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Bonjour,

Nous sommes en pleine réflexion sur le choix des écoles privées pour mon fils (résultats peu brillants aux concours). L'idée c'est une première année généraliste, pour se laisser le temps de choisir la spécialité (peut être aéro/spatial). Entre l'Estaca (St Quentin il me semble pour aero), EIGSI, Estia, EPF... sont-elles toutes sérieuses dans les enseignements délivrés ? sont-elles équivalentes en terme de débouchés/stages/"renommée"/facilité pour les échanges internationaux...? En fait, y en aurait-il une à privilégier ?

Après, toutes sont à plus de 8000 euros l'année + les frais de logement, je me demande s'il ne serait pas judicieux de regarder les écoles à l'étranger pour un prix équivalent... cela pourrait être une belle expérience.
Savez vous s'il y a des écoles intéressantes et accessibles à l'international pour les post cpge?

Enfin, une des options de mon fils serait de cuber seul, et de présenter de nouveau les concours en candidat libre... je ne sais pas si "perdre" une nouvelle année est une bonne idée dans son cas... peut-être plutôt passer par la fac et retenter une école d'ingénieur après ?

Nous sommes un peu perdus j'avoue, d'autant que l'enjeu financier est conséquent..
Auriez vous quelques éclairages à nous donner ?

Merci !

Une école pas sérieuse se fait remonter les bretelles vite fait bien fait par la CTI.

Ça arrive même à des écoles publiques !! Je ne dirai pas lesquelles.

À mon avis, c’est cuit / c’est trop tard pour candidater à l’étranger. Et dans quelle langue d’enseignement, en plus ??

Pourquoi cuber en candidat libre et pas dans une prépa en 5/2 ?

Sinon pourquoi ne pas aller à la fac en licence L3 et sinon en L2 ? Puis retenter en candidat libre et/ou en admission via la filière universitaire ?

Mêmes questions que u46
+ a t il des admissibilités e3a ?

Je suis en contact avec un étudiant actuellement en fin de première année de l’epf qui était un peu dans la situation du vôtre l’année dernière (mp dans le privé, résultats décevants par rapport a ses ambitions). il a choisi epf sur le critère du prestige essentiellement (+ l’attrait de l’étiquette generaliste) et a ensuite un peu regretté de ne pas etre parti en école publique plus spécialisée (ensi). Il m’a indiqué vouloir transmettre aux personnes dans cette situation de bien réfléchir aux arguments, le côté généraliste peut sembler attrayant sur le papier mais pour un jeune qui sait ce qu’il veut ça peut être une perte de temps

Cela dit, epf est une bonne école qui case bien ses anciens, ce n’est pas un message négatif ni de sa part ni de la mienne

Novice a écrit : ↑

06 juil. 2025 11:59

Entre l'Estaca (St Quentin il me semble pour aero), EIGSI, Estia, EPF... sont-elles toutes sérieuses dans les enseignements délivrés ? sont-elles équivalentes en terme de débouchés/stages/"renommée"/facilité pour les échanges internationaux...? En fait, y en aurait-il une à privilégier ?

Il faut regarder le détail du cursus en fonction de ce qui est susceptible de l'intéresser.

Après, toutes sont à plus de 8000 euros l'année + les frais de logement,

Pas de Polytech ou autre école universitaire accessible ?
Pas d'école près de chez vous ?

Savez vous s'il y a des écoles intéressantes et accessibles à l'international pour les post cpge?

Je n'ai pas vérifié au cas par cas, mais dans l'ensemble ça me parait bien trop tard, surtout si vous n'avez absolument aucune idée d'université ni même de pays.
Attention en général les bachelors seront beaucoup plus spécialisé qu'une 1re année d'école d'ingénieur.

passer par la fac et retenter une école d'ingénieur après ? (/quote]
Attention certaines écoles limitent les AST aux élèves non passés par la case prépa.

En même temps, un candidat qui a du mal aux concours SCEI ne va pas viser CentraleSupélec ou le concours GEI-Univ une fois arrivé à la fac.

L’urgent là si tous les oraux sont terminés, c’est de regarder effectivement l’offre de formation de toutes ses écoles (privées) possibles durant ces quelques semaines de tri de ses vœux SCEI.

Et il y a aussi besoin de connaître toute la situation, en répondant aux questions restant en suspens.