[Besoin d'aide] Autres écoles -> metier -> aéro :
[Besoin d'aide] Autres écoles -> metier -> aéro :
Bonjour à tous,
j'ai édité ma premiere liste de voeux avec en tête le trio de l'aéro Ensica, Enac et Ensma. C'est trois écoles me plaisent beaucoup mais je dois envisager les autres au cas où je planterai mes oraux (tout est possible).
j'avais mis ensuite des écoles dites "généralistes" ou plutôt prestigieuse (Ensimag etc) mais je viens de me rendre compte que certains écoles qui ont rien avoir avec l' aéro permettent de travailler dans ce domaine comme l' enseiht (N7). Je voulais savoir lesquelles sur CCP et Centrale permettaient d'aller dans l'aéro après même si ce n'est pas la vocation de l'école ?
A bientôt
j'ai édité ma premiere liste de voeux avec en tête le trio de l'aéro Ensica, Enac et Ensma. C'est trois écoles me plaisent beaucoup mais je dois envisager les autres au cas où je planterai mes oraux (tout est possible).
j'avais mis ensuite des écoles dites "généralistes" ou plutôt prestigieuse (Ensimag etc) mais je viens de me rendre compte que certains écoles qui ont rien avoir avec l' aéro permettent de travailler dans ce domaine comme l' enseiht (N7). Je voulais savoir lesquelles sur CCP et Centrale permettaient d'aller dans l'aéro après même si ce n'est pas la vocation de l'école ?
A bientôt
toutes les centrales ainsi que supelec!
beaucoup de centraliens (paris) bossent chez dassault
centrale nantes est pas mal réputée en méca flu
supelec peut te permettre de faire de l'aéro aussi (systèmes embarqués)
par contre avec une telle liste de voeux tu n'auras jamais l'ensimag (en théorie, d'apres les statistiques des années précédentes), car soit tu as le rang nécessaire pour l'intégrer et dans ce cas la tu auras aussi celui au moins de l'enac voir de l'ensica et donc tu intégreras une de ces deux écoles, soit tu n'as pas le rang et tu n'intègres pas l'ensimag
mais je t'accorde qu'il vaut quand meme mieux le classer, on ne sait jamais
beaucoup de centraliens (paris) bossent chez dassault
centrale nantes est pas mal réputée en méca flu
supelec peut te permettre de faire de l'aéro aussi (systèmes embarqués)
par contre avec une telle liste de voeux tu n'auras jamais l'ensimag (en théorie, d'apres les statistiques des années précédentes), car soit tu as le rang nécessaire pour l'intégrer et dans ce cas la tu auras aussi celui au moins de l'enac voir de l'ensica et donc tu intégreras une de ces deux écoles, soit tu n'as pas le rang et tu n'intègres pas l'ensimag
mais je t'accorde qu'il vaut quand meme mieux le classer, on ne sait jamais

Re: [Besoin d'aide] Autres écoles -> metier -> aéro :
Cinq écoles d’ingénieurs préparant au diplôme d’ingénieur proposent des formations spécialement dédiées à l’industrie aéronautique.didi78 a écrit :Bonjour à tous,
j'ai édité ma premiere liste de voeux avec en tête le trio de l'aéro Ensica, Enac et Ensma. C'est trois écoles me plaisent beaucoup mais je dois envisager les autres au cas où je planterai mes oraux (tout est possible).
j'avais mis ensuite des écoles dites "généralistes" ou plutôt prestigieuse (Ensimag etc) mais je viens de me rendre compte que certains écoles qui ont rien avoir avec l' aéro permettent de travailler dans ce domaine comme l' enseiht (N7). Je voulais savoir lesquelles sur CCP et Centrale permettaient d'aller dans l'aéro après même si ce n'est pas la vocation de l'école ?
A bientôt
Toutes recrutent sur concours.
Ecole nationale de l’aviation civile (ENAC) à Toulouse L’ENAC est un peu l’université des métiers de l’aéronautique. Cette école forme des pilotes, des contrôleurs aériens, des techniciens et des ingénieurs appelés à travailler dans les entreprises du secteur aérospatial et en tant que fonctionnaires dans l’aviation civile, et ce, depuis plus de 30 ans. Elle propose sept formations différentes parmi lesquelles celle d’ingénieur ENAC (IENAC).
