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par zede » 18 juil. 2020 10:01
Un conseil: arriver à une sorte d'acceptation tranquille, et confiante.
Les insomnies sont souvent renforcées (voire entretenues) par l'idée que le lendemain, on sera fatigué, peu opérationnel, que ça va être dur, désagréable, et surtout: qu'on va être nul.
Et alors ? Est-ce bien vrai ? Est-ce si grave ?
=> pour bien dormir, il faut accepter d'être fatigué le lendemain.
Brise le cercle vicieux du "psychotage". Faire de ce temps "perdu" et de ces fatigues non-désirées quelque chose de constructif, avec une sorte de bienveillante auto-dérision par exemple sur ce qui vous attend le lendemain, et en tout cas ne pas ajouter du stress au stress.
Cela s'ajoute à tous les autres conseils et avis sur la question, que je n'aborde pas ici, et qui passent sans doute avant ce que je viens de conseiller, les habitudes, les activités, l'hygiène de vie ou l'organisation, les passages difficiles, l'écoute et l'aide médicale, etc.