torseur
Re: torseur
Ecriture peu claire !spéculateur a écrit :bonjour,
quelle est la condition necessaire et suffisante pour qu'un torseur devient un glisseur?
est ce uniquement M(a,R)=vecteur nul?
Un torseur est un glisseur si et seulement si on peut trouver un point où le moment est nul, ce qui revient à un moment perpendiculaire à la résultante en tout point.
Philippe PATTE
MP maths Lakanal Sceaux
MP maths Lakanal Sceaux
Dans mon cours de taupe (de maths, ça va sûrement se voir au terme employéDOS MARTIRES a écrit :Autrement dit : l'automoment du torseur est nul (avec une résultante non nulle bien sûr).

Philippe PATTE
MP maths Lakanal Sceaux
MP maths Lakanal Sceaux
Le premier torseur que tu rencontre est le torseur des efforts transmissibles ou il est question d'une résultante et d'un moment.
Une résultante c'est simplement une force exercée sur le solide que tu considère généralement appliqué en un point du solide.
Le moment est de manière intuitive une action rotatoire : se souvenir du bras de levier.
Après tu rencontrera les torseurs cinétique, cinématique, dynamique qui représentent d'autre caractéristiques du mouvement de ton solide mais l'idée translation/rotation reste.
Ca a l'intérêt de regrouper toutes les actions possible en une seule écriture. Si tu prend l'exemple du tennis, une résultante seul ne te permet de faire que ces aces et des smashs sans effet, tandis que les lift et les coupés relèvent plus du moment. Il te faut donc bien un torseur complet pour jouer convenablement si on peut dire.
Une résultante c'est simplement une force exercée sur le solide que tu considère généralement appliqué en un point du solide.
Le moment est de manière intuitive une action rotatoire : se souvenir du bras de levier.
Après tu rencontrera les torseurs cinétique, cinématique, dynamique qui représentent d'autre caractéristiques du mouvement de ton solide mais l'idée translation/rotation reste.
Ca a l'intérêt de regrouper toutes les actions possible en une seule écriture. Si tu prend l'exemple du tennis, une résultante seul ne te permet de faire que ces aces et des smashs sans effet, tandis que les lift et les coupés relèvent plus du moment. Il te faut donc bien un torseur complet pour jouer convenablement si on peut dire.

Eh ben ! Si c’est se que tu as compris et retenu de tes cours de S2I ça m’inquiète un peu.

Alors, d’après le programme officiel des CPGE, on doit te présenter le torseur cinématique en première période de première année puis le torseur des actions mécaniques. Ensuite, en deuxième année, il y a les torseurs cinétique et dynamique. Pour les PT, il y a aussi le torseur des petits déplacements.
(Alors les mathématiciens, ne regardez pas ce qui suit. Sinon, c’est vous qui allez être inquiet)
Torseur : outil mathématique qui permet de mettre dans une même boîte un champ de moment avec sa résultante.
En fait, dès qu’on a un champ de moment dit aussi champ équiprojectif, on peut l’écrire sous la forme d’un torseur. En cinématique, le champ des vecteurs vitesses d’un solide est un champ équiprojectif « facilement » visualisable et tous les champs équiprojectifs ont ce type de distribution.
Donc, utilités :
- toutes les propriétés sur les torseurs que tu vas ou que tu as vues dans le cas du torseur cinématique pourront être réutilisées avec les autres torseurs.
- minimise le nombre de relation à retenir et allège leurs écritures. Je ne parle pas des résolutions où les étudiants projettent toutes les résultantes et les moments dans la même base et tant qu’a faire, la base du référentiel galiléen.