de problème de compréhension et bon moral) que lorsque l'on est dans les derniers (pour les même raisons mais bien sûr inversées). C'est d'ailleurs courant au sein d'un même lycée de voir les premiers d'une classe non étoilée intégrer "mieux" que les derniers de la classe étoilée.

[unpassant]

On peut aussi faire le raisonnement inverse : on réussit mieux quand on est en tête de classe ( pas de problème de compréhension et bon moral) que lorsque l'on est dans les derniers (pour les même raisons mais bien sûr inversées). C'est d'ailleurs courant au sein d'un même lycée de voir les premiers d'une classe non étoilée intégrer "mieux" que les derniers de la classe étoilée.

Cet argument vaut si on suppose que "les meilleurs" d'une non étoilée sont effectivement "moins bons" les derniers d'une étoilée, ce qui est loin d'être évident à mon avis.

[father]

Ils sont meilleurs puisqu ils integrent mieux.

[father]

Quant à l'émulation : tant qu'on a des camarades de niveau équivalent avec qui travailler chaque matière, l'émulation est là. Bien sûr si on est bien au-dessus ou bien en-dessous de tout le monde, c'est qu'on n'est pas au bon endroit. Mais il y a au maximum un élève bien au-dessus et un élève bien en-dessous des autres par classe.

Il y a des élèves, quelque soit l'école, auront les mêmes résultats.
Mais pour d'autres, et là où je ne suis pas d'accord.
J evais prendre d'un élèv dans une prépa moyenne,, il est dans les 10 premiers. Il travaille bcp, évidemment, mais s'il était dans une prépa plus réputée, il aurait été peut-être dans les 10 derniers. Et donc aurait géré de manière différente son temps et le travail fourni., Par exemple aurait utilisé bcp moins son téléphone, et d'autres exemples

Ce que je pense (je peux me tromper) mais l'environnement n'est pas marginale et peut contribuer pour certains à mieux réussir.

Et ça n'a rien à voir avec la qualité des professeurs, qui peuvent être très compétents.

On est pas obligé de passer son temps sur téléphone !
Même si on fait partie des 10 premiers.
Et ce quelle que soit la prepa.

[Louve]

On peut aussi faire le raisonnement inverse : on réussit mieux quand on est en tête de classe ( pas de problème de compréhension et bon moral) que lorsque l'on est dans les derniers (pour les même raisons mais bien sûr inversées). C'est d'ailleurs courant au sein d'un même lycée de voir les premiers d'une classe non étoilée intégrer "mieux" que les derniers de la classe étoilée.

Cet argument vaut si on suppose que "les meilleurs" d'une non étoilée sont effectivement "moins bons" les derniers d'une étoilée, ce qui est loin d'être évident à mon avis.

Voici ma vision : A la fin de la première année, le conseil de classe classe les élèves (qui sont, par ailleurs, tous très bons-certains sont juste excellents ! -) et les envoie ou non en classe étoilée en fonction de leur niveau à cet instant T. En deuxième année, il se peut (et c'est mon hypothèse) que certains premiers de la classe non étoilée progressent davantage que certains derniers de la classe étoilée, peut être, parce que c'est leur juste niveau et qu'ils ne sont pas en difficulté ou qu'ils sont moins stressés, ou qu'ils ont accumulé moins de fatigue au moment des concours, ou parce qu'ils ont un sursaut d'orgueil ! Le résultat est qu'ils intègrent "mieux" (je n'aime pas trop ce terme mais vous m'avez comprise) même si le niveau ou l'émulation auraient été plus grands dans une classe étoilée.

[unpassant]

On peut aussi faire le raisonnement inverse : on réussit mieux quand on est en tête de classe ( pas de problème de compréhension et bon moral) que lorsque l'on est dans les derniers (pour les même raisons mais bien sûr inversées). C'est d'ailleurs courant au sein d'un même lycée de voir les premiers d'une classe non étoilée intégrer "mieux" que les derniers de la classe étoilée.

Cet argument vaut si on suppose que "les meilleurs" d'une non étoilée sont effectivement "moins bons" les derniers d'une étoilée, ce qui est loin d'être évident à mon avis.

Voici ma vision : A la fin de la première année, le conseil de classe classe les élèves (qui sont, par ailleurs, tous très bons-certains sont juste excellents ! -) et les envoie ou non en classe étoilée en fonction de leur niveau à cet instant T. En deuxième année, il se peut (et c'est mon hypothèse) que certains premiers de la classe non étoilée progressent davantage que certains derniers de la classe étoilée, peut être, parce que c'est leur juste niveau et qu'ils ne sont pas en difficulté ou qu'ils sont moins stressés, ou qu'ils ont accumulé moins de fatigue au moment des concours, ou parce qu'ils ont un sursaut d'orgueil ! Le résultat est qu'ils intègrent "mieux" (je n'aime pas trop ce terme mais vous m'avez comprise) même si le niveau ou l'émulation auraient été plus grands dans une classe étoilée.

Je pense qu'on dit la même chose. La photo en fin de S2, qui sépare la fin des étoilés du début des non étoilées est assez floue, et on est dans la marge d'erreur. Et utiliser cette distinction a postériori pour en déduire que des gens moins bons peuvent mieux réussir à cause du contexte me semble biaisé.