Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
La place des filles dans les filières techniques est un des sujets d'actualité, même le Olivier Andries, le DG de Safran, en a parlé lors de son audition à l'AN sur les défis de la reindustrialisation du pays (absolument passionnant à écouter comme souvent avec ces auditions).
A titre perso je suis en olein dedans avec mon aînée et son caractère "réservé".
Les années lycée ont été franchement compliquées à gérer avec effectivement les garçons, très "tech" d'un côté et les filles "très SHS/Santé" de l'autre et donc des interactions limitées. Dans son lycée, l'absence de vraie classe du fait du grand brassage de spécialités, toutes les triplettes/doublettes sont autorisées, n'aide sur ce point pour des profils comme le sien, à mon avis. Se retrouver "au milieu" n'est pas facile à gérer pour une ado, surtout avec le risque de n'appartenir à aucun groupe !
Ce qui a bien marché de mon point de vue : le club math (hélas démarré trop tard sans doute par frein mental en début de lycée) et les opportunités de concours avec équipe mixte (sans doute la voie qui est la plus à creuser, les garçons se rendant compte à cette occasion que les filles ont quelque chose à dire et les filles que les garçons ne sont pas que des boulets immatures)
Seul bénéfice de tout ça, elle préfère de loin son année de MPSI à ses années "lycée". Elle y a enfin rencontré des "comme elle", et certainement que les quasi 50% de filles à La Martin aident.
Prochain frein mental, oser aller se manifester auprès de ses professeurs pour discuter de la faisabilité d'un passage en MP*.
A titre perso je suis en olein dedans avec mon aînée et son caractère "réservé".
Les années lycée ont été franchement compliquées à gérer avec effectivement les garçons, très "tech" d'un côté et les filles "très SHS/Santé" de l'autre et donc des interactions limitées. Dans son lycée, l'absence de vraie classe du fait du grand brassage de spécialités, toutes les triplettes/doublettes sont autorisées, n'aide sur ce point pour des profils comme le sien, à mon avis. Se retrouver "au milieu" n'est pas facile à gérer pour une ado, surtout avec le risque de n'appartenir à aucun groupe !
Ce qui a bien marché de mon point de vue : le club math (hélas démarré trop tard sans doute par frein mental en début de lycée) et les opportunités de concours avec équipe mixte (sans doute la voie qui est la plus à creuser, les garçons se rendant compte à cette occasion que les filles ont quelque chose à dire et les filles que les garçons ne sont pas que des boulets immatures)
Seul bénéfice de tout ça, elle préfère de loin son année de MPSI à ses années "lycée". Elle y a enfin rencontré des "comme elle", et certainement que les quasi 50% de filles à La Martin aident.
Prochain frein mental, oser aller se manifester auprès de ses professeurs pour discuter de la faisabilité d'un passage en MP*.
Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
Mon fils est justement en classe mp* à la Martin… l’année dernière il y avait 7-8 filles dans sa classe en mpsi, c’est étonnant les 50% cette année, est-ce qu’ils ont mis un quota interne ? En tout cas en mp*, il y a une dizaine de filles dans sa classe, donc cela fait plutôt un bon quota… ce serait dommage de se brider !CM_64 a écrit : ↑08 mai 2025 09:19La place des filles dans les filières techniques est un des sujets d'actualité, même le Olivier Andries, le DG de Safran, en a parlé lors de son audition à l'AN sur les défis de la reindustrialisation du pays (absolument passionnant à écouter comme souvent avec ces auditions).
A titre perso je suis en olein dedans avec mon aînée et son caractère "réservé".
Les années lycée ont été franchement compliquées à gérer avec effectivement les garçons, très "tech" d'un côté et les filles "très SHS/Santé" de l'autre et donc des interactions limitées. Dans son lycée, l'absence de vraie classe du fait du grand brassage de spécialités, toutes les triplettes/doublettes sont autorisées, n'aide sur ce point pour des profils comme le sien, à mon avis. Se retrouver "au milieu" n'est pas facile à gérer pour une ado, surtout avec le risque de n'appartenir à aucun groupe !
