J'aimerais rajouter, suite à réflexion dans un MP, une cinquième catégorie à cette article.
On avait les héritiers. Ceux là doivent encore travailler en école : développer leur personnalité et leur savoir-être, notamment au moyen des associations. Ils vont souvent travailler d'arrache pied pendant la campagne BDE. Ils intégreront ensuite un poste bien rémunéré dans un domaine comme la finance ou le conseil en strat, ou encore une boite très sélective comme google.
J'ajouterais la catégorie 5 : les vrais héritiers.
Ceux là sont beaucoup plus rares, ils sont fils et filles de pdg, de grandes familles nobles et/ou riches.
Ils maitrisent déjà totalement le game. Mieux : ils en sont en dehors. Imaginez un mec tellement riche qu'il pourrait racheter le campus : il vous suffit d'une imagination minimaliste pour voir qu'il pourrait se faire élire président du BDE à l'unanimité sans aucun souci. Pourquoi dès lors irait-il chercher à prouver quoi que ce soit ?
De plus, il possède déjà ses millions : pourquoi irait-il travailler dans un domaine qui ne l'intéresse pas forcément ? Il préfère laisser les nouveaux diplômés de la catégorie 4 gérer sa fortune pour lui

et faire un métier qu'il aime vraiment ou même s'adonner totalement à ses passions (ça peut être n'importe quoi)
Il pourra aussi racheter n'importe quelle boite de taille intermédiaire, s'en parachuter PDG.
Il existe bien évidemment une zone grise entre 4 et 5.
Ceux qui sont en plein dans cette catégorie 5 sont à la fois plus faciles et plus difficiles à repérer que ceux de la catégorie 4.
Jay Olsen a écrit : ↑24 sept. 2017 03:18
siro a écrit : ↑23 sept. 2017 20:26
J'ai rarement vu une description aussi creuse et applicable partout dans le tertiaire, je suis admiratif.
Ça s'applique même à mon poste actuel en ssii, c'est dire
Ca s'applique également à mon nouveau poste chez airbus group.
Je mettrai cette phrase sur mon CV si jamais j'ai besoin de remplir des lignes
