Que faire après ma MP ?

[Romanana]

cela fait avancer le schmilblick !

[st1rRk]

pour les fraisde concours, tu as sans doute raison... à moins de tenter mines Sainté

J'aurais dis le contraire, vu que le concours est organisé
par Mines/Ponts, il me semble logique de les payer. mais je me trompe peut-être, et dans ce cas Sainté à 265€ c'est plutôt cher ...

[father]

http://chireux.fr/cpge_daudet/frais.htm

[paname75]

a l heure atuelle le BTP recrute : donc master ou inge tu trouves du taf

Où trouver les chiffres qui confirment cela ?

Comment déterminer si un secteur propose ou non à des ingé diplômés des job sous-qualifiés par rapport au diplôme et payés comme tels ? Et qu'il y a quand-même des candidats ?

cela fait avancer le schmilblick !

De toute façon le Schmilblick est un oeuf (Coluche)

[father]

pour les chiffres je te laisse les chercher
allez qq pistes pour les masters et t'aider :
http://www.u-cergy.fr/fr/ufr-sciences-e ... r-gci.html
http://www.master.sdi.upmc.fr/fr/mecani ... c_icr.html
Un étudiant motivé peut tout a fait se construire une expertise en démarrant dans un bureau d etudes
NB : j'ai parlé de travail, pas des salaires et encore moins de celui des ingé

[paname75]

a l heure atuelle le BTP recrute : donc master ou inge tu trouves du taf

NB : j'ai parlé de travail, pas des salaires et encore moins de celui des ingé

Je pense que la distinction est importante:

A. le BTP recrute des ingés pour faire un boulot d'ingé et payés commer tels
B. le BTP recrute des diplômés ingé pour faire un boulot de type Bac < 3-4 et payés commer tels

De mon point, de vue B veut dire que l'offre d'ingé junior est supérieure à la demande et qu'il y aurait quelsques part un schmilblick, si on écrit "le BTP recrute", sans plus.

De toute façon , à défaut de chiffres, on ne parviendra pas à juger de l'adéquation offre-demande des ingé juniors dans le BTP.

[father]

typologie simpliste
Cela n'a jamais fait de mal à un ingé que de tater du terrain
et cela ne prejuge pas de sa carrière future

[paname75]

Cela n'a jamais fait de mal à un ingé que de tater du terrain
et cela ne prejuge pas de sa carrière future

A.Nous sommes d'accord: pour son premier boulot un ingé qui a suivi une formation spécialisée va se faire embaucher le plus souvent pour un besoin précis et ponctuel du recruteur sur un savoir-faire le plus souvent développé en stage.

B.Après 4-5 ans, ce même ingé va se faire embaucher le plus souvent pour un besoin précis et ponctuel du recruteur sur un savoir-faire le plus souvent acquis au cours de ces 4-5 ans, dans le même domaine de spécialité que A., en espérant tirer un bénéfice professionnel des 4-5 ans passés.

C.Ou alors, il reste dans la boite et l'évolution du poste comporte une bonne dose d'aléatoire, sans garantie.

Si en A. l'ingé a tater du terrrain (par exemple conducteur de chantier) , il y a de forte chance pour que ça se poursuive en B et C.
ça risque for de préjuger de la carrière future, à moins de remettre les compteurs à zéro, ce qui n'est pas facile.

typologie simpliste

Quelle autre grille de lecture ?

On peut aussi dire les choses de façon plus abrubtes: certains recruteurs s'offrent des ingé justes diplômés pour des postes sous-qualifiés et payés comme tel avec le danger, pour celui qui accepte de ce voir coller une étiquette sur le dos ensuite difficile à enlever. Dans ce cas, si les parents peuvent et acceptent de suivre financièrement et/ou si une certaine mobilité est possible etc.. il est peut-être mieux de refuser net.

On peut regarder les chiffres: combien d'ingés qui ont commencé comme conducteur de travaux le sont 5 ans plus tard ? 10 ans ? Combien ont quitté le BTP après 5 ans ? 10 ans ?

[piroud]

Si en A. l'ingé a tater du terrrain (par exemple conducteur de chantier) , il y a de forte chance pour que ça se poursuive en B et C.
ça risque for de préjuger de la carrière future, à moins de remettre les compteurs à zéro, ce qui n'est pas facile.

parce que tu crois qu'un responsable de service est completement deconnecte du terrain ?
de plus, avoir ete en poste operationnel est souvent un gros plus pour un manager (qui ainsi comprend ses equipes, par ex)

typologie simpliste

Quelle autre grille de lecture ?

qu'il y a quasiment autant de situation que d'entreprises differentes

On peut aussi dire les choses de façon plus abrubtes: certains recruteurs s'offrent des ingé justes diplômés pour des postes sous-qualifiés et payés comme tel avec le danger, pour celui qui accepte de ce voir coller une étiquette sur le dos ensuite difficile à enlever. Dans ce cas, si les parents peuvent et acceptent de suivre financièrement et/ou si une certaine mobilité est possible etc.. il est peut-être mieux de refuser net.

le risque est plus que la personne parte de l'entreprise si il estime que le poste est sous qualifie et sous paye (et la plupart des entreprises ne sont pas idiotes, ce n'est pas leur interet de perdre des employes)

On peut regarder les chiffres: combien d'ingés qui ont commencé comme conducteur de travaux le sont 5 ans plus tard ? 10 ans ? Combien ont quitté le BTP après 5 ans ? 10 ans ?

et qu'est ce que cela prouverait ?

[paname75]

parce que tu crois qu'un responsable de service est completement deconnecte du terrain ?

Effectivement, l'expression "tater du terrain" permet différentes interprêtations. Je l'ai employée dans le sens de "poste non (ou peu) encadrant à forte composante technicienne et technologique".

parce que tu crois qu'un responsable de service est completement deconnecte du terrain ?
de plus, avoir ete en poste operationnel est souvent un gros plus pour un manager (qui ainsi comprend ses equipes, par ex)

Effectivement, c'est un plus. Mais est-ce que cette connection prélable au terrrain a été un accélérateur de carrière ?

qu'il y a quasiment autant de situation que d'entreprises differentes

Effectivement, le développement d'une carrière dépends de facteurs au cas par cas, contexte par contexte.

le risque est plus que la personne parte de l'entreprise si il estime que le poste est sous qualifie et sous paye (et la plupart des entreprises ne sont pas idiotes, ce n'est pas leur interet de perdre des employes)

Disons voir que selon le secteur la notion de turn-over fait partie et influe ou non sur le travail au jour le jour. Par exemple, on demandera à tel développeur informatique en SSI I de travailler de façon à facilier son remplacement et permettre au succcesseur d'être opérationnel en moins d'une semaine. Le turn-over permet de maitenir un certain taux de junior et ainsi de jouer sur les couts. Cependant, je pense qu'il y a des secteurs qui combattent le turn-over, par exemple face à la durée de formation pour être opérationnel et le risque encourru sur un changement.

et qu'est ce que cela prouverait ?

Cela permettrait d'apprécier dans quelle mesure le poste de conducteur de travaux est un excellent tremplin ou au contraire une nasse, en carricaturant un peu.