En troisième année, les élèves qui le souhaitent peuvent compléter leur formation en préparant différents masters recherche. Trois spécialités s’offrent aux futurs ingénieurs ENAC :
• systèmes électroniques : débouchés dans les industries liées à l’avionique, en tant qu’ingénieur-système responsable de grands projets ; • informatique et trafic aérien : cette formation permet de travailler dans toutes les entreprises en rapport avec l’utilisation de l’espace aérien, les avions, les satellites (le champ est donc large !), et plus généralement dans les entreprises du secteur informatique ; • techniques aéronautiques : les ingénieurs titulaires de cette formation intéressent aussi bien les compagnies aériennes que les constructeurs aéronautiques.
Tous les ingénieurs formés à l’ENAC ne travaillent pas nécessairement dans l’industrie aéronautique. La formation d’ingénieur ENAC étant plutôt bien cotée, certains « IENAC » trouvent parfois des débouchés dans des secteurs qui n’ont rien à voir avec l’aéronautique... et où ils seront mieux payés dans un premier temps. En effet, 30 % d’entre eux trouvent leur premier emploi dans un secteur autre que celui de l’aéronautique, informatique en tête.
L’Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace L’ISAE a vu le jour le 1er octobre 2007 : en effet, deux grandes écoles françaises d’ingénieurs en aéronautique et spatial, SUPAERO et l’ENSICA, ont uni leurs talents pour former L’ISAE.
Rattaché au ministère de la Défense sous tutelle de la Délégation générale pour l’armement, et implanté à Toulouse sur les campus de Jolimont et de Rangueil, l’ISAE a pour ambition de créer le plus grand pôle européen de formation de haut niveau dans le domaine aérospatial :
• en proposant une offre d’enseignement basée en particulier sur le développement distinct et complémentaire des deux formations d’ingénieurs SUPAERO et ENSICA, sur un éventail de formations masters et mastères spécialisés compétitif et sur l’essor de la formation continue,
• en développant une politique de recherche de notoriété internationale afin de constituer un centre de formation de renommée internationale pour les étudiants de master recherche et de doctorat,
• en investissant dans la coopération et les partenariats avec l’industrie, les établissements d’enseignement supérieur internationaux et les grands organismes de recherche nationaux et européens pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises en terme de compétences et de métiers.
Acteur du pôle de compétitivité de rang mondial Aerospace Valley, membre fondateur du PRES Université de Toulouse aux côtés des universités toulousaines, l’ISAE c’est désormais aujourd’hui :
• 2 cycles d’ingénieurs (SUPAERO et ENSICA),
• 2 diplômes nationaux de masters,
• 19 mastères spécialisés dont 9 en anglais,
• 11 masters de recherche,
• une co-accréditation à 6 écoles doctorales,
• 66 accords d’échange (22 pays) dont 27 doubles-diplômes,
• 50 partenariats académiques et de recherche,
• et 1500 étudiants.
Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aérotechnique (ENSMA) à Poitiers
L’ENSMA forme plus particulièrement des ingénieurs qui se destinent à la conception, aux bureaux d’études et aux centres de recherche dans les domaines aéronautique et spatial. Les laboratoires de l’ENSMA travaillent d’ailleurs en relation avec les grands organismes publics et privés de recherche. Le recrutement se fait sur concours communs polytechniques (CCP), sur filière MP, PC, PSI, TSI, PT, sur concours national Deug scientifique, sur concours ATS et sur titres (type licence scientifique, DUT), en première année ; sur titres également (maîtrise ou première année de master) en deuxième année.
Au cours de leur scolarité, les élèves doivent effectuer trois stages obligatoires : un stage ouvrier d’un mois, un stage ingénieur de trois à quatre mois et un projet de fin d’études de quatre à cinq mois, stage à réaliser en entreprise ou en organisme de recherche en France ou à l’étranger.
L’ENSMA propose également différents masters recherche.