Ce qui a bien marché de mon point de vue : le club math (hélas démarré trop tard sans doute par frein mental en début de lycée) et les opportunités de concours avec équipe mixte (sans doute la voie qui est la plus à creuser, les garçons se rendant compte à cette occasion que les filles ont quelque chose à dire et les filles que les garçons ne sont pas que des boulets immatures)
Seul bénéfice de tout ça, elle préfère de loin son année de MPSI à ses années "lycée". Elle y a enfin rencontré des "comme elle", et certainement que les quasi 50% de filles à La Martin aident.
Prochain frein mental, oser aller se manifester auprès de ses professeurs pour discuter de la faisabilité d'un passage en MP*.
Et pareil pour mon fils il a largement préféré l’ambiance de prépa que celle du lycée… même impression d’être avec des jeunes qui lui ressemblent.
N*1 MP* La Martiniere 2024-25
Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
Autre article paru dans challenge :
Extrait :
Extrait :
Lien vers l'article : https://decouverte.challenges.fr/grande ... ues_603941« Un détournement massif des filles des filières matheuses »
En réalité, à l’échelle nationale, les classes préparatoires scientifiques accueillent déjà, en moyenne, 30 % de jeunes femmes. Mais la majorité rejoint la filière BCPST (Biologie, Chimie, Physique et Science de la Terre), débouchant sur les écoles vétérinaires ou d’agronomie. Les autres filières plus matheuses (MPSI, MP2I, PCSI, PTSI), qui ouvrent sur les écoles d’ingénieurs, étant plus largement boudées par les bachelières, dès la phase de vœux sur Parcoursup. Ce qui rétrécit le vivier de candidates, et donc d’admises potentielles en prépas. Mais aussi, ensuite, d’étudiantes en écoles d’ingénieurs, avec un taux de féminisation qui plafonne à 32 % depuis des années dans ces établissements. Et ce, malgré une myriade d’actions de sensibilisation (TechPourToutes, Cap Ingénieuses, Elles Bougent, Ingénieuses, Hello Tech girls…).
« Dans mon lycée en prépa MPSI, on compte seulement 30 % de candidates. Elles sont 43 % parmi les 100 premiers classés. Mais le jour de la rentrée, on en accueille seulement 23 % ! Cette situation vous la retrouvez dans toutes les prépas les plus sélectives, illustre Denis Choimet, président de l’Union des professeurs de classes préparatoires scientifiques (UPS) et professeur de mathématiques en classes préparatoires au lycée du Parc à Lyon. Il existe un détournement massif des filles, même brillantes, des filières matheuses. Elles préfèrent bien souvent se tourner vers la médecine, le droit ou les écoles de commerce. A partir de là, vous pourrez mettre tous les quotas que vous voulez, ce n’est pas ça qui leur donnera envie de venir davantage. »
« Personne ne veut être perçu comme un quota »
Même son de cloche du côté de la Conférence des directeurs d’écoles françaises d’ingénieurs (CDEFI) qui s’est toujours montrée frileuse vis-à-vis des quotas. « Au-delà du vivier de candidates actuellement très limité, aucune d’entre elles n’a envie d’être sélectionnée en raison de son sexe. Personne ne veut être perçu comme un quota. Cela risque de renforcer la stigmatisation et le syndrome de l’imposteur qui est déjà très prégnant dans nos écoles », pointe Dominique Baillargeat, vice-présidente de la CDEFI. Elle salue en revanche la volonté du gouvernement d’atteindre 50 % de lycéennes en spécialité math en terminale (contre 42 % actuellement) en formant et sensibilisant les professeurs des écoles, de mathématiques et les chefs d’établissement – souvent premiers prescripteurs dans l’orientation – aux biais de genre dans leurs pratiques et dans l’apprentissage des maths. « C’est essentiel car le décrochage intervient dès le plus jeune âge et beaucoup de jeunes filles sont encore dissuadées de poursuivre des études scientifiques. Le maillon des professeurs et de l’information des familles est crucial. »
« Les garçons lèvent plus souvent la main que les filles en mathématiques. Si le professeur n’y est pas sensibilisé, il peut se retrouver à n’interroger que des garçons ou à les envoyer davantage au tableau. De même dans les appréciations portées dans les bulletins scolaires, on lit souvent élève consciencieuse pour une fille et élève brillant pour un garçon… », pointait la ministre dans son interview aux Echos.
