Par contre, bien que l’interview de Goubet en page 8 dise le contraire, je ne vois pas comment IMT Occitanie ne verrait pas le jour entre Albi et Alès (pas sous forme de fusion par contre), étant donné la nature des regroupements présentés.
Et en parlant de fusion, vendre la marque IMT comme ils le veulent, parler d’"un" établissement, c’est faire valoir une certaine unité. Or, il y a bien du travail à faire avant de pouvoir l’affirmer (3 regroupements d’assoc différentes, 2 concours, plusieurs marques encore présentes, mines Paris qui la fout mal aussi en se "cassant").
Pour les bachelors, je ne suis pas fan du tout, mais c’est dans l’air du temps (pour plus de pognon !!). Par contre, je ne vois pas comment doubler les effectifs va améliorer la réputation de ces écoles. Plus de places postprépa ? Baisse du niveau... Plus de places en bachelor et ingé en alternance (donc post-dut/bts) ? De là à doubler les effectifs ? Perte de prestige assurée auprès des taupins. Bref, à moins d’un plan pour une super attractivité, je ne vois pas comment contrer une baisse du "niveau". De plus, ils vont les mettre où ces étudiants (ça renforce la thèse de l’alternance) ?
Bon, sinon, des idées pour ce nouveau campus sur le Grand Lyon ? Je parie sur Gerland.
Autre question, est-ce que les écoles de l’IMT (autres que TPT et TSP) vont avoir le droit à des partenariats privilégiés avec les écoles de NewUni ? Ou même, est-ce que NewUni ne serait-elle pas... NewIMT (tatataaaa) ??!