Ecole supérieure des techniques aéronautiques et de construction automobile (ESTACA) à Levallois-Perret
L’ESTACA est une école privée qui délivre un diplôme reconnu par la Commission des titres d’ingénieur. Elle forme des ingénieurs aux quatre secteurs des transports : aéronautique, espace, automobile et transports guidés (TGV, tramway...).
L’ESTACA recrute des bacheliers scientifiques (S et STI en priorité) et, en admission parallèle, des étudiants issus de classes préparatoires et de l’Université. La formation comprend cinq années d’études avec classes préparatoires intégrées. Elle prépare les futurs ingénieurs aux technologies et aux méthodes en usage dans les entreprises et leur permet d’accéder à l’ensemble des secteurs d’activités du transport. Elle propose une spécialisation transports au choix : aéronautique, espace, automobile ou transports guidés ; un approfondissement scientifique avec le choix d’une filière : structures et matériaux ; fluides et énergétique ; vibrations et acoustique ; commandes et systèmes ; systèmes embarqués ou mécatronique.
L’Institut polytechnique des sciences avancées (IPSA) : l’école de l’ingénierie aéronautique
L’objectif de l’IPSA est de former des ingénieurs et des cadres supérieurs experts en ingénierie des systèmes aéronautiques et spatiaux capables d’occuper tous les postes au sein d’une entreprise (recherche et développement, production, exploitation des systèmes opérationnels...) et d’exercer un métier dans des domaines de pointe connexes de l’aéronautique et de l’espace. Plusieurs voies d’admission sont possibles : après le bac, à bac + 1, après un BTS, un Deug, un DUT, une deuxième ou troisième année de licence, après une maîtrise sur dossier, tests et entretiens et sur concours après une classe préparatoire scientifique. Le cursus de formation comprend un cycle préparatoire intégré (CPI) de deux ans et un cycle supérieur d’ingénierie avancée (CSIA) de trois ans. La première année du CSIA est un tronc commun d’enseignement technique et général ; en deuxième année, cinq options sont proposées : systèmes télécoms, informatique embarquée, systèmes mécatroniques, mécanique et structures, énergétique et propulsion ; en troisième année, quatre options sont offertes : avionique et systèmes de commande, conception des systèmes aéronautiques, conception des systèmes spatiaux, management et logistique industrielle.

L'ENAC, comme son nom l'indique, c'est plus dans le domaine de l'aviation !!
L'ENSICA et Supaéro, c'est bon c'est bien l'aéronautique.
L'ESTACA c'est sur dossier, c'est privé (il me semble) et donc un peu hors sujet (il a demandé sur CCP et Centrale)
Les centrales c'est bon aussi, tu dois pouvoir te spécialiser dans un domaine aéronautique (oublie la méca quantique et la chimie..)
Pour moi quasiment toutes les écoles peuvent te faire bosser dans l'aéronautique. C'est tellement vaste...
Les structures : n'importe quelle école de méca doit te former à ça.
L'info : yen a de plus en plus donc tu peux bosser dans l'aéro
L'élec (N7 par exemple) : voire l'info ^^ Pour information, les avions tendent à devenir "tout élec"
Et j'en oublie : la méca flu, l'automatisme, la propulsion...
Bref fais ton choix en fonction de ce qui t'intéresse aussi de faire l'an prochain et pour les 3 prochaines années (voire les 5 prochaines en pensant à un premier job).
L'ENSICA et Supaéro, c'est bon c'est bien l'aéronautique.
L'ESTACA c'est sur dossier, c'est privé (il me semble) et donc un peu hors sujet (il a demandé sur CCP et Centrale)
Les centrales c'est bon aussi, tu dois pouvoir te spécialiser dans un domaine aéronautique (oublie la méca quantique et la chimie..)
Pour moi quasiment toutes les écoles peuvent te faire bosser dans l'aéronautique. C'est tellement vaste...
Les structures : n'importe quelle école de méca doit te former à ça.
L'info : yen a de plus en plus donc tu peux bosser dans l'aéro
L'élec (N7 par exemple) : voire l'info ^^ Pour information, les avions tendent à devenir "tout élec"
Et j'en oublie : la méca flu, l'automatisme, la propulsion...
Bref fais ton choix en fonction de ce qui t'intéresse aussi de faire l'an prochain et pour les 3 prochaines années (voire les 5 prochaines en pensant à un premier job).
C'est vrai, l'aéronautique ça regroupe plein de disciplines :
la mécanique (surtout fluide), l'hydraulique : il faut bien le construire l'avion, notamment ses moteurs !
l'électronique/électromagnétisme/traitement du signal : c'est bien joli de faire voler son avion, mais si y a pas de moyen de le repérer au moyen de radars, de satellites...Et c'est vrai, el gringo a parfaitement raison, l'électronique s'impose de plus en plus en aéronautique.
l'informatique, pour la programmation du pilote automatique par exemple, l'interaction homme-machine entre le pilote "humain" et l'appareil.
les maths, pour optimiser le réseau aérien (applications de la recherche opérationnelle), faire des études de marché dans les compagnies aériennes, étudier la fiabilité des produits (apllications des probas/stats)
...





C'est vrai que l'aéro nautique et spatial c'est large, je pense viser essentiellement soit dans la conception de l'avion, soit dans la télécommunication...
J'ai recu aujourd'hui la plaquette de l'Ensma, je suis content que les math occupe une part relativement importante du programme comparé à d'autres écoles, j'espere que l'on pourra comparer avec les autres plaquettes : Enac etc, à titre d' information, à l'ensma il y a environ 36h de math par semestre
J'ai recu aujourd'hui la plaquette de l'Ensma, je suis content que les math occupe une part relativement importante du programme comparé à d'autres écoles, j'espere que l'on pourra comparer avec les autres plaquettes : Enac etc, à titre d' information, à l'ensma il y a environ 36h de math par semestre
A l'ENSICA, les maths ça doit être à peu près ça au niveau du nombre d'heures... Mais tu verra, c'est pas vraiment des maths. Enfin pas de MP en tout cas.
C'est toujours très adapté "industrie": résolution APPROCHEE d'équa diff...
Bref, les maths c'est pas le plus marrant et le plus intéressant !!
Le truc par contre c'est que dans d'autres matières se cache des maths (signal, méca...)
C'est toujours très adapté "industrie": résolution APPROCHEE d'équa diff...
Bref, les maths c'est pas le plus marrant et le plus intéressant !!
Le truc par contre c'est que dans d'autres matières se cache des maths (signal, méca...)
36 heures par semestre 
Au premier semestre à l'ENAC : 107 heures (cours + TD + TP sur ordi) dont
- 75 heures d'Analyse (analyse complexe, transformée de Fourier, théorie de la mesure)
- 32 heures d'optimisation (compléments de calcul diff mais en plus appliqués que l'analyse ci-dessus et que le chapitre vu en prépa)
Au deuxième semestre : 118 heures dont
- 86 heures de Probas/stats
- 32 heures de Recherche Opérationnelle
Je tiens ça de la plaquette que vous recevrez bientôt.
Moi j'ai trouvé ça encore pas mal dans la lignée de la prépa (pour le programme de première année du moins) même si pour la première fois depuis la classe de terminale, dans la plupart des exos, des mots avec une réelle signification physique faisaient leur retour (désolé j'ai rien contre vous, les endomorphismes et les fonctions lipschitziennes ^^) ... Mais perso ça ne m'a pas dérangé

Au premier semestre à l'ENAC : 107 heures (cours + TD + TP sur ordi) dont
- 75 heures d'Analyse (analyse complexe, transformée de Fourier, théorie de la mesure)
- 32 heures d'optimisation (compléments de calcul diff mais en plus appliqués que l'analyse ci-dessus et que le chapitre vu en prépa)
Au deuxième semestre : 118 heures dont
- 86 heures de Probas/stats
- 32 heures de Recherche Opérationnelle
Je tiens ça de la plaquette que vous recevrez bientôt.
Moi j'ai trouvé ça encore pas mal dans la lignée de la prépa (pour le programme de première année du moins) même si pour la première fois depuis la classe de terminale, dans la plupart des exos, des mots avec une réelle signification physique faisaient leur retour (désolé j'ai rien contre vous, les endomorphismes et les fonctions lipschitziennes ^^) ... Mais perso ça ne m'a pas dérangé