Pénurie d’ingénieurs criante
Pour Laurent Champaney, président de la Conférence des grandes écoles (CGE), l’instauration de quotas en prépas présente un autre risque : celui d’une baisse dommageable de leurs effectifs. « Si on instaure des quotas de filles tout de suite, on va mécaniquement baisser le nombre de garçons. Et comme celui des femmes n’est pas assuré de progresser immédiatement, nous risquons d’y perdre au global dans un contexte où les prépas sont déjà très concurrencées par d’autres formations et ne disposent pas des moyens nécessaires pour ouvrir plus de places, alerte le président de la CGE. Or, aujourd’hui, nous nous heurtons déjà à une pénurie de 20 000 ingénieurs chaque année, et de forts enjeux de réindustrialisation et de souveraineté. Regardons la situation avec des pincettes d’autant que les classes prépas sont loin d’être la seule voie d’accès aux écoles d’ingénieurs en manque de mixité », insiste-t-il en citant le cas de certains BTS, BUT, bachelors ou encore licences universitaires.
Fiston : PTSI + PT * + Arts et Métiers / CentraleSupelec en double diplôme
Visualisateur statistiques admission : https://loic.website/CPGE/
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Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
ma fille me disait aussi avoir préféré la prépa au lycée.
Pour la première fois de sa vie elle s'était sentie à sa place, intégrée dans la classe.
Proposer des actions dès le collège, oui je trouve ca pertinent. Je ne sais pas si ca va prendre, mais au moins concrètement, c'est bien. l'EPFL organise eux des ateliers scientifiques réservés aux filles (et aussi des ateliers mixtes, mais au final très peu de filles dans ces ateliers là) dès l'âge du début du collège. Avec une équipe d'animatrice 100% féminine. Ma fille avait fait parti d'un Coding club et d'un club de robotique par ce biais.
je rejoins totalement l'article précédent de Challenges. Les quotas ne règleront pas le problème... C'est en amont qu'il faut travailler. Faire en sorte que la spécialité maths ne soit pas en tension dans les lycée. S'il y a plus de filles en filière maths au lycée, mécaniquement, elles seront plus nombreuses ensuite dans les autres filières.
A mon époque, à l'INSA de Lyon, 600 élèves par promo en prépa intégrée. 30% de bachelière à l'entrée. soit 200 filles à la louche. 24 places au département biochimie. Il y avait eu un sondage : plus de 50% des filles étaient entrées à l'INSA de Lyon à l'époque avec en tête d'obtenir le département biochimie ! et dans ma promotion, sur les 24 places, il y avait eu 20 filles (je rappelle que l'obtention du département se fait au classement).
Une autre manière de féminiser les autres départements
Et toujours à mon année, les 2 départements les moins féminins (sur 12 à l'époque) : informatique et Télécom.... avec moins de 10%.
Mettre un quota pour chaque classe ne rime à rien.... surtout pour la MP2I... c'est déjà d'ailleurs il me semble la spécialité au bac la plus genrée.
Pour la première fois de sa vie elle s'était sentie à sa place, intégrée dans la classe.
Quand je disais au Parc, c'était seulement pour éviter d'en faire une généralité car ce n'était en tout cas factuellement vrai que pour ce qu'elle en a vue elle au Parc. Les discussions de fin d'année entre élèves.
Proposer des actions dès le collège, oui je trouve ca pertinent. Je ne sais pas si ca va prendre, mais au moins concrètement, c'est bien. l'EPFL organise eux des ateliers scientifiques réservés aux filles (et aussi des ateliers mixtes, mais au final très peu de filles dans ces ateliers là) dès l'âge du début du collège. Avec une équipe d'animatrice 100% féminine. Ma fille avait fait parti d'un Coding club et d'un club de robotique par ce biais.
je rejoins totalement l'article précédent de Challenges. Les quotas ne règleront pas le problème... C'est en amont qu'il faut travailler. Faire en sorte que la spécialité maths ne soit pas en tension dans les lycée. S'il y a plus de filles en filière maths au lycée, mécaniquement, elles seront plus nombreuses ensuite dans les autres filières.
A mon époque, à l'INSA de Lyon, 600 élèves par promo en prépa intégrée. 30% de bachelière à l'entrée. soit 200 filles à la louche. 24 places au département biochimie. Il y avait eu un sondage : plus de 50% des filles étaient entrées à l'INSA de Lyon à l'époque avec en tête d'obtenir le département biochimie ! et dans ma promotion, sur les 24 places, il y avait eu 20 filles (je rappelle que l'obtention du département se fait au classement).
Une autre manière de féminiser les autres départements

Et toujours à mon année, les 2 départements les moins féminins (sur 12 à l'époque) : informatique et Télécom.... avec moins de 10%.
Mettre un quota pour chaque classe ne rime à rien.... surtout pour la MP2I... c'est déjà d'ailleurs il me semble la spécialité au bac la plus genrée.
Mum de 2 futurs informaticiens
Prép'Isima
MP2I/Bossuet
Prép'Isima
MP2I/Bossuet
Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
Il faut intervenir bien plus tôt. Les évaluations nationales montrent que l'écart en maths est déjà présent en CP. Ce serait mieux de concentrer les moyens au niveau maternelle/début primaire, avec des actions de formation disciplinaire (quel est le niveau en maths des PE ?)/sensibilisation des PE.
Pas forcément. Il y avait plus de filles à faire des maths avec le système de filières, parce qu'on raisonnait en S=TB, ES=B, L=AB (bien sûr je caricature mais c'était l'idée).S'il y a plus de filles en filière maths au lycée, mécaniquement, elles seront plus nombreuses ensuite dans les autres filières.
Les filles étaient fortement poussées à aller en S, mais ensuite choisissaient un cursus qui leur plaisait (psycho, médecine, droit...).
Avec la réforme le nombre de filles à faire des maths au lycée a diminué, à mon avis parce qu'on est un peu sorti de cette logique, mais le nombre de filles en école postbac ou en prépa scientifique n'a pas baissé - en tous cas je n'ai pas connaissance de chiffres qui le montrent ?
Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
Autour de moi, j’entends très régulièrement des garçons vouloir faire un métier qui rapporte de l’argent, et très rarement cela des filles. Inconsciemment, même si la majorité des femmes travaillent, il est plus important que les hommes aient une bonne situation et ils sont sûrement plus « poussés » par leurs parents…La société a encore besoin d’évoluer
N*1 MP* La Martiniere 2024-25
Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
-La majorité des critères de sélection se fait sur les mathématiques
-une faible minorité aime les mathématiques servant aux critères de sélection
-une grande majorité n'utilisera jamais dans sa vie pro les mathématiques servant aux critères de sélection (en tout cas pas tout)
-une partie des élèves fait avec
-il s'avère que la partie qui fait avec est celle qui est sociétalement poussée à une certaine forme de réussite
-celle qui l'est moins tend naturellement vers son inclination plutôt que vers cette forme de performance.
ohlala ça va pas du tout il faut forcer les filles à aimer les maths ! (pistolet sur la tempe au besoin)
Et il n'y en a pas un pour se dire : "peut-être que le problème est cette sacralisation des maths ? discipline dont le poids n'est pas proportionnelle à l’intérêt".
(réflexion de ma fille après son dernier cour de "maths appliqués à la physique" : yes j'en ai enfin fini des maths (et ceux qui ne sont pas en filière math sont tous comme ça c'est juste qu'il n'osent pas le dire))
-une faible minorité aime les mathématiques servant aux critères de sélection
-une grande majorité n'utilisera jamais dans sa vie pro les mathématiques servant aux critères de sélection (en tout cas pas tout)
-une partie des élèves fait avec
-il s'avère que la partie qui fait avec est celle qui est sociétalement poussée à une certaine forme de réussite
-celle qui l'est moins tend naturellement vers son inclination plutôt que vers cette forme de performance.
ohlala ça va pas du tout il faut forcer les filles à aimer les maths ! (pistolet sur la tempe au besoin)
Et il n'y en a pas un pour se dire : "peut-être que le problème est cette sacralisation des maths ? discipline dont le poids n'est pas proportionnelle à l’intérêt".
(réflexion de ma fille après son dernier cour de "maths appliqués à la physique" : yes j'en ai enfin fini des maths (et ceux qui ne sont pas en filière math sont tous comme ça c'est juste qu'il n'osent pas le dire))
Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
Peut-être une des raisons qui fait qu’en finance, secteur que je connais bien, il y a beaucoup de garçons. Qu’ils soient en écoles d’ingénieurs, de commerce ou à l’université. Je suis notamment membre d’un jury d’un concours boursier. Chaque année, les groupes sont composés majoritairement de garçons, parfois une ou 2 filles mais qui s’expriment souvent moins que les garçons. Et une fois on a eu un groupe composé uniquement de filles parmi les premiers. On s’est posés la question de mettre un quota de filles parmi groupe a un moment mais on a renoncé, pour préférer les laisser choisir la composition de leur groupe.Lyon05 a écrit : ↑08 mai 2025 11:21Autour de moi, j’entends très régulièrement des garçons vouloir faire un métier qui rapporte de l’argent, et très rarement cela des filles. Inconsciemment, même si la majorité des femmes travaillent, il est plus important que les hommes aient une bonne situation et ils sont sûrement plus « poussés » par leurs parents…La société a encore besoin d’évoluer
On voit aussi que les quotas en prépas et en écoles d’ingénieurs n’empêchent pas les filles une fois en école de choisir des spécialités « moins masculines ».
N°1 Hoche PCSI-PSI* 2020/22 - CentraleSupelec
N°2 Hoche PCSI 2023/24
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Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
Si la polytechnicienne Borne veut augmenter la place des filles en prépa maths/physique, il faut donc réduire la place des filles ailleurs, vérité de Lapalisse.
Donc Mme Borne va annoncer des quotas limitant la place des filles dans les filières suivantes, par ordre d'urgence à intervenir pour baisser la proportion de femmes :
- Orthophonistes : 97% de femmes. Là c'est une urgence nationale.
- Psychologues : 80% de femmes ;
- Magistrature : 70% de magistrates ;
- Médecine : 70% de femmes ;
- BCPST : 70% de femmes ;
- Prépas littéraires: 70% de femmes.
Il va falloir expliquer aux filles concernées qu'il faut candidater en MP2I et pas en médecine etc. Comme cela risque d'être mal accueilli, il sera nécessaire d'être plus directif, "de forcer le destin" comme dit Mme Borne.
Autre solution : pas de quotas, on aide tous ceux qui ont besoin d'être aidés sans tenir compte du sexe ou de la couleur de peau, depuis les petites classes, on finance réellement le logement des étudiants, et on laisse chacun libre de ses choix. Pour cela, cela demande plus de moyens financiers que le petit théâtre médiatique gratuit que joue actuellement la ministre de l'Éducation.
Donc Mme Borne va annoncer des quotas limitant la place des filles dans les filières suivantes, par ordre d'urgence à intervenir pour baisser la proportion de femmes :
- Orthophonistes : 97% de femmes. Là c'est une urgence nationale.
- Psychologues : 80% de femmes ;
- Magistrature : 70% de magistrates ;
- Médecine : 70% de femmes ;
- BCPST : 70% de femmes ;
- Prépas littéraires: 70% de femmes.
Il va falloir expliquer aux filles concernées qu'il faut candidater en MP2I et pas en médecine etc. Comme cela risque d'être mal accueilli, il sera nécessaire d'être plus directif, "de forcer le destin" comme dit Mme Borne.
Autre solution : pas de quotas, on aide tous ceux qui ont besoin d'être aidés sans tenir compte du sexe ou de la couleur de peau, depuis les petites classes, on finance réellement le logement des étudiants, et on laisse chacun libre de ses choix. Pour cela, cela demande plus de moyens financiers que le petit théâtre médiatique gratuit que joue actuellement la ministre de l'Éducation.
