Salut !tojraf a écrit :Bonjour, j'aimerais avoir quelques infos de plus sur le cursus franco-allemand (A et/ou B).
J'étais au lycée en LV1 section européenne allemand, donc ni bilingue, ni expatrié : bref, je suis un bon élève en section européenne, mais rien à voir avec un bilingue. Cependant, ce cursus m'intéresserait (je suis peut être suicidaire)...
1/ Quel est le niveau pour suivre sans trop de difficulté les cours en allemand de l'université de Karlsruhe ? Et pour réussir des partielles en allemand ?
2/ Quel est l'effectif de ce cursus ? (histoire de savoir si il y aurait d'autres français avec moi)
3/ A la fin, on possède bien les deux diplômes (celui de l'ENSAM ordinaire + celui de l'université de Karlsruhe ordinaire) ?
4/ Comment le diplôme de Karlsruhe est-il reconnu en Allemagne (pour pourquoi pas travailler là-bas) ?
5/ A l'inverse, ce diplôme allemand est-il réellement un plus sur un CV en France ?
1) alors déja le niveau est vérifié au concours, enfin les gens de lycées franco-allemands/ lycées internatinaux passent sans soucis la plupart du temps, donc un LV1 de lycée international, tu ne devrais pas avoir de probleme


2)Alors cursus A -> environ 40 personnes, cursus B -> 10 personnes a peut pres
3) Oui, c'est un double diplome donc on a bien les deux diplomes en poche a la fin
4) Alors l'université de Karlsruhe c'est la premeire (ou 2eme, elle se tire la bourre avec l'université de munich) en génie mécanique (le département ou on est). Même internationnalement, elle est très bien reconnue ! donc pas de soucis de ce coté, l'uni en allemagne est plus reconnue que l'ensam en france.
5) Alors oui, déja ca veut dire betement que tu as un bon voire très bon niveau en allemand.
Ensuite, tu as le diplome, on te considere donc comme un allemand.
je ne vais pas faire l'inventaire des boites qui sont franco-allemande/européennes et donc qui cherchent des ingénieurs capables de travailler dans les 2 langues (airbus, l'esa, St-Gobain, a peut pres toutes les marques de voiture allemandes ...).
Enfin, c'est un bon plus, car a l'heure ou tout le monde (ou pas) fait une université anglo-saxonne, les franco-allemands restent rares (et donc chers

(et puis la france et l'allemagne sont premiers partenaires économiques l'un de l'autre

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