Si j'échoue aux rattrapages et ne l'ai pas, c'est un redoublement pour repasser ce que je n'ai pas validé. Peut-être pourrais-je lier année de césure et redoublement, puisque j'ai quand même validé 75% des modules.
Je vais me renseigner sur les VVT dans différentes destinations alors !U46406 a écrit : ↑28 mars 2022 17:21Mieux vaut aller jusqu'au diplôme, donc valider l'année actuelle, déjà. Une fois que tu seras ingénieur informaticien, tu pourras essayer de voir ce que tu peux faire comme travail dans un parc naturel au Canada ou en Nouvelle-Zélande.
Comme Ribo le conseille toujours, il faut vérifier s'il n'y a pas un souci de santé : moi, je penserais à de l'après-covid, un coup de mou depuis le confinement de 2020, causé par une infection.
Il est vrai que le confinement, le décalage des concours à des dates indéterminées et l'annulation des oraux ont complètement ruiné mon année de 5/2 et ma réussite aux concours, je ne peux m'empêcher de voir mes études comme un "échec" depuis. J'ai intégré l'ENSEIRB en informatique alors que certains camarades moins bien classés que moi à l'année ont eu CS ou les Mines de Paris.
Pour le stage au Canada, il s'agit d'un stage entre la 2ème et la 3ème année.
Il existe un partenariat entre mon école et un master de finance/risque financier (intégration directement en M2 qui compte comme la 3A). Malheureusement il y a très peu de place et je n'ai qu'un faible espoir, mais sait-on jamais ! Je me suis déjà entretenu avec les responsables de ce partenariat pour faire part de ma motivation, mais je ne passerai pas devant des étudiants avec des résultats bien supérieurs aux miens.
Comme dit par piroud je pourrais néanmoins tenter ma chance en postulant à un master de ce type après l'obtention du diplôme.
J'essaie de garder cette philosophie en tête, même si c'est compliqué avec les professeurs mettant une assez forte pression, mais je pense qu'il s'agit de la meilleure attitude à avoirribo a écrit : ↑28 mars 2022 17:41Déjà tu as acté le fait que tu ne ferais pas de l'informatique toute ta vie.
Prends donc tes cours comme une simple discipline intellectuelle (comme si tu faisais des mots croisés ou des sudoku), sans enjeu. Cela devrait te permettre de te libérer de la boule au ventre. Et fais tout ce que tu as à faire "au second degré" avec détachement, pour retrouver de l'amusement.
Pour la foresterie, viticulture, ... je ne voyais pas en quoi mon diplôme pourrait m'être utilefather a écrit : ↑28 mars 2022 19:32Je plussoie mille fois.
Décroche ton diplôme et bifurque après.
Pour la finance, ton diplôme sera utile.
Quel genre de finance ? Finance de marché, d entreprise, ou du particulier, actuariat?
Tu peux toujours te diriger vers la foresterie, la viticulture…
L hydrographie
Les systèmes d info géographique pour les ressources naturelles, expert géomètre…
L enseignement…
Il faut que tu nous éclaires sur tes goûts
Et surtout sur ton école (par mp si besoin)
PS
on peut faire des maths ailleurs qu en ens
On peut intégrer les ens sur dossier
Enfin on peut réaliser des projets informatique en donnant du sens à sa vie.
(Starts up caritatives, anti gaspi, etc…)
J'ai du mal à analyser mes goûts et à leur faire confiance en ce qui concerne mon avenir professionnel. Je suis allé à l'ENSEIRB même si j'étais plutôt bien classé à CPP pour leur formation spécialisée en cybersécurité. Je pensais réellement que la cybersécurité était un domaine qui m’intéressait et j'avais commencé à me former avant d'intégrer l'école afin d'en être certain. Néanmoins, une fois sur le "terrain" et confronté à la réalité du métier, j'ai vite déchanté...
C'est donc la raison pour laquelle je préfère rester vaste, j'aurais du mal à indiquer une préférence pour un genre de finance sans aucune expérience.
En résumé de vos réponses je pense donc:
- Essayer de finir l'année
- Si je n'y arrive pas, je redouble et profite du temps libre lié à ma validation de certains modules pour découvrir le monde professionnel des domaines qui m'intéressent sur le papier (stages d'observation/VTT)
- J'essaie d'obtenir le master en finance en 3A grâce au partenariat
- Si je ne l'ai pas, je postule après mon diplôme
- Je verrai par la suite, une fois inséré dans le monde professionnel, si je bifurque vers un domaine complètement différent