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Progéniture 2024-2025
n°1 PCSI
n°2 seconde générale
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Re: Article : 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 ?
Ah que d'à priori:
Le premier d'entre eux: la société qui décide. Argument basé sur les études sociologiques, qui par essence vous donneront une causalité sociale! le serpent se mort la queue.
Les milieux informaticiens/mathématiciens hostiles aux femme!
Avez vous comparé des informaticiens d'avec des commerciaux?
Qui sont les plus virilistes, les plus machos, les plus compétitifs etc???
Pourtant les femmes font des école de commerce.
Les geeks au lycée, ce ne sont pas eux qui tiennent le haut du pavé.
Ce sont souvent les moins sportifs, sont souvent timides, souvent plus à l'aise avec un ordinateur
qu'avec les autres etc..
Et particulièrement maladroit avec les filles.
Vous souvenez-vous du machisme des milieux médicaux, juridiques ou vétérinaires, vous souvenez-vous des bizutages qu'il y avait dans ces milieux? Cela n'a pas empêché les femme de s'imposer et de
devenir majoritaire dans ces milieux. Syndrome de l'imposteur ou pas cela ne les a pas arrêtées.
Quant aux mathématiques, même si on ne les mets pas en œuvre pendant toute sa carrière, ce sont quand même les soubassement d'un métier d'ingénieur.
Pour finir je paraphraserai ma femme:
Quand va-t-ont considérer les femmes comme des personnes majeures,
quand va-t-on considérer les filles comme capable de faire leur choix,
quand va-ton arrêter de dire aux filles ce qu'elles doivent faire?
Est-ce que le ministre dit aux garçons qu'ils doivent faire médecine?
Est-ce que le ministre dit aux garçons qu'ils doivent faire la magistrature?
Quand va-t-on accepter que les femmes fassent leurs choix en fonctions de leurs gouts?
et là je répète mot pour mot ce qu'elle dit, "nous nous sommes battus pour avoir le droit d'être ingénieur ou camionneur, pas pour qu'on nous impose de devenir ingénieur ou camionneur."
Le premier d'entre eux: la société qui décide. Argument basé sur les études sociologiques, qui par essence vous donneront une causalité sociale! le serpent se mort la queue.
Les milieux informaticiens/mathématiciens hostiles aux femme!
Avez vous comparé des informaticiens d'avec des commerciaux?
Qui sont les plus virilistes, les plus machos, les plus compétitifs etc???
Pourtant les femmes font des école de commerce.
Les geeks au lycée, ce ne sont pas eux qui tiennent le haut du pavé.
Ce sont souvent les moins sportifs, sont souvent timides, souvent plus à l'aise avec un ordinateur
qu'avec les autres etc..
Et particulièrement maladroit avec les filles.
Vous souvenez-vous du machisme des milieux médicaux, juridiques ou vétérinaires, vous souvenez-vous des bizutages qu'il y avait dans ces milieux? Cela n'a pas empêché les femme de s'imposer et de
devenir majoritaire dans ces milieux. Syndrome de l'imposteur ou pas cela ne les a pas arrêtées.
Quant aux mathématiques, même si on ne les mets pas en œuvre pendant toute sa carrière, ce sont quand même les soubassement d'un métier d'ingénieur.
Pour finir je paraphraserai ma femme:
Quand va-t-ont considérer les femmes comme des personnes majeures,
quand va-t-on considérer les filles comme capable de faire leur choix,
quand va-ton arrêter de dire aux filles ce qu'elles doivent faire?
Est-ce que le ministre dit aux garçons qu'ils doivent faire médecine?
Est-ce que le ministre dit aux garçons qu'ils doivent faire la magistrature?
Quand va-t-on accepter que les femmes fassent leurs choix en fonctions de leurs gouts?
et là je répète mot pour mot ce qu'elle dit, "nous nous sommes battus pour avoir le droit d'être ingénieur ou camionneur, pas pour qu'on nous impose de devenir ingénieur ou camionneur."
P6 M d' info -> UVSQ DEA info -> INRIA
presta R&D equipementiers telecom
n1: L Philo IPC + L Droit ICES -> M1 Droit Assas
n2: FSM PCSI